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 [New Moon] Critiques Médias

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Sabine
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Sabine


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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Mer 18 Nov - 18:23

Dans le femme Actuelle de cette semaine :

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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Mer 18 Nov - 18:33

sont bien chez femme actuelle [New Moon] Critiques Médias - Page 4 352319

bon je vais vous mettre les chiffres du démarrage du film dans les news et ils sont..... très bons [New Moon] Critiques Médias - Page 4 58910
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 14:20

"Twilight : Chapitre 2 : Tentation" : Les fans vont adorer, les autres aussi...

Note 3/4

Détruite par l’abandon d’Edward, Bella va sombrer dans un état dépressionnaire intense que Kristen Stewart, va incarner à la perfection à l’écran. Véritable révélation de ce deuxième volet, l’actrice porte à bout de bras le film. Touchante, désarmante et émouvante, l’actrice révélée dans « Into The Wild » livre une performance solide et efficace qui ne devrait pas laisser les spectateurs insensibles.

Dans la saga de Stephenie Meyer, ce deuxième chapitre est, certainement, le moins bon des quatre ouvrages. « Tentation » est donc moins fort que le premier volet. Le premier opus montrait l’irrésistible rapprochement entre Bella et Edward. Ce deuxième film se recentre sur le manque ressenti par Bella après la séparation. Très peu vu dans « Fascination », c’est Jacob qui décroche la timbale cette fois-ci. Incarné à l’écran par Taylor Lautner, Jacbob apparaît beaucoup plus souvent à l’image qu’Edward (Robert Pattinson). Après six mois de musculation intensive, l’acteur qui se promène quasiment nu tout le long du film (et on le comprend !), devient un rival de poids pour Edward.

La relation que vont petit à petit tisser Bella et Jacob va donc devenir un des points forts de ce film. Si l’adaptation cinématographique ne s’attarde pas trop sur la force de l’amitié liant les deux protagonistes, Jacob devient, tout de même, un personnage central de Twilight.

Comme vous avez pu le comprendre, Robert Pattinson est en retrait dans ce second volet ! Rassurez-vous, dans les épisodes 3 et 4, Edward est bel et bien de retour. Toujours aussi fascinant, Edward reste, le personnage charismatique de la saga. Certes absent un bon moment, l’empreinte d’Edward est présente tout le long du film et finalement, Robert Pattinson apparaît bien plus à l’écran qu’Edward dans le roman. Doté d’un charisme assez incroyable et d’une présence lumineuse, Robert Pattinson devrait une nouvelle fois, faire craquer la gente féminine. En effet, pour ce deuxième volet, Taylor Lautner n’est pas le seul à tomber la chemise, Robert aussi !

Véritable phénomène planétaire, ce deuxième volet devrait séduire les fans et permettre à ceux que le premier volet n’avait pas du tout convaincu, de se sentir plus envoûté. Certes moins fort que le précédent (exit l'effet de surprise), le film réussit à tenir en haleine le spectateur pendant plus de 2 heures. Moins « gimauve » et « nian nian » que le premier film, l’ambiance et l’atmosphère créé par Stephenie Meyer ne dissipe cependant pas une seule seconde. « Twilight : Tentation » est un excellent divertissement. Vivement le troisième volet en somme !

source : infomaroc.net
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 14:29

Twilight chapitre 2 : la tentation

par Jean-Marc Lalanne

note : 2/4

Aux USA, les films ont un genre. Pas seulement un genre cinématographique (thriller, comédie…), mais un genre sexué (homme/femme). Ou plutôt les genres cinématographiques sont tellement constitués, s’adressent à des publics si précisément ciblés qu’ils en déterminent le genre (aux mecs les films d’action, aux filles les comédies romantiques…). Le partage est si entendu qu’il a fini par devenir une blague courante de scénario, qu’il va de soi par exemple pour la police qui veut le capturer que, dans Public Enemies, le gangster Johnny Depp n’est pas allé voir un film avec Shirley Temple mais un thriller (et il mourra de la prévisibilité et du trop grand déterminisme de ses goûts). Et c’est un classique du teen-movie que les garçons s’humilient à voir des films de filles (avec des sentiments et pas de gunfights) pour espérer leur rouler une pelle dans le noir. Dans le premier tiers de Twilight 2, Bella, l’evanescente adolescente amoureuse d’un vampire (mais civilisé, qui n’égorge pas les humains), se remet difficilement d’un chagrin d’amour. Au premier pas timide qu’elle esquisse vers la vie, en s’asseyant à la cantine du lycée, un garçon un peu nerd, maladroit, pas sexy, lui propose de l’accompagner au cinéma. Selon une stratégie éprouvée, il lui propose d’aller voir une comédie romantique. Mais la jeune fille éplorée n’a aucune envie de voir sur écran une histoire d’amour qui marche. Elle réclame donc d’aller voir plutôt tout le contraire : un film d’action qui s’appelle Pusher Face. Le soupirant s’avère alors un peu dépité : il semble que lui, jeune mâle un peu défaillant, avait réellement envie de voir la comédie romantique. Et, comble de l’humiliation, Bella impose au rendez-vous un second prétendant, le très masculin Jacob, qui, lui, se réjouit de voir Pusher Face.

