[Cosmopolis] Revue de presse

j'ai dégrossi mais j'attends tes lanternes toujours trés utiles !!!

Cosmopolis:un avant goût du film. Cronenberg et Pattinson lancent les dés – partie 1

C'est en surface, la collaboration créative la plus improbable. L'idole des ados Robert Pattinson en relation avec David Cronenberg, régent du cinéma d'horreur et l'homme qui a fait donner naissance à Geena Davis d'un asticot dans La Mouche. On peut penser que les deux hommes sont joueurs, lorgnant sur de plus grandes récompenses. Mais une adaptation de Cosmopolis de Don DeLillo peut elle être payante?

Pattinson et Cronenberg, Cronenberg et Pattinson –c'est une combinaison qui devient de moins en moins surprenante à chaque fois que vous la voyez. L'un est souvent cité comme le plus grand réalisateur canadien de tous les temps et en effet l'un des deux est le plus important et le plus influant de manière global, avec une Légion d’honneur et une récompense au festival de Cannes, le prix du Carosse d’Or, et bien d'autres récompenses.

Pour être juste, le plus jeune a aussi accumulé ses propres trophées, bien que ce soit plus des MTV Movie Award dans la catégorie Meilleur Baiser, en opposition au prestigieux prix culturel du gouvernement français Il est vrai aussi qu'il récolte moins de critiques unanimement positive que son nouveau mentor de réalisateur.

Car alors que Cronenberg a essuyé des critiques, on a du mal à croire qu'il a subi des assauts aussi virulents sur ses compétences professionnels que Pattinson doit subir à chaque sortie de ses films. Allez voir par exemple la critique faite par The Playlist de Remember Me ('Pattinson maitrise l'accent Américain accent, mais il devrait en fait se focaliser plus sur son jeu d'acteur. Cligner des yeux ne compte pas'), ou celle de Slash Film sur Twilight ('Pattinson passe la plupart du temps à avoir un air qui est un mélange de Zoolander dans “blue steel” et une personne tentant de ne pas succomber à une diarrhée aiguë').

1.Le nouveau rôle principal de Cronenberg

La soit disant improbabilité de cette union a été amplifiée par la vive réaction dès que cette nouvelle est sortie, il y a un mois, affirmant que Pattinson remplacerait Colin Farrell pour le rôle principal de Cosmopolis, adapté du roman éponyme de 2003 de Don DeLillo,et la dernière réalisation de Cronenberg. Les disciples du réalisateur n'en revenaient pas , crachant que leur dieu de la réalisation allait être souillé en s'associant à un mec plus connu pour donner des paillons dans le ventre au jeunes filles .


La virulence du venin ne pouvait être que temporisé par un flot d'admiration des supporters de R-Patz, bien qu'il y aurait un peu de perplexité à explorer les anciennes oeuvres de l'homme pour qui leur beau gosse allait jouer. Oubliez les papillons dans le ventre, un film de Cronenberga plus de chance d'avoir des parasites rampant ici et là (Shivers), ou peut être l'ouverture d'un vagin par l'insertion d'objets (Videodrome).

Doc qu'espère faire Cronenberg en choisissant pour le rôle principal un Britannique mince dont le charisme a été comparé à celui d'un canapé? Et vice versa, qu'espère obtenir Pattinson en faisant ses devoirs avec un réalisateur dont les anciens protagonistes comptent des meurtriers, des fous, une femme au pénis mutant qui lui pousse sous les aisselles (Rabid)?

Et quel réseau mondial de Patt-ophiles, unis par leur adoration du vampire Edward Cullen, va faire en voyant leur objet de fantasme, s'ils adhérent au roman de DeLillo , quand ils verront qu'ils trompent constamment sa femme, tue un homme de sang froid et sort la phrase suivante “Je veux te baiser doucement avec mes lunettes sur le nez ”?

2. Cosmopolis : le cast prend forme

Juillet 2009 : on apprend que David Cronenberg réalisera l'adaptation de Cosmopolis, publié en 2003 , un des volumes les plus faciles à lire pour le lecteur de Don DeLillo. Il a déjà réalisé un film irréalisable avec en1991, quand il a fait le version du livre de William Burrough Naked Lunch. Cronenberg est vraiment un homme qui n'a pas peur des challenges et il n'hésite à redorer DeLillo aux yeux d'' Hollywood.

