[Bel Ami] Revue de presse

Trad en cours...

Traduction de Total film

R-Pattz tombe le pantalon à Paris

Quand Robert Pattinson a rencontré Marion Cotillard à Cannes et lui a dit qu'il faisait un film basé sur un roman français de Guy de Maupassant elle a été perplexe : "Mais pourquoi le faire en anglais ?" C'est une des nombreuses questions que peuvent se poser les téléspectateurs en regardant la 11ème adaptation de l'histoire impitoyable sur la belle époque Parisienne sur l'arrivisme sexuelle/sociale qui a du potentiel pour être un film érotique, un parallèle impénitent aux renommées des tabloïds modernes (Simon Fuller a aidé au financement du projet après tout) et un rôle révélateur pour le beau gosse de twilight. Au lieu de ça, ça finit par un beau mais confus remake avec l'accent de RP mélangé avec des prononciations françaises ("J'ai dis, Monsieur Forestières!").
Bon point pour Pattinson pour casser son personnage d'Edward Cullen avec beaucoup de scènes de sexe et de maussaderie, mais il retombe souvent à plat pour transmettre les subtilités de la séduction, l'avarice, la rage, et la fausseté de son personnage. Cela dit, lui et la production (réalisé par Nick Ormerod et Declan Donnellan) sont de belles créatures, habillement soutenues par un casting de luxe qui ajoute de l'émotion. Kristin Scott Thomas et le cœur blessé de la pièce, élégante et en manque d'affection comme une épouse pieuse corrompue sexuellement par Pattinson (Duroy) dans sa quête pour atteindre son puissant mari. Christina Ricci apporte l'intérêt nécessaire en la débauchée Clotilde, tandis que Uma Thurman, joue la femme de Duroy, est remarquable surtout pour son style alarmant Thatcheresque.
La scripte de "Larkrise to candleford" Rachel Bennette a bien joué pour condensé la sexualité de Duroy en scène clé, mais n'a pas réussi à exprimer son égoïsme, sa motivation insensible, faisant de lui quelqu'un de contrit ou un simple râleur. Et est qu'une élaboration luxueuse signifie un excès de zèle au montage ?
La narration est parfois fouillis, alors qu'une scène ou le personnage enroule ses cheveux dans les boutons de Duroy est laissé inexpliquée.
Un luxuriant vaudeville d'époque, qui ravira les fans de R-Pattz, mais une adaptation sans effet, n'utilisant pas totalement les matériaux de base. Cotillard peut ne pas approuver.

Le verdict : Une belle mais curieusement fade adaptation d'un classique impertinent qui montre l'ambition de Pattinson si ce n'est pas toutes ses capacités.

c'est plutôt mitigé

Citation :

Sigh and sound

Guy de Maupassant’s second novel, about an unprincipled cad who rises in Belle Epoque Parisian society using women as stepping stones, has often been adapted for the screen, most famously by Albert Lewin as The Private Affairs of Bel Ami in 1947, with George Sanders in the title role. Lewin, a cultured Francophile

....

Traduction en cours (je sens qu'elle va me saouler cette traduction, entre les tournures alambiquées et le fait que l'article n'est pas vraiment sympa pour rob )

Traduction

Le deuxième roman de Guy de Maupassant, au sujet d'un goujat sans scrupules qui se hisse au sein de la société parisienne de la Belle Epoque en se servant des femmes comme tremplin, a souvent été adapté à l'écran, la plus célèbre adaptation étant celle d'Albert Lewin intitulé "The Private Affairs of Bel Ami" en 1947, avec George Sanders dans le rôle principal. Lewin, qui possédait une culture francophile, y avait fait un beau et sur-détaillé travail, mais, à 41 ans, Sanders était trop vieux pour le rôle et les censeurs de Hollywood, au grand dam de Lewin, ont imposé une fin moraliste dans lequel le goujat a ce qu'il mérite au cours d'un duel fatal. Difficile de faire quelque chose de plus hors sujet par rapport au roman de Maupassant, qui respire le cynisme mondain pour lequel l'écrivain était célèbre.

La nouvelle version n'a rien à voir avec une telle attitude moralisatrice. Le scénario de Rachel Bennette offre un rendu fidèle de l'oeuvre originale, y compris la fin avec Georges Duroy (l'ambitieux "Bel Ami" du titre) qui savoure son triomphe sur la société superficielle et corrompue qu'il méprise et personnifie à la fois. Bien que le film soit bien ancré dans son époque - la ville de Budapest fait un Paris en 1890 convaincant, où sévit le colonialisme français en Afrique du Nord qui fournit une toile de fond politique trouble - les thèmes du film donnent le sentiment d'être d'actualité. Un pays arabe est envahi pour des motifs hautement supérieurs, les partis politiques dénoncent ces pratiques tout en les adoptant subrepticement, la presse s'attaque à la corruption dont elle profite et un jeune homme sans véritable talent accède à la gloire grâce à son joli visage et sa fière allure.