Le plan dans le cinéma est superbe : hors-champ, on entend la bande-son caricaturale d’un blockbuster d’action, toute en déflagrations et hurlements ; à l’image, on voit deux garçons, l’un fasciné par l’écran, l’autre assez rebuté, qui encadrent Bella ; chacun d’eux pose sa main offerte un des deux accoudoirs, de sorte que, si elle a peur, elle n’a qu’à choisir à qui elle veut prendre la main.

Ce dilemme entre le film de filles et le film de garçons est la tension qui nourrit toute l’entreprise Twilight. Son ambition consiste à faire l’un sous le couvert de l’autre et d’entrelacer leurs codes respectifs. La beauté du premier Twilight tenait à sa façon de toujours différer le moment où démarrerait le film d’action. Les combats entre tribus de suceurs de sang, les chasses spectaculaires promises par le genre, s’effaçaient au profit d’une romance qui s’éternisait contre toute logique d’efficacité narrative. Toujours plus de paroles, d’atermoiements amoureux, de volte-face entre “j’ai envie” mais “je ne peux pas”, de rediscussions sans fin sur les complications du désir en surchauffe, venaient contrarier le programme, supposément masculin, du blockbuster.

Le second épisode recentre un peu le débat. Les scènes d’action scandent plus régulièrement le récit ; un groupuscule de hooligans des forêts, un peu loups-garous sur les bords, recharge le film en testostérone. Malgré sa ligne dramatique plus musclée, Twilight 2 ménage de très beaux moments de suspension, où le film semble oublier son genre. La chronique de la dépression amoureuse de Bella, la très lente attraction qui la mène dans les bras de Jacob, la délicatesse de l’étude sentimentale donnent au film son charme singulier. Et la classique morale, qui veut qu’en amour on refasse toujours les mêmes erreurs, trouve son illustration paroxystique dans ce trajet qui pousse l’amoureuse déçue à se consoler d’un vampire dans les bras d’un loup-garou.

Mais il n’y a pas que le programme du film d’action qui se suspend dans Twilight, au profit de belles stases bavardes de psychologie féminine étourdie. Le sexe y est lui aussi indéfiniment suspendu. Parce que l’auteur des romans desquels sont adaptés les films est issue de la communauté mormone, on a beau jeu de voir dans cette façon de toujours retarder le passage à l’acte un manifeste puritain pour l’abstinence. L’impératif de la frustration (puisque s’ils baisent, l’ébat peut virer en orgie de sang) est surtout une ruse pour filmer des corps turgescents, sans cesse en train de gémir en se retenant, et organiser un ballet sans fin de frottements et de tortillements. L’interruption est la figure maîtresse du film : interruption du programme vampirique pour l’idylle romantique, interruption des attouchements sexuels au bord du passage à l’acte, interruption aussi de l’enchaînement narratif, extrêmement brutale, puisque, selon le principe feuilletonnant d’une série, l’histoire ne se clôt pas, se suspend même sur un nouveau climax.

Le film joue avec le feu, retire ce qu’il promet, mais ne cesse de promettre davantage, s’amusant, espiègle, avec le mécanisme même du désir. Et ce qu’il exauce est peut-être un rêve de jeune vierge : se repaître sans fin de l’étape des préliminaires. Non, pas encore.

lesinrocks.com

je suis scotchée par la critique des inrocks
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 14:34

Chris Weitz transpose à l'écran le deuxième livre de Twilight : gommage d'émotions et tartine d'effets sont au programme.