Cette rédemption de l'écrivain n'est pas dû à des lacunes artistiques – le septuagénaire peut compter plus de supporters que quiconque pour déterminer l'identité de lu plus grand auteur américain encore vivant. C'est plus dû à une attitude venant de l'industrie cinématographique, ou comment rendre correctement les chemins très sinueux de l'écriture de DeLillo pour pouvoir être attrayant aux yeux du plus grand nombre ,sans non plus effacer l'essence même de ce qui le rend digne de lecture. .


Cronenberg s'est mis à la tâche en commençant par transcrire la prose magique de DeLillo puisque c'est lui qui a fait le script et qu'il assure ainsi à Cosmopolis d'être son 1er script depuis 1999 et son film, eXistenZ. Et bien que le réalisateur se soit déjà engagé dans le film A Dangerous Method, il y a eu une avancée significative sur le front de Cosmopolis en un car un poster servant de teaser poster a été dévoilé et un début de production programmé pour Mars 2011 et Colin Farrell et Marion Cotillard devaient avoir les rôles principaux.

Mais ces deux choix furent caduques. Même si c'est risquer de laisser tomber une super film pour une moindre production, Colin Farrell a sans doute fait un choix risqué ces dernières années , et c'est sans conteste le film In Bruges – et son Golden Globe dans la catégorie Meilleur Acteur –qui l'a remis sur le droit chemin.

Cotillard, a déjà obtenu un Oscar pour La Vie en Rose, et alors qu'elle s'est déjà fait un belle place sous le soleil d' Hollywood , obtenant de grands rôles dans les film de Michael Mann ( Public Enemies) , dans la comédie musicale Nine, et Inception. Donc deux bons acteurs pour des rôles très exigeants – lui en milliardaire ney yorkais, Eric Packer; elle pour incarner la femme de Packer, Elise Schifrin.

3. Bye Bye Colin Farrell...

Si tout semblait en place pour un tournage en 2011 à la fois à New York (où se déroule Cosmopolis ) et dans la ville natale de Cronenberg, Toronto, tout cet ordre bien établi a volé en éclat début janvier. Ce fut quand Farrell a délaissé le pouvoir artistique de David et Don pour accepter le rôle principal dans le remake de Total Recall pour le studio Columbia Pictures et le réalisateur Len Wiseman (réalisateur de Underworld, un film aux antipodes du roman éponyme de DeLillo).

Cronenberg peut être facilement pardonné d'avoir grincé des dents de frustration suite à ce coup du sort,bien qu'il fut tenté de faire un sourire en coin. Car non seulement il avait passé une année non fructueuse dans les années 80 avec sa première adaptation de Total Recall pour feu Dino DeLaurentiis (“Je voulais tant que ça marche que j'ai prétendu que ça marchait “ a dit le réalisateur quelques années plus tard ), mais il devait aussi faire face à un énième désistement d'un acteur pour A Dangerous Method, car l'acteur avait choisi d'aller gagner plus sur un film moins puissant intellectuellement.


L'acteur en question était Christoph Waltz, qui selon Cronenberg “est parti simplement pour faire un film d' Hollywood ”. Et il est difficile de contredire ça quand un acteur quitte un film indépendant adapté d'une pièce de théâtre sur les pères fondateurs de la psychanalyse , Sigmund Freud et Carl Jung, pour jouer un dompteur de cirque dans un vieux film à gros budgets réalisé par Francis Lawrence.

Mais si le réalisateur a été vexé par l'abandon de Waltz dans son rôle de Freud pour les fanfreluches de Water for Elephants, ce fut le collègue de l'acteur autrichien , qui a eu un oscar , qui est venu à la rescousse pour faire face à une crise dans le casting de Cosmopolis – et ce collègue n'est autre que Robert Pattinson.

4. ..suivi du départ de Marion Cotillard

“ J'ai dit oui dès qu'il m'a appelé,” a dit Pattinson à MTV sur sa participation soudaine à Cosmopolis . Aussi excité qu'il pouvait l'être , il a rejoint une société qui , à vrai dire , est en changement constant , car Cotillard aussi quitté le navire (on dit que ce serait pour jouer dans The Dark Knight Rises).

Keira Knightley, qui incarne Sabina Spielrein dans A Dangerous Method et dont Cronenberg dit “elle est aussi bonne que tous ceux avec qui j'ai travaillé ” (il a aussi dit qu' “elle est une sacré femme” mais peut être ne faut il pas approfondir les choses), fut rapidement envisagé pour la remplacer. Et à 25 ans , ça semblait un choix plus judicieux pour s'adapter au jeune Pattinson car Cotillard avait 34 ans. De plus, elle est sans doute une des jeunes stars britanniques dont on a tourné en dérision le talent en la comparant au Captain Jawline.

