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 [Bel Ami] Critiques Médias

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 11:05

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 11:39

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 les filles il y a du bon et du mauvais Wink
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 11:54

Heads Up: Bel Ami

Fangs away but love still has bite for raunchy R-Pattz

What are we talking about?


A film adaptation of Guy de Maupassant's 1885 novel, which follows a young man, Georges Duroy – “Bel Ami” – as he charms and seduces his way to the top of Parisian society.

Elevator Pitch

Fangs away, but the claws come out: R-Pattz is Bel Ami in the Belle Epoque.

Prime Movers

It's the film debut for one of the theatre world's hottest duos: Declan Donnellan and Nick Ormerod, of the multi-Olivier-winning international company Cheek by Jowl. The exec producer is one Simon Fuller, better known as a pop manager and Pop Idol creator.

The Stars

Very starry. Robert Pattinson may be hoping to break from the blessing/curse of Twilight – but as Duroy he'll still get to do plenty of smouldering. Kristin Scott Thomas, Christina Ricci, Uma Thurman and Holliday Grainger all look brittle, beautiful and distressed as his romantic conquests.

The Early Buzz

Sight & Sound reviewed it thus: "If Bel Ami occasionally feels airless and overly art-directed that may partly reflect the period it's set in, but also the directors' over indulgence in facial close-ups. It's almost as though they didn't trust their actors to express emotions in mid-shot – the last thing you'd expect from theatre directors. This does [Pattinson] no favours, since in close-up his face tends to lapse into the bovine, but at further remove he gives an alert amusedly insinuating performance." Total Film awards "full marks to Pattinson for tearing into his Edward Cullen persona with plenty of arse-bearing sex-scenes", and concludes it's a "lush period romp ... but a toothless adaptation of biting source material".

Insider Knowledge

Bel Ami has been adapted for film and TV at least nine times before; most famously in The Private Affairs of Bel Ami in 1947, starring George Sanders and Angela Lansbury, when it was given a moral he-gets-what-he-deserves ending, quite at odds with the source material, by Hollywood censors.

It's great that...

There's no such rewrites here: wickedness remains wickedly profitable.

It's a shame that...

The classic French novel is done in dodgy accented English, not French, despite Donnellan and Ormerod's rich professional history of staging plays in other languages. After all, if they can pull off Shakespeare in Russian....

Hit Potential

The mere presence of R-Pattz should be enough....

The Details

Bel Ami goes on general release from 9 March.

source theindependentcouk via spunk ransom
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 12:44

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 624219 babe [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 598150
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 16:20

Traduction de la review Hollywood reporter

Robert Pattinson, Uma Thurman, Kristin Scott Thomas et Christina Ricci sont les stars de cette adaptation du roman de Guy de Maupassant au sujet d'un arriviste du Paris de la Belle Epoque qui utilise les femmes pour élever son statut.

BERLIN - Il y a d'innombrables troublantes prises de vue de Robert Pattinson dans Bel Ami, parfois torse nu et toujours baigné dans la musique exaltée. Cela pourrait titiller les légions de fans en pamoison Team Edward de Twilight, mais pour les adultes, il n'y a pas grand chose à croquer ici. Les réalisateurs débutant Declan Donnellan et Nick Ormerod, aidés du scénario superficiel de Rachel Bennette, ont réduit le portrait sur l'ambition corrompue de Guy de Maupassant à une romance erotico-historique risible.

Publié en 1885, quand Maupassant succombait lentement à la syphilis, le roman se concentre sur Georges Duroy, un charmant jeune arriviste social de province, fraîchement sorti de la cavalerie en Algérie et avide de faire fortune dans le Paris de la Belle Epoque. Blessé et damné sans aucun talent perceptible, il apprend vite que le chemin vers le pouvoir ne se fait pas au travers des hommes importants, mais de leurs influentes épouses.

Nous faisons connaissance de Georges au début par des aperçus de Pattinson lançant un regard noir aux murs usés de son appartement inconfortable ou regardant avec envie le Paris huppé. C'est quand il écrase à mort un cafard qu'il est le plus expressif. Mais il n'y a pas de vie intérieure dans la caractérisation unidimensionnelle de l'acteur mal casté. Il lui manque la fourberie fondamentale pour le rôle, joué dans l'une des versions précédentes les plus connues(1947, The Private Affairs of Bel Ami) par l'inimitablement dédaigneux George Sanders.

Quand Georges montre ses vraies couleurs, l'un de ses principaux pistons, Madeleine (Uma Thurman), dit: « Je n'avais aucune idée de la profondeur de votre néant. » Comme il arrive très souvent dans l'adaptation de Bennette, elle énonce l'évidence. Ce jugement vise le personnage vénal, mais s'applique également à la performance sans charisme, où il n'y a personne à la maison.

C'est un gros problème quand on est censé gobber le magnétisme envoûtant et la virilité de ce benêt, qui est court en terme de conversation, de grâces sociales et de virilité, mais qui laisse chaque femme qu'il rencontre envoutée.