Note : 4/10

Après Twilight - Chapitre 1 : fascination, c'est au tour du Chapitre 2 de sortir au cinéma. Pour raconter la douloureuse séparation de Bella et de son gentil – mais torturé – vampire Edward, et l'amitié double qu'elle partage avec l'étrange Jacob au corps changeant, Chris Weitz a pris la place de Catherine Hardwicke. Bien qu'ayant la même scénariste, ce second volet de la saga Twilight est bien moins bon que le premier ; on en vient rapidement à incriminer le réalisateur (même si, au départ, le livre est lui-même moins bon). A se demander même s'il a pris son sujet au sérieux.

Parce que n'est pas Catherine Hardwicke qui veut. Il n'est pas évident de représenter les désirs et frustrations adolescentes, et ce Chapitre 2 le montre bien : tout y est, mais on ne rentre pas dedans ; la détresse de Bella, personnage principal, semble superficielle et passagère, et ses retrouvailles avec son « grand amour » sont bien fades si l'on considère les épreuves émotionnelles qu'elle est censée avoir traversées (et qu'elle traverse bien dans le livre, à défaut). En plus, Chris Weitz croit malheureusement qu'aucune émotion ne peut s'exprimer sans plan très (trop) rapproché, et nous assomme de gros plans qui alourdissent le sujet.

Avec le nombre impressionnant de torses nus et le pseudo-romantisme (« pseudo » car trop niais pour être vrai) dégoulinant, il est inutile de se demander quel est le public visé : les adolescentes exclusivement ; les fans du livre sans doute, mais elles seront probablement déçues de cette simplification de ton, cette façon de gommer les tourments et confusions de Bella, qui reste passive à attendre que ça se passe. Kristen Stewart nous avait habitués à mieux, dans le premier volet comme dans ses autres films, et semble laissée à elle-même. Il faut dire aussi qu'elle n'est pas très aidée : Robert Pattinson, figé et souffreteux tout le long, ne fait pas un très bon partenaire. Les seconds rôles, en revanche, sont corrects bien qu'effacés.

On se retrouve encore avec le problème de la démonstration de la force et de la rapidité des vampires. Weitz privilégie à outrance les ralentis plus ou moins bien rythmés sur une musique de plus en plus omniprésente ; on finit par avoir l'impression d'être dans un clip la moitié du film. Et le gros travail sur les couleurs, qui donne à certaines scènes un ton onirique bien maîtrisé, perd de sa force et finit par n'être là que pour, apparemment, meubler la musique et faire un ensemble tellement surtravaillé que cela devient vide. Couplé aux mouvements de caméra circulaires censés sans doute mimer le tourment psychologique, et vous avez du formatage baveux et inexpressif. Dommage, parce qu'utilisés avec parcimonie, ces effets auraient pu vraiment rendre quelque chose de positif.

Et alors qu'Hardwicke avait intelligemment gommé les effets trop voyants du roman comme les comparaisons souvent malhabiles aux grandes histoires d'amour classique, on nous assomme ici d'images de Romeo et Juliette, du gros plan sur le livre à la vidéo en classe, en passant par un parallèle lourdaud dans une scène téléphonée où Edward récite l'un des monologues de Romeo. On notera tout de même l'humour simple, par petites touches, souvent bienvenu, qui remonte un peu le film. Mais c'est certain, ce Twilight - Chapitre 2 : tentation est une médiocre adaptation et un mauvais film.

Ce second volet de la saga Twilight est une grosse déception. Aplanissant le livre, simplifiant les émotions, caricaturant l'univers, Chris Weitz le fait tomber bien en dessous du premier film. Restent quelques passages sauvables, et de jolies images isolées.

Marie-Ambre Devanlay - cinema-france.com
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 14:40

Twilight 2 : les personnages apparaissent dans un nouveau style

Chris Weitz, le réalisateur de Twilight : Tentation, emmène les personnages dans un style différent du premier volet. Décors, costumes et couleurs donnent au film un nouveau ton.

Twilight : Tentation est beaucoup plus lumineux que le premier film. Le réalisateur, Chris Weitz, a apporté sa propre touche au deuxième volet de Twilight. En utilisant une palette de couleurs vives, il voulait être au plus proche de l'univers du second livre de la saga.