Un duo qui fut le paradis des tabloid? Les sites à potins pouvaient ils tailler leur crayons pour commencer leur histoire et leur spéculation sur Kristen Stewart mettant son masque de Hulk à cause de sa jalousie face au lien de Knightley et Pattinson ?

Non! Malgré de nombreux article sur le casting officiel de Keira, ses représentants ont confirmé la semaine dernière qu'elle ne serai pas Elise , un rôle qui reste à pourvoir– en tout cas c'est ce que supposent ceux qui ne sont pas dans la sphère Cosmopolis.

Avec cette affaire autour Knightley, un casting vraiment encourageant à failli passer inaperçu , celui de Paul Giamatti, tout frais de son succès au festival Sundance avec son film Win Win . La star de American Splendor a révélé que son rôle impliquerait une traque du personnage de Pattinson Packer, sous entendant qu'il incarnerait sans doute l'homme contradictoire et en quête de vengeance Benno Levin.

source : indiemoviesonline.com via spunk-ransom.com

quel boulot !!! parce que çà n'avait pas l'air facile à traduire !!!!

un article qui souffle le chaud et le froid je trouve y'a vraiment des réflexions à 2 balles sur qui sont les fans de Rob. non monsieur, y'a pas que des oies blanches qui apprécient robert pattinson

en tout cas un grand quand je l'ai vu celui là, j'ai renoncé

qui dit part. 1... dit part. 2 que voilà (désolée ptiteaurel lol)

Cosmopolis movie preview: Cronenberg and Pattinson roll the dice – part 2

Yesterday saw publication of the first section of our preview of Cosmopolis, a soon-to-shoot production that will find revered horror director David Cronenberg barking instructions at the face which shifted a trillion pieces of Twilight merchandise, Robert Pattinson. Today's part two focuses on the content of Don DeLillo's source novel, as we speculate on some of the acts R-Patz will be called upon to perform.

A bother it may be, but it would be beneficial for all concerned if you check out part one of our Cosmopolis preview ahead of proceeding any further with this concluding segment. Go on, we'll wait right here for you. Promise.

Done? Super. So now you're all to speed as to who isn't doing the movie (Colin Farrell, Marion Cotillard, Keira Knightley), as well as who is (Robert Pattinson, Paul Giamatti, director David Cronenberg). Which means we can now delve into people, places and events of Don DeLillo's Cosmopolis, the 2003 novel upon which the new movie is based.

People including billionaire Eric Packer and his secret nemesis Benno Levin (the respective roles Pattinson and Giamatti will most likely play). Places confined – if that is quite the right word – to New York City, where the whole of the book takes place. And events including murder, infidelity, mass nudity, and a whole lot of driving around at very slow speeds (and yes, there are possible spoilers ahead).

1. Packer and pals

Set over the course of a single day in April 2000, Cosmopolis commences with Eric Packer, sleepless in the small hours of early morning, on the loose about his 48-room apartment situated at the apex of an 89-storey NYC skyscraper (cost of purchase to its owner, it is later revealed: a cool $104m).

A 28-year-old billionaire (Pattinson will turn 25 during the NYC and Toronto-based shoot), Packer seems almost as much a melding of flesh and machine as such prior Cronenberg protagonists as Max Renn from Videodrome or the boring morons from eXistenZ. Harbouring an obsession with charts, patterns and knowledge, he is every bit the tech-savvy plutocrat for the modern age, though we soon learn that he and his company, Packer Capital, are haemorrhaging money after leveraging heavily against a yen that is performing above expectations.

He exits his building, apparently simply in search of a haircut, departing in a white stretch limousine equipped with cameras, night-vision and myriad other gadgets, not to mention a troupe of bodyguards, led by 'bald, no-neck' Torval. It is in the rear of the limousine that much of the first half of the book plays out, as Packer converses with an almost picaresque procession of aides from his company – Shiner, his head of technology; 22-year-old currency analyst Michael Chin; Viji Kinski, his oblique-speaking chief of theory.

Also popping by for a visit are his chief of finance Jane Melman, who he picks during her morning jog, and Dr. Ingram, the physician that carries out Packer's daily check-up, with this involving the billionaire dropping his pants and being subjected a thorough examination of his lower extremities. Although he is alarmed when Ingram concludes he has an asymmetrical prostate, this does not stop him from simultaneously indulging in some sweaty flirting with Jane, delivering the line “I want to bottle-fuck you slowly with my sunglasses on” as he spies her thumbing her water bottle in an apparent gesture of sexual tension.