Les réalisateurs Declan Donnellan et Nick Ormerod, dont c'est le premier long métrage, sont surtout connus pour leur travail avec Cheek by Jowl, la compagnie de théâtre d'avant-gardiste qu'ils ont fondée en 1981. Si Bel Ami donne parfois l'impression d'être étouffant et et est trop "art et d'essai", il reflète en partie l'époque où il se situe, mais les réalisateurs ont abusé des gros plans sur les visages. C'est presque comme si ils n'avaient pas confiance en l'aptitude de leurs acteurs à exprimer des émotions en plan moyen - c'est la dernière chose à laquelle vous vous attendez de la part de metteurs en scène de théâtre. Cela donne un Robert Pattinson en Bel Ami qui n'est pas à son avantage, puisque de près son visage a tendance à faire dans le bovin, mais par moments, il donne l'impression qu'il sait jouer. Une scène, où il joue à chat-perché avec sa bientôt maitresse Clothilde (Christina Ricci dans le rôle de l'amoureuse transie) et sa petite fille, fait ressortir le charme enfantin qui est en lui et qui s'avère utile auprès de dames parisiennes. Même si il est loin d'atteindre le niveau de jeu de son trio d'amoureuses, Christina Ricci, Uma Thurman qui joue le rôle de son mentor et par la suite de sa femme, et Kristin Scott Thomas, touchante et vulnérable dans celui de la femme de son patron. Comme le fait remarquer le personnage d'Uma Thurman, Madeleine, qui met Georges, sans le savoir, sur le chemin vers le sommet, dans cette société apparemment dominée par les hommes, les personnes vraiment importantes sont les femmes - et il en va de même pour le film.

:val:

Les filles.

les filles

Citation :

puisque de près son visage a tendance à faire dans le bovin, mais par moments, il donne l'impression qu'il sait jouer

de mieux en mieux les critiques pff

les filles ca me fatigue cette mauvaise foi donc je vais éviter de lire à l'avenir!

:val:

De t'tes façons c'etait courru d'avance!!!Les critiques sont cruellement prévisibles

'Bel' rings changes

When Brit theater veterans Declan Donnellan and Nick Ormerod were approached by "The Full Monty" producer Uberto Pasolini to direct a film version of 19th century novelist Guy de Maupassant's "Bel Ami," it was as if all their Christmas wishes had come true at once.

"It's a novel that we've always wanted to do a feature about," said theater director-writer Donnellan, whose stage credits include "King Lear" and "The School for Scandal."

"It's a completely modern theme about fame and corruption in which a man discovers the way to power is through the women in Paris," he said. "It's all about fame and money made in a world in which women have a lot of influence."

"Bel Ami," which premieres in Berlin on Friday and boasts a stellar cast including Robert Pattinson, Christina Ricci, Kristin Scott Thomas and Uma Thurman, is the duo's first feature.

Donnellan and theater designer Ormerod co-founded international legit company Cheek By Jowl where they have co-produced a number of plays including "The Changeling" and "Cymbeline."

"What was really ususual is that we worked as two directors on the 'Bel Ami' but brought very separate skills to the table," Ormerod said. "I dealt mainly with space, like theater and site-specific space, whereas Declan talked to and directed the actors most of the time."

Donnellan admits the experience was a rewarding one. "I learned something new here but there are, of course, a lot of parallels between film and theater," he said.

"What is absolutely the same is that you're bottling life in both theater and film. It's the life in the shot that matters and in stage, you produce that every night whereas in film, it has to be bottled. But we took to it like a duck to water."

Pic, which preems in Blighty on March 9 via Studiocanal, was brought to the directors by Pasolini in 2004. Rachel Bennette penned the script and worked with the duo on developing it before lensing began in Budapest and London.

The €9 million ($11.8 million) pic, produced by Simon Fuller's 19 Entertainment and sold by London-based Protagonist Films, finished shooting two years ago and some have wondered why it has taken such a long time to hit the bigscreen.

"We have a version now that all of us are extremely happy with," said Donnellan. "It has taken a long time because it's a huge story. It was ready to go last August but due to some of the actors' schedules, we've had to wait to launch the film so we get their full support."

And while the duo have yet to decide what their next feature will be, they say they definitely want to return to the medium.

"We're dying to make another film and both of us came alive when we were making 'Bel Ami,' " said Donnellan. "It gave us enormous oxygen and energy and we're still tripping on it."

source : variety.com via @RobPattzNews

traduction en cours...