Les personnages se retrouvent dans des décors nouveaux, dont celui de l'Italie. Edward se rend à Volterra afin de rencontrer la famille des Volturi. Des scènes qui ont été tournées à Montepulciano, une ville qui a permis de réaliser de très beaux plans grâce à son architecture. Dans leur longue tunique noir, les Volturi s'affichent dans un palais digne des grandes fortunes.

De leurs côtés, les Cullen restent sobres avec des tenues dans les tons gris et marrons. Leur teint pâle et leurs yeux caramels nous rappellent qu'ils sont uniques.

Quant aux loups-garous, un seul vêtement leur suffit : le short. N'ayant jamais froid, ils se promènent torses nus et dévoilent leurs corps d'athlète aux yeux des spectateurs.

Twilight : Tentation est un film moins sombre que le premier volet et nous en met plein les yeux !

news-de-stars.com
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 14:44

Twilight 2: la Tentation n'a pas prise!

Retour sur le grand écran de la saga Twilight, qui avait vampirisé le box office pour son premier opus. Si le deuxième semblait attendu, la barre peut-être trop haute soulève les doutes sur l’efficacité du film.

Bella croit vivre le grand amour avec son vampire Edward. Mais celui-ci semble trop mystérieux, et l’abandonne un jour, brisant le cœur de la belle en affirmant qu’elle ne le reverrait plus jamais. Et Bella ne s’en relève pas. Alors que Jacob tente de faire oublier la douloureuse fin avec Edward, et que Belle découvre ses secrets, il semble éprouver des sentiments bien plus forts envers la jeune femme de 18 ans. Et cette réciprocité commence à voir le jour, mais une nouvelle venant tout droit d’Italie va bousculer les choses…

Twilight ou le retour de la mièvrerie des sentiments, le paroxysme de la naïveté, là où la sincérité ne tient pas sa place. « Tu ne me reverras plus, je ne reviendrai pas », une phrase parmi tant d’autres (on ne citera pas les autres pour ne rien délivrer du film), mais plus que jamais, ce dialogue tourne au ridicule. Alors que le premier opus avait un semblant de vérité, une trame intéressante, le second semble s’éloigner d’une part du livre qui par les mots paraît plus sincère, et de la sincérité du premier. C’est trop tremblant, mais c’est assurément mal joué, personne ne peut y croire. Le couple Robert Pattinson / Kristen Stewart ne fait plus l’effet perçu dans le premier film, mais s’enfonce dans des méandres romantiques à faire plutôt sourire que faire couler les larmes.

Un scénario qui ne se recherche pas trop, ultra prévisible (sans parler de la fin bien sûr), Twilight fait dans le classique pour ne pas trop se compliquer la tâche et toucher son public par un dialogue très (trop) simple. Chercher la philosophie dans Twilight, dans les sentiments des personnages, c’est vraisemblablement se compliquer la vie tout court. Il y a dans le cinéma d’autres films dotés d’une véritable question philosophique. Ici, le message est purement commercial, destiné à un public particulier et relativement jeune qui va donc forcément se retrouver dans les personnages de la saga. On garde tout de même les points positifs pour la famille Cullen, le brin d’humour du film, ou encore le charisme troublant du chef des Volturi. Enfin on soulignera tout de même ce décor toujours aussi magnifique.

La forme paraît donc être le point positif de ce deuxième volet, mais ne rattrape en aucun cas le fond, qui lui est totalement absent. Impossible de parler du romantisme, et même pas de celui présent dans le premier volet ! Ici la naïveté, la simplicité et le traditionalisme sont les maîtres d’une histoire de vampires qui commence à vaciller dangereusement. Des dialogues à l’eau de rose, des ralentis à la Hollywood à faire hurler de rire, mais à faire rougir nos petites adolescentes, qui ne se sentent même plus face aux corps pétillants de nos hommes (loup-garou), emmené par un Taylor Lautner qui n’est là que pour la gonflette, ou bien sûr pour « Rob » qui laisse tomber la chemise en Italie. Mais chut ! Il ne faut pas en dire plus, on risquerait de gâcher le plaisir. Car dans l’ensemble en sortant de la salle, peu ont parlés de déception. Les avis se respectent…

Des dialogues à l’eau de rose, un scénario bien naïf et le retour des mièvreries sentimentales entrevues dans un premier opus qui tenait la route, New Moon (Tentation en version française), vacille puis s’écroule par manque d’intérêt. On espère un troisième volet plus convaincant !