2. Meat Packer

It is made abundantly clear that Eric is a young man with prodigious drive and this extends to his sexual liaisons. He might not, at the outset of the book, being getting his end away with his wife of 22 days, Elise Schifrin, but he certainly sticks the Packer pecker in plenty of other places.

Early on, he has the car pull over next to two hairdressing emporiums, only to go in neither, instead diverting to the nearby apartment - and bed - of Didi Fancher, a 47-year-old art expert. Assuming this sequence does make it into Cronenberg's movie, what will the Twi-hards reckon to Edward performing an act described thusly by DeLillo: 'He made a fist and wedged it between her thighs, turning it slowly back and forth'?

And if that sequence has the potential to raise a few eyebrows then what about the danger-tinged sex scene between Packer and Kendra Hays, his Amazonian-dimensioned African-American bodyguard? Not only does she keep her armour on while they get busy building the beast with two backs, but she also pours vodka on his genitals, and obliges him when, post-coitus, he suggests she shoot him with her stun gun. All about as far removed from the teen angst romance of Remember Me as it is possible to conceive.

Interspersed amidst all this nookie are a series of apparently random encounters between Eric and Elise. She, heir to a Euro banking fortune ('Swiss or something') and a 'shit' poet, finally makes love to him near the end of the novel, after he has stripped off to lie with her and 299 other naked people who are all taking part in a film shoot. That shoot is taking place on a New York street, and the couple sneak off to a boarded-off section of sidewalk and finally do the deed. Score!

3. The bodies pile up

Security chief Torval proves intensely twitchy about the entire, seemingly frivolous, day out, noting early on that the New York roads are likely to be gridlocked due to a visit from the US President (a fictitious commander-in-chief named Melwood), and also that a 'credible threat' has been issued against Eric's life.

A mania does appear to be in the air on this particular April day, as it turns out, with Packer taking grim pleasure from televised reports about the brutal murders of two acquaintances - an IMF bigwig and a Russian oligarch - and both the NASDAQ building in Times Square and his own limo coming under attack from anti-globalisation protesters. He is assaulted by a protester again later, albeit in more comical manner, when he is pied by the 'Pastry Assassin', a Romanian who travels the world tossing desserts at the fabulously wealthy.

Having gleaned perverse enjoyment from the deaths of his business rivals, Packer is rendered more typically melancholy by the loss of life he encounters when his car is halted in its citywide crawl by the funeral procession for the Sufri rapper, Brutha Fez. A fan of the music star, Packer prejudicially pictures him having died in some gangland shoot-out, only to learn from Fez's manager, and his friend, Kozmo Thomas, that the clean-living rapper passed away as the result of a chronic heart defect. A tributary train of breakdancers accompany the cortège, a potentially arresting image if it features in the film.

The most electrifying act of violence is, however, committed by Packer himself, as he takes Torval's gun and uses it to shoot and kill his employee, in the most nonchalant of manners. This occurs roughly three-quarters through Cosmopolis, and is a key step in Packer's reconnection with the visceral – a reconnection which, in turn, is leading inexorably and explicitly towards his own death.

4. All Packed up

The story of Eric Packer's day is, in some ways, a form of spiritual restoration – though as the bad behaviour already described suggests, not in the glowing positive sense which that phrase is often deployed. But while we're certainly not dealing with some sanctimonious money-can't-buy-you-love sentiment here, it is true that as he loses all his vast wealth in his betting against the yen (and loses all of Elise's too, when he hacks into her accounts and pilfers her fortune), as he feels the sting of Kendra's stun gun, as he blows Torval away without mercy, he becomes more alive.

Becomes more alive just as he becomes very actually dead. Notice of that expiration is served barely a quarter of the way into the book, when the narration switches from a third-person perched on the shoulder of Packer, to the first-person of Benno Levin. Scratching out an iconoclastic existence in, as we learn, a derelict building, the first words of Benno's 'confession' are 'He is dead'. The ensuing description of a corpse with half a haircut strongly suggests that the 'he' is Packer, and that this is effectively the end of the novel transposed to somewhere near the front.

Following this and another later confessional interlude, Benno enters the narrative proper when the now-broke Packer, fresh from getting half his hair trimmed by a childhood family friend, drops his limousine off at a storage garage. For all the talk of the youthful billionaire being tracked across the city by a foe with murderous intent, Eric is ultimately pinpointed by Benno when the former happens to amble past the latter's hole of a home.