Traduction

Lorsque les chevronnés metteurs en scène de théâtre britanniques Declan Donnellan et Nick Ormerod ont été approchés par le producteur de "The Full Monty", Pasolini Uberto, pour réaliser une version cinématographique du "Bel ami" de l'écrivain du 19e siècle Guy de Maupassant, c'était comme si tous leurs voeux de Noël venaient de se réaliser en même temps.

"C'est un roman que nous avons toujours voulu porter à l'écran" a déclaré le metteur en scène et scénariste Donnellan, qui compte à son actif "Le Roi Lear" et "The School for Scandal".

"C'est un sujet tout à fait contemporain sur la gloire et la corruption dans lequel un homme découvre que le moyen d'accéder au pouvoir, c'est de passer par les femmes à Paris" a-t-il dit. "Il y est question de gloire et d'argent dans un monde où les femmes ont beaucoup d'influence".

"Bel Ami", dont l'avant première aura lieu à Berlin vendredi et qui bénéficie d'une excellente distribution comprenant Robert Pattinson, Christina Ricci, Kristin Scott Thomas et Uma Thurman, est le premier long métrage des deux metteurs en scène.

Donnellan et Ormerod ont co-fondé la compagnie "Cheek By Jowl" où ils ont co-produit un certain nombre de pièces de théâtre dont "The Changeling" et "Cymbeline".

"Ce qui était vraiment inhabituelle c'est que nous avons travaillé comme deux réalisateurs "Bel Ami", mais en y apportant des compétences très différentes", a déclaré Ormerod. "Je me suis principalement occupé de l'espace, comme au théâtre avec la spécificité du lieu, alors que Declan dirigeait les acteurs la plupart du temps".

Donnellan reconnait que l'expérience a été enrichissante. "J'ai appris de nouvelles choses, mais il y a, bien sûr, beaucoup de parallèles entre le cinéma et le théâtre" a-t-il dit.

"Ce qui est totalement identique, c'est que ça vous bouffe la vie que ça soit le cinéma ou le théâtre. Ce qui prime c'est le tournage. Sur scène vous vous produisez chaque soir, alors que pour un film, ça doit être dans la boite. Mais on s'y est fait comme des poissons dans l'eau. "

Le film, qui sortira le 9 mars en Grande Bretagne distribué par Studio Canal, a été proposé aux réalisateurs par Pasolini en 2004. Rachel Bennette a écrit le script et a travaillé avec eux deux sur son développement avant que le tournage ne débute à Budapest et à Londres.

Le film d'un budget de 9.000.000 d'euros (11,8 millions de dollars), produit par Simon Fuller 19 Entertainment et vendu par Protagonist Films basés à Londres, a vu son tournage se terminer il y a deux ans et certains se sont demandé pourquoi il a fallu si longtemps avant sa sortie sur grand écran.

"Nous avons une version maintenant que nous donne à tous entièrement satisfaction", a dit Donnellan. "Il a fallu beaucoup de temps parce que c'est une histoire importante. Il était prêt en Août dernier mais, en raison des problèmes d'agendas de certains acteurs, nous avons dû attendre pour sortir le film afin de les avoir pour son lancement".

Et tandis que le duo n'a pas encore décidé quel sera leur prochain long métrage, ils disent avoir vraiment envie de revenir au 7e art.

"Nous mourrons d'envie de faire un autre film et tous les deux nous nous sommes sentis ressuscités quand nous faisions Bel Ami", dit Donnellan. "Cela nous a apporté une bouffée d'oxygène et une énorme énergie et on en est encore tout étourdi".


Nota : je n'ai pas traduit le titre "'Bel' rings changes" parce que je pense qu'il y a un jeu de mots qui ne fonctionne pas en français. Ils ont contracté "Bel Ami" en "Bel" qui phonétiquement se rapproche de "Bell" (cloche) et "rings" veut dire "sonne". De fait en français ça ne veut pas dire grand chose.

:val:

:val:

:val:

:val:

:val:

Cristina Ricci parle de Robert Pattinson dans Total Film



And love she does. If becoming this Parisian socialite sounds like Ricci's SoHo pipe dream come true, it's not the only fantasy on offer. There was also Pattinson. Locking lips and limbs with the Twilight star in a series of boudoir scenes, Ricci gets more R-Pattz ass than Bella Swan ever has. So come on, Christina, kiss and tell... "Everyone keeps asking me how is to kiss Robert," she says. "He's a good kisser. And I'm not being nice. It's just like that."

She may be six years his senior - he was just four when Ricci made her film debut as swimming-obsessed moppet opposite Cher in 1990's Mermaids - but Ricci insists that she and Pattinson got on famously. "He's always the kind of guy that you can look at and go, 'Oh God, This is uncomfortable!' And he's really lovely to work with, especially in those kinds of scenes, because he's so quick to laugh at himself - and me! He's very self deprecating, as am I."


Source @RespectKStewx via RPlife

Trad en cours...