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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 15:32

« Twilight » sans les dents

par Frédérique Roussel

Twilight, acte 2. Nos amis les vampires reviennent à l’écran. Des foules de fans en frissonnent à l’avance de plaisir. Le premier acte, sorti en janvier, avait engrangé 350 millions de dollars (234 millions d’euros) dans le monde. L’adaptation du deuxième tome de la saga de l’Américaine Stephenie Meyer ne décevra pas les puristes du texte. Chris Weitz, qui a succédé à Catherine Hardwicke aux manettes, a respecté le déroulé original. L’auteur et ses lecteurs préfèrent…

Bella, la lycéenne de Forks, tombée passionnément amoureuse du magnétique Edward Cullen, 109 ans mais figé dans son dix-septième anniversaire par le baiser de l’éternité, va fêter ses 18 ans. Un crève-cœur pour cette malheureuse humaine, qui craint les rides face à un Edward à l’insolence de Dorian Gray. Mais la famille Cullen - rappelons qu’elle se retient de boire le sang humain et chasse le cervidé sauvage périodiquement - a décidé d’organiser une sauterie guindée qui va s’achever en tragédie. Notre héroïne se coupe et le plus jeune des vampires Cullen manque de peu de faire de son sang son hors-d’œuvre. Edward, inquiet pour son avenir, décide de quitter sa belle pour la protéger. « Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, ce sera comme si je n’avais jamais existé. » La rupture met la donzelle KO.

Après des mois de prostration, elle parvient à se réconforter auprès de son ami Jacob Black, un indien quileute, dont elle découvre qu’il couve lui aussi un autre modèle de monstre. Les loups-garous, ennemis héréditaires des vampires, pointent ici le bout de leur museau, sans toutefois déclencher le moindre effroi.

Une première grosse moitié du film suit donc le duo Bella-Jacob, avant qu’Edward ne réapparaisse avec des velléités de suicide parce qu’il la croit morte. Le liant n’a pas varié : exaltation d’une relation amoureuse platonique mais érotisée, héroïsation de la figure du vampire (beau, rapide, honnête), triangulaire de la jalousie et pulsions de mort. Mais la recette fonctionne moins bien, l’adrénaline de la rencontre amoureuse est passée. Du coup, dans ce repas plus fade où se trouve gommée toute violence trop crue, les acteurs sont plus visibles.

Kirsten Steward se perd en minauderies et soupirs de courtisane du XVIIIe qui attend les sels. La belle gueule de Robert Pattinson semble avoir pâti de cette année passée à susciter l’hystérie planétaire et en devient fantomatique. Ça tombe bien, il ne revient au premier plan qu’en seconde partie, sérieusement disputé par le sensuel Jacob (Taylor Lautner, adepte de la muscu intensive). La scène du voyage en Italie, chez le sanguinaire et séculaire clan des vampiriques Volturi, aurait pu être une épopée plus baroque. Mais tout semble filmé sur le même fil, avec la crainte de dévier du tracé à succès et de décevoir un public d’adolescentes.

Le troisième volet, Hésitation, qui sortira en juillet, est déjà filmé par David Slade (30 jours de nuit…), un réalisateur plus horrifique, ce que suppose aussi Laurent Courau dans son livre Twilight secret (édition du Rocher), évoquant un cinéaste « particulièrement violent, nihiliste et aux antipodes de la vision des vampires par Stephenie Meyer ». Croisons les doigts ?

Paru dans Libération du 18 novembre 2009 - ecrans.fr
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 20:19

Valeriane a écrit:
je suis scotchée par la critique des inrocks Shocked

Idem! J'ai halluciné quand j'ai reçu la newletter! J'étais persuadée que ce serait une critique au vitriol dans la mesure où Twilight c'est pas trop le style de la maison! Grosse surprise cette critique!
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Jeu 19 Nov - 23:50