A shot is fired from the window, before Packer, packing heat of his own, enters the building and, after delivering an epic monologue, bursts into the room in which he thinks Benno is lurking. Here Benno reveals himself to be Richard Sheets, a disgruntled ex-employee of Packer Capital, seemingly with a burning grudge against the superficiality and self-satisfaction of modern capitalist society.

The final pages are taken up with this last confrontation between Eric and Benno/Richard, with the younger man displaying his new-found self-destructive urge by blowing a hole in his own hand, and his nemesis displaying surprising kindness as he tends to the wound. In the course of their conversation, Benno reveals that he too has an asymmetrical prostate and that it is entirely normal and nothing to worry about. The book concludes with Packer having a vision of himself as a corpse, tagged as identity unknown by the authorities, before he awaits the final, fatal shot from Benno.

5. Pattinson sets his sights

Whether you agree with the choice or not, the exit of Colin Farrell and the replacement casting of Robert Pattinson has put an entirely new complexion on the Cronenberg Cosmopolis.

With his critical rep having followed the example of the man himself and gone into rehab, most would have viewed Farrell as a very solid, very laudable choice for the role of Eric Packer. In contrast, no-one as yet has seen Pattinson play this kind of part, meaning that the entire production has suddenly taken on a fresh frisson of excitement (not least for all those teenage girls who know which film shoot they'll be staking out from this May).

It is easy to discern what Pattinson hopes to gain from the endeavour. Just as the day-long journey of Eric Packer can be seen as that of a God falling from the sterile sanctuary of Mount Olympus, to the dirty streets below where he is free to love and steal and kill with all the other humans, so Pattinson clearly wants to scrub himself of the stifling sheen of teen exaltation, and instead have the opportunities to make the kind of movies he wants to make.

But that is a quest with an inherent deadline. As any member of Bros will tell you, the idols of young girls are not renowned for their longevity, and the opportunities that Pattinson's ephemeral pin-up status brings him now will not necessarily be there in the not too far-flung future. He must therefore seize the day if he is to make the successful transition to adult star.

Water for Elephants appears a bridging picture in that process, a movie that won't startle his core fans but will perhaps hook in a slightly older crowd than that which flocks to the Twilight films. The collaboration with an internationally-respected director such as Cronenberg then forms another facet of that process – one that can, he will surely be hoping, bolster his credibility in the eyes of critics and those film fans who have given him such a hard time to date. Those film fans being, as we determined yesterday, precisely the kind of auteurists who bow down and worship at the knee of Cronenberg.

6. The allure of RP

So, the key question for those movie-lovers then is why one of their cine-heroes has turned to a young man they view as a big-haired mediocrity who is more use in terms of shifting gossip magazines at supermarket tills than he is at crafting a believable character. For while Packer might be youthful enough of a character to preclude the director from turning to his recent performer of choice, Viggo Mortensen, he still could in all likelihood have hooked in someone like Michael Fassbender, another of his A Dangerous Method stars, and an actor whose hiring on Cosmopolis would have triggered less online ire than Pattinson's did.

Cronenberg has historically never been adverse to a spot of casting that others might regard as a risk, an attitude evinced by the presence of porno actress Marilyn Chambers in Rabid and of Debbie Harry in Videodrome. But what does seem to have undergone amendment in recent years is his stance towards the commercial side of the film biz. Whereas the director's '90s output – Naked Lunch, M. Butterfly, Crash, eXistenZ – was almost entirely restricted to an art-house audience, the third millennium offerings of A History of Violence and Eastern Promises were both more obviously accessible to mainstream audiences and delivered decent cash hauls to boot (2002's Spider seemed more of a post-eXistenZ exercise in re-establishing quality control).

Apparently happy to berth in these waters where large numbers of people actually see his movies, Cronenberg would first appear to have bolstered the box office potential of Cosmopolis via the addition of Pattinson. For all the good notices and attention he has received over the years, there remains a question mark over the ability of Farrell to open a film, with Alexander and Miami Vice having proved a pair of expensive, highly-visible, disappointments. Indeed, there has been some suggestion that it was the Irishman's desire to prove his commercial virility which led him to pass on Cosmopolis in favour of the Total Recall remake.

However what Cronenberg does get through the casting of Pattinson – and what he wouldn't have got had Farrell not exited – is the ideal movie star embodiment of Eric Packer. Because while the Pattinson devotees might present him as a throwback to vintage teen icons (both James Dean and Holden Caulfield have been regularly invoked in connection with Remember Me), he is in truth as much a 21st century man as DeLillo's boyish billionaire.