Twilight 2 : Tentation

Note : 3/5

Quelle est la différence entre Kristen Stewart et, mettons, Megan Fox ? La même qu'entre La Princesse de Clèves et, mettons, Next : une certaine idée de la séduction, dirons-nous. Soit, d'un côté, les prudes émois d'une jeunesse à fleur de peau (toujours blême), décrits avec tout le sérieux qu'il se doit (Twilight) ; de l'autre, le sexe comme objet de consommation immédiate, petit jeu ironique, devenant mesquin lorsqu'il s'agit, à l'instar de Diablo Cody dans Jennifer's body, de moquer la vulgarité dont on se repaît par ailleurs allègrement. L'émotion vraie, au risque de la candeur et du ridicule, contre l'émotion fabriquée, à la faveur du commentaire roi. Ou, pour reprendre Skorecki : le direct contre le différé. Nous avons choisi notre camp et, aux ayatollahs de la libération sexuelle (les mêmes qui pensent qu'un réalisateur est réac dès lors qu'il choisit de marier deux personnages...), qui ne manqueront pas d'instruire le procès en puritanisme des héros imaginés par la mormone Meyer, nous rétorquerons que l'abstinence est ici moins prônée que subie ; moins une doxa qu'un jeu ; et surtout, qu'elle est un excellent moteur à fiction, conférant moiteur et fébrilité à ce charmant babil de la Tentation, où le sexe ne se pratique pas, mais exhude de chaque plan.

Une fois cette question réglée (ils ne coucheront pas, voilà, fin du suspens), que vaut ce deuxième épisode ? La surprise et quelques morceaux de bravoure en moins - qu'on attribuera à la légère supériorité de Catherine « Thirteen » Hardwick sur Chris « About a boy » Weitz - Twilight 2 se révèle presque aussi beau que le premier, hissant d'ores et déjà la franchise au dessus de son concurrent à la baguette et aux lunettes rondes. Ce qui n'en fait certes pas un chef d'oeuvre (manque un vrai metteur en scène à la barre), mais un objet suffisamment sexy pour tenir nos sens en éveil deux heures durant. La nouveauté de cet opus tient dans le remplacement du bellâtre aux dents longues (Bobby Pattinson), exilé à Rio de Janeiro les trois quarts du film, par un indien maousse costaud, loup-garou à ses heures (un quileute en jargon). C'est dans ses bras créatinés que Kristen Stewart - un peu trop passive et cajolée à notre goût - trouvera à se consoler de son chagrin d'amour (jolie scène « circulaire », sur une musique de Lykke Li)... Jusqu'à ce que les vampires ne reprennent du service pour une ultime partie, jouissive, sous les ocres de Toscane.

Loin d'être neutre, cette translation du vampirisme vers la lycanthropie, et vice-versa, induit une oscillation stylistique, qui donne au film son troublant aspect volatil : où l'on passe, avec habileté, de l'évanescence à la pesanteur, des emos aux camés, d'une romance à l'eau de rose tantôt mignonne tantôt lassante (qu'on préfère toutefois, on le répète, au cynisme de ses concurrents) à des scènes de fight fièrement menées - en d'autres termes d'un film de fille à film de mec. Comme si, à l'image de la bande originale partagée entre une pop modern-chic (Bon Iver, Grizzly Bear, Thom Yorke...) et une partition pleurnicharde d'Alexandre Desplat, deux films luttaient en permanence, mais sans qu'aucun des deux n'arrive à l'emporter. On retrouve là la combinaison magique de quelques belles fictions teen contemporaines, comme Never back down, Sexy dance ou Fighting. Des films un poil candides mais toujours francs du collier, qui font de l'habilité des corps (on se bat, on danse, on bondit), de la confrontation physique (on est toujours contre quelqu'un) et de la jouvence éternelle leur sujet privilégié. Des films qui ne cessent au fond de poser la même question : que peut un corps adolescent éduqué devant MTV ?

Gilles-Ulrich Soares
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Ven 20 Nov - 12:36

[Critique] New Moon: Robert Pattinson décidément mauvais!

Note 6,5/10

Twilight New Moon gagne en «oomph» (à défaut de trouver un meilleur terme) par rapport au premier opus. Le fait que Chris Weitz soit à la barre de ce deuxième volet lui donne une consistance que le premier film n’avait pas. Certains plans de caméra sont hyper léchés (celui, notamment, illustrant le passage des mois solitaires de Bella sont magnifiquement rendus ou encore les séquences se déroulant à Volterra) et donnent une qualité visuelle indéniable au long métrage. L’atmosphère est plus lourde, plus intense et la dramatique de certaines scènes est parfaitement accentuée par la trame sonore d’Alexandre Desplat.