As Packer tames the torrents of information coursing through the Manhattan (and beyond) of the new millennium, making monster loot via his understanding of the financial maelstrom, so too Pattinson exists – to an extent - within these torrents, with his extraordinary following built from the ability of his fans to form an epic network trading specifically in information about him. Both have achieved preternatural success at a youthful age, both live in a world that wants a piece of them, and given the abnormal manner in which others relate to them both could be forgiven for considering themselves a near-deity on Earth.

The marriage between Packer and Pattinson seems natural therefore. We will likely find out sometime in 2012 if the marriage between Cronenberg and Pattinson proves equally harmonious.

source : indiemoviesonline.com via spunk-ransom.com

et et moi je dis jamais 2 sans trois

Spoiler:

et

Bah les filles, la traduction ça sera pour demain car là je rentre d'une réunion et je suis crevée. Merci de votre compréhension

Un grand Ptiteaurel
Et ne t'excuse pas de ne pouvoir traduire la deuxième partie, tu as déjà eu ta tartine pour aujourd'hui

Hum que dire sur cette partie 1...
Attendons la suite pour le plat de résistance

ma pauvre Ptiteaurel !!! tu es toute excusée !!! déjà que je culpabilisais sur la première partie

pour la longue traduction et la 2ème partie peut bien attendre demain
:val: aussi

la traduction était très longue alors on peut attendre pour la 2 ....
et merci aussi

Trad de la partie 2 en cours....

Première réaction par un site média (pas à potins mais qui parle de cinéma) avec l'annonce des nouveaux membres du casting

Juliette Binoche et Mathieu Amalric dans le COSMOPOLIS de Cronenberg

Les deux Français auraient rejoint Robert Pattinson et Paul Giamatti dans le prochain film de David Cronenberg, inspiré d’un roman de Don DeLillo.

Au départ, COSMOPOLIS devait aligner Colin Farrell et Marion Cotillard au générique. Le premier a jeté l’éponge au profit du remake de TOTAL RECALL et la seconde pour faire un bébé et peut-être apparaître dans THE DARK KNIGHT RISES. Si l’on pensait que Keira Knightley avait remplacé La Môme au générique, rien n’est moins sûr, l’actrice anglaise n’ayant encore signé aucun contrat…

Dans l’intervalle, la société de production Clap Filmes assure sur son site internet que la distribution du film vient de s’enrichir de deux comédiens français : Juliette Binoche et Mathieu Amalric. Ils rejoignent Robert Pattinson, qui incarnera le rôle principal, et Paul Giamatti. Le héros de TWILIGHT interprètera Eric Packer, milliardaire de 24 ans qui trompe sa femme, et se voit traqué par un inconnu, qui aura donc le visage de Giamatti.

Pour le moment, les rôles de Binoche et Amalric n’ont pas été précisés. On imagine, étant donné son âge, que la première n’a pas été engagée pour remplacer Cotillard ou Knightley. À moins que Cronenberg nous la joue légèrement déviante. On est en tout cas ravis d’imaginer Amalric donner la réplique à R-Patz : voilà un duo qui pourrait faire des étincelles, et mener la star des minettes sur un chemin plus intéressant grâce à l’exigence du comédien/réalisateur français. Le tournage doit débuter fin mai pour une durée de deux mois. Date de sortie prévue en 2012. Le rendez-vous est déjà pris pour le Festival de Cannes…

source : cinemateaser.com

la "même" info rapportée par un site à ragots, on voit de suite la différence entre la ligne éditoriale qui n'est pas la même et le manque de professionnalisme dans le relais de l'info

Juliette Binoche- Chérie de Robert Pattinson dans Cosmopolis

Robert Pattinson devrait être rejoint par la française Juliette Binoche au casting de « Cosmopolis », prochaine réalisation de David Cronenberg, auquel ont doit «A History of Violence » et « Les Promesses de l’ombre».

Après les désistements de Marion Cotillard et Keira Christina Knightley, Juliette Binoche aurait été approchée pour tenir la tête d’affiche de ce drame au côté du héros de la saga «Twilight ».

Screen Daily, le premier à avoir rapporté cette nouvelle, affirme que Paulo Branco, le producteur de Cosmopolis, aurait sollicité Juliette Binoche pour se glisser dans la peau de la femme du personnage campé par le chéri de Kristen Stewart.

La date de tournage a par ailleurs a été confirmée au 24 mai.

Paul Giamatti rappelons le, sera également du casting.

source : pipole.net

mékisonnul

:val: pour euh....ça
Ils sont toujours aussi bien informés

Encore heureux que le premier article compense largement le deuxième

J'en peux plus du 2ème

annouk si tu en trouves un 3ème , tu le traduiras

Je te rassure ptiteaurel, ça s'arrête à part. 2 courage

Cosmopolis: un avant goût du film ( partie 2)

Hier a été publiée la première partie de cet article sur Cosmopolis, une production qui va bientôt débuter et à la tête de laquelle on verra David Cronenberg crachant ses instructions au visage du produit marketing Twilight qu'est Robert Pattinson. La 2ème partie se focalise sur le contenu du roman de Don DeLillo et nous spéculons sur les choses que R-Patz devra jouer.

Aussi ennuyeux que ce puisse être, il vaut mieux avoir lu la 1ère partie de notre article sur Cosmopolis avant de lire ce qui suit. Allez y , on vous attend. Promis.

Ca y est? Super. Donc vous savez désormais qui ne fait pas le film (Colin Farrell, Marion Cotillard, Keira Knightley), et qui le fait (Robert Pattinson, Paul Giamatti, et le réalisateur David Cronenberg). Ce qui signifie qu'on peut se plonger dans les personnages, lieux, et événements du roman.

Les personnages comptent le milliardaire Eric Packer et son ennemi secret Benno Levin (rôles tenus respectivement par Pattinson et Giamatti). Cela a été confirmé – si on peut dire – à New York , où tout le livre se déroulera . Et l'histoire inclut des meurtres, des adultères, beaucoup de nudité et beaucoup de ballades en voiture à une vitesse très lente ( Attention spoilers à venir).

Spoiler:

5. Pattinson vise des choses

Que vous soyez ou non d'accord avec ce choix, le désistement de Colin Farrell et son remplacement par Robert Pattinson présente le Cosmopolis de Cronenberg sous un nouveau jour.

Avec ses détracteurs suivant l'exemple de Pattinson lui même et partant en cure de desintox , la plupart voyait en Farrell un acteur très solide , un choix très louable pour le rôle d'Eric Packer. Au contraitre, personne n'a encore vu Pattinson jouer ce genre de rôle, cela implique que toute la production a tout à coup ressenti de l'excitation (du moins pour toutes ces ados qui savent déjà quel tournage de film elles vont suivre en Mai).

Il est aisé de comprendre ce que Pattinson espère obtenir avec cette tentative. Alors que cette journée avec Eric Packer peut être interprétée comme la chute d'un Dieu du Mont Olympe, dans les rues sales de ce bas monde où il est libre d'aimer , de voler et de tuer les autres humains, Pattinson veut se nettoyer de toute cette exaltation des adolescentes, et ainsi avoir la chance de faire les films qu'il veut vraiment faire.

Mais c'est une quête qui est limitée. Comme vous le diront les membres de la Warner Bros, les idoles des jeunes ne sont pas connus pour leur longévité , et les opportunités que le statut éphémère de pin up pour Pattinson lui a apporté ne seront plus aussi denses dans le futur. Il doit donc saisir l'occasion s'il veut faire une transition réussie pour devenir une star pour adulte.

Water for Elephants semble être un bon relais, un film qui ne surprendra pas trop ses fans mais qui attirera un public peut être plus âgé que ceux des films Twilight. Une collaboration avec un réalisateur aussi reconnu que Cronenberg est une autre étape vers cette transition – qui pourra , c'est ce qu'il espère sans doute, lui donner de la crédibilité aux yeux des critiques et ses fans qui ont eu la dent dure. Ces fans sont ceux que nous avons évoqué hier et qui se mettraient à genoux devant Cronenberg.

6. Le charme de RP

Donc la question clé pour ces cinéphiles est pourquoi leur héros s'est tourné vers un jeune homme qu'ils considérent comme médiocre, qui est plus sujet aux potins dans les kiosques à journaux qu'à jouer de manière crédible un personnage. Packer est peut être un personnage trop jeune pour que Cronenberg exclut son acteur de prédilection Viggo Mortensen. Il aurait pu choisir d'autres acteurs comme Michael Fassbender, une autre star de A Dangerous Method ou un acteur pour Cosmopolis dont la casting n'aurait pas déclenché la colère qu'a déclenché Pattinson.

Cronenberg n'a jamais dû faire face à une critique dans ses choix de casting, sauf pour l'actrice porno Marilyn Chambers de Rabid and of Debbie Harry dansVideodrome. Mais il semblerait que ces dernières années , il ait compris l'importance de l'aspect commercial dans l'industrie cinématographique. Alors que dans les années 90 – Naked Lunch, M. Butterfly, Crash, eXistenZ – ses films étaient destinés au cinéma d'art et d'essai, le 3ème millénaire a vu A History of Violence et Eastern Promises accessibles à un public plus lambda et a permis de plus belles recettes (en 2002, Spider semblait être un exercice post eXistenZ pour rétablir la qualité).