Si les effets spéciaux pour donner vie aux loups-garous sont parfois un peu gâchés (à part la transformation proprement dite ainsi que le moment où Jacob passe devant Bella et où son image se réfléchit sans sa pupille), ceux des vampires sont absolument superbes. La poursuite de Laurent par le Wolf Pack et la traque de Victoria figurent parmi les moments que j’ai particulièrement apprécié du film, déplorant d’ailleurs qu’ils durent si peu de temps. Autre grand moment de New Moon: toutes les scènes avec les Volturi. Michael Sheen est jouissif en Aro et Dakota Fanning est d’un diabolisme merveilleux de cynisme, son visage angélique offrant le contraste parfait avec ses yeux rouge sang.

C’est d’ailleurs après des séquences comme celles mentionnées ci-dessus qu’on s’aperçoit que la grande majorité de New Moon n’est qu’une longue – j’allais dire litanie – histoire d’amour à l’eau de rose, aux rebondissements alambiqués. Et c’est en comparant les prestations de Michael Sheen, de Dakota Fanning et même de Taylor Lautner à celle de Robert Pattinson qu’on obtient la confirmation de ce qu’on avait pressenti dans le premier volet: tout sexe symbole qu’il soit, il ne sait pas jouer. Ses répliques tombent à plat et sa «chimie» avec Kristen Stewart ne marche pas. Oui, les photos du film sont superbes et font de magnifiques fonds d’écran, mais dès que Robert Pattinson ouvre la bouche, c’est un massacre.

C’est d’autant plus dommage que Kristen Stewart semble avoir gagné en maturité, à moins que ce ne soit qu’un effet des couleurs, des costumes et du maquillage. J’ai beau ne pas être sensible à son jeu, je suis capable de voir qu’elle travaille, qu’elle est convaincante et qu’elle arrive à rendre certaines répliques d’un ridicule peu commun parfaitement crédibles (le «You’re sort of beautiful» à Jacob et autres plateries). Le charme n’opère malheureusement pas avec Robert Pattinson qui fait pâle figure (mauvais jeu de mots, je sais) à côté de Taylor Lautner qui, une fois qu’il aura mûri un peu, risque de surprendre.

Isabelle Hontebeyrie - LeBuzz.info
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Ven 20 Nov - 20:11

c'est pas vraiment une critique de la part d'un média Wink

The Vatican has blasted New Moon, calling it "deviant" and a "moral vacuum". The Twilight sequel, which hits cinemas this weekend, has been criticised by the governing body of the Roman Catholic Church for its supernatural references. "This theme of vampires in Twilight combines a mixture of excesses that, as ever is aimed at young people and gives a heavy esoteric element," complained the Vatican's culture council leader, Monsignor Franco Perazzolo. He added, "This film is nothing more than a moral vacuum with a deviant message and as such should be of concern." The Vatican's stance comes as something of a surprise as they have softened their stance on certain blockbusters recently - approving the most recent Harry Potter film and calling the sequel to The Da Vinci Code "harmless entertainment".

via robstenlovers.blogspot.com

si le vatican s'y met [New Moon] Critiques Médias - Page 4 557397
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Sam 21 Nov - 5:46

Pffffffffff! lol! sont nuls, surtout quand on sait qui a écrit Twilight
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Dim 22 Nov - 12:35

Et beh dis donc , vu le nombre des critiques je les ai survolées mais c'est pas cool tout ça. j'ai l'impression qu'ils descendent pour la plupart en flèche le film.
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Dim 22 Nov - 13:39

comme la 1ere fois et pourtant record d audiance!!! une petite remise en question s'impose mesdames et messieurs les critiques!!!!
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Dim 22 Nov - 17:38

Ouhla ils diraient surtout que les records d'audience ne sont pas un gage de qualité ^^ Et pour eux c'est nous qui sommes à la ramasse et qui ne comprenons rien! [New Moon] Critiques Médias - Page 4 336287
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1Lun 23 Nov - 22:30

http://player.canalplus.fr/#/294556

et moi qui pensait qu ils l auraient totalement descendu... et bien meme pas !
Enfin c est mitigé tout de meme [New Moon] Critiques Médias - Page 4 793733
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MessageSujet: Re: [New Moon] Critiques Médias   [New Moon] Critiques Médias - Page 4 Icon_minitime1

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