Apparement habitué à ces eaux troubles où il préfére que plus de gens voient ses films, Cronenberg semblerait vouloir booster le box office éventuel de Cosmopolis grâce à l'ajout de Pattinson. Malgré toutes les bonnes critiques et toutes les attentions qu'il a reçu au cours des années,on se demande encore si Farrell peut porter sur ses épaules un film , avec Alexander et Miami Vice qui se sont révélés être des déceptions cuisantes et onéreuses. En effet, on mumure que ce fut le désir de cet irlandais de prouver sa viabilité commerciale en delaissant Cosmopolis pour Total Recall .

Cependant qu'obtient Cronenberg avec le casting de Pattinson – et qu'aurait il eu si Farrell n'était pas parti - avec cette interprétation de Eric Packer? . Car alors que les adeptes de Pattinson envisage cela comme un rejet du statut d'icone pour ados ( James Dean et Holden Caulfield ont réguliérement été évoqué lors de Remember Me), il est dans le vrai comme ce jeune milliardaire du 21émè siècle créé par DeLillo.

Alors que Packer apprivoise les flux d' informations , qu'il reçoit à Manhattan (et d'ailleurs) sur ce nouveau millénaire, devenant un monstre du fric via sa compréhension du tourbillon financier ; Pattinson existe aussi – dans une certaine mesure- dans ce flux, grâce à cet incroyable construction par les fans d'un réseau si épique et apte à échanger des informations sur lui . Tous deux ont atteint le succès très jeune, tous deux vivent dans un monde qui veut une part d'eux même , et vu la manière dont les autres s'identifient à eux, on peut leur pardonner de se considerer comme des demi dieux sur Terre

Le mariage entre Packer et Pattinson semble donc naturel. On découvrira sans doute en 2012 si le mariage entre Cronenberg et Pattinson s'avère aussi harmonieux.

source : indiemoviesonline.com via spunk-ransom.com

Valeriane a écrit:

Je te rassure ptiteaurel, ça s'arrête à part. 2 courage

et bien tant mieux car les phrases à rallonges, les mots pompeux, j'en ai ras la casquette

Si vous avez le mème genre d'article à traduire de l'Espagnol...

Ben voilà je savais que j'avais pas besoin de lire le livre,ils m'ont tout expliqué
C'est définitivement pas mon truc

c'est pratique cet article. on pourrait presque l'appeler "Cosmopolis pour les nuls" tout y est expliqué.

par contre l'auteur il n'est pas obligé de casser du fans de rob comme il fait et ferait mieux de se renseigner sur qui ils sont vraiment et il verra qu'il faut souvent distinguer les fans d'Edward et ceux de Rob.

par contre si ils s'en tiennent au bouquin, ça va être rock'n roll (j'ai éclaté de rire au passage sur le fist en imaginant la tête de certaines toutes jeunes fans de twilight à l'idée que leur Edward - pour celles qui font le transfert - puisse s'adonner à ce genre de jeu sexuel si tant est qu'elles sachent ce que c'est looool)

c'est sûr que ce film là ne sera définitivement pas pour tous les yeux

pipole.net/premiere.fr même combat dans la nullité. Si plutôt que de dire des conneries, ils se renseignaient sur les personnages du livre, ils verraient qu'elle n'a pas l'âge du rôle

Juliette Binoche : remplaçante de Marion Cotillard dans Cosmopolis

Le prochain David Cronenberg reste francophile

Nous vous l'avions annoncé , Marion Cotillard quittait le tournage de Cosmopolis , le prochain film de David Cronenberg , à cause de son accouchement prévu au printemps. Il a rapidement été question que Keira Knightley , qui vient de tourner A dangerous method avec le canadien, la remplace. Dans cette adaptation du roman de Don de Lillo, elle aurait jouer la femme de Robert Pattinson en jeune millionnaire que l’on suivra le temps d’une journée à Manhattan. C’est finalement, Juliette Binoche qui sera aux côtés de l’acteur de Twilight . Selon Screen daily, un second acteur français, de plus en plus côté aux USA, aurait signé pour un rôle indéfini : Matthieu Amalric . Coté technique, Cronenberg sera entouré de fidèle : Howard Shore à la musique, Peter Suschitzky à la photo.

premiere.fr

Un grand merci ptiteaurel pour la traduction de ces 2 pavés