L'entrée de Georges dans la haute société vient par l'intermédiaire d'un vieux copain de régiment Charles Forestier (Philip Gleinster), maintenant rédacteur en chef politiquement bien-introduit du quotidien national La Vie Française. Charles lui donne l'argent pour s'acheter une tenue de soirée et l'invite à un dîner au cours duquel il hypnotise instantanément la femme de son ami Madeleine, l'aguicheuse Clotilde (Christina Ricci) et la plus calme Virginie (Kristin Scott Thomas), épouse de l'éditeur du journal, M. Rousset ( Colm Meaney).

Il commence une liaison avec une Clotilde mariée, dépeint ici comme légère et sur la même longueur d'onde que Georges, et la femme qu'il sera le plus proche d'aimer. Son mari est souvent absent, alors elle installe Georges dans un appartement pour leurs rendez-vous. Avec l'aide de Madeleine, il assure un emploi à La Vie Française, mais ne développe pas de compétences en tant qu'écrivain. Quand Charles perd patience avec lui, Georges se tourne vers Mme Rousset pour assurer son poste.

Une mort arrangeante, un mariage stratégique et beaucoup de parties de jambes en l'air plus tard, Georges dégote un scoop grâce bon sens politique de Madeleine. Mais quand on l'écarte d'un projet lucratif qui lui aurait permis de faire fortune grâce au plan secret du gouvernement d'envahir le Maroc, Georges écourte sa liaison avec une Virginie entichée et fait de son mari un ennemi, pendant qu'il jette son dévolu sur leur fille naïve (Holliday Grainger).

Dans le livre de Maupassant, des descriptions détaillées des vêtements des femmes, de leur peau et de leurs cheveux, de leurs bijoux, permettaient de faire passer que cet effet enivrant qu'avait Georges sur elles était réciproque. Le regard du film se concentre principalement sur lui et pas au travers de ses yeux, son comportement semble donc encore plus calculateur. Ça aurait été bien s'il ne passait pas autant pour un imbécile sans charme.

Le scénario de Bennette est terriblement court sur le tissu conjonctif entre les personnages et les incidents, titubant à travers des passages mouvementés, sans base narrative suffisante. Elle omet de mettre beaucoup de contexte politique ou de s'engager dans l'analyse sociale tranchante d'un bourgeois de Paris pleine de putains, d'opportunistes et de fraudes qu'est le roman.

Dans leur travail de théâtre avec la compagnie qu'ils ont co-fondé, Cheek by Jowl, Donnellan et Ormerod sont connus pour épurer le design et pour approcher la performance de façon dynamique, leur permettant de faire ressortir une vigoureuse nouvelle vie dans des textes classiques. Ici, les co-réalisateurs semblent entravés par le poids du design d'une production d'époque et incertains quant à la meilleure façon d'encadrer l'action pour un effet maximum. Excepté le fait de fréquemment favoriser une palette clair-obscur, la photographie de Stefano Falivene manque de distinction. Plus important encore, c'est un film sur le sexe qui se trouve sans sensualité.

Plus décevant encore est l'absence évidente de communication entre les acteurs. Le dialogue est souvent artificiel et maladroit, et les acteurs semblent trop rarement habiter le même monde.

Robert Pattinson manque de sérieux, et tandis que les femmes se laissent plus facilement regarder, il n'a que très peu d'alchimie avec chacune d'entre elles. Thurman maintient un port de tête tendu et une supériorité hautaine même quand Madeleine est humiliée. Ricci n'est pas de la justesse la plus naturelle pour une fin de 19ème siècle en Europe, bien que sa vulnérabilité soit bienvenue, et Scott Thomas mérite mieux que le traitement indigne que reçoit son personnage.

Comme c'est souvent le cas lorsque la trame dramatique et émotionnelle est mince, la mauvaise solution est de noyer chaque scène de musique bravache, ici par Lakshman Joseph de Saram et Rachel Portman. Mais il faudra plus qu'une portée de cordes agitée pour donner du corps à ce mélodrame mièvre.
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 16:31

babe

Traduction de la critique par Screen Daily

Une adaptation assemblée de manière impressionnante et sensuelle du roman de Guy de Maupassant sur un goujat charmant qui se hisse dans la haute société parisienne à la Belle Époque en courtisant des femmes utiles à sa cause, Bel Ami trébuche au lieu de glisser et alors qu'il est ponctué d'impressionnantes performances, et d'un sens accru du design, il ne parvient jamais à trouver le bon équilibre entre son épaisse intrigue sur la séduction et la politique.

Bel Ami donne le sentiment d'être un film qui ne parvient pas à trouver sa structure ou son intrigue principale.

Le réticent beau gosse Robert Pattinson fait un essai courageux pour incarner ce manipulateur et cet homme sans scrupules qu'est Georges Duroy – Le ‘Bel Ami’ du titre – et si sa belle apparence et son charisme intense pourra ravir les Twihards, le film peinera à trouver un public facilement. Kristin Scott Thomas et Christina Ricci sont impressionnantes en dames Parisiennes qui succombent au charme de Duroy bien qu' Uma Thurman , qui est son alter ego machiavélique manque de charme pour nous convaincre dans ce film d'époque exigeant. Les fans de R-Patz cherchant une histoire d'amour où il déchire des corsets risquent d'être déçues.

Mais le film trouvera peut être son public dans la génération plus mûre qui appréciera peut être les complexités politiques et les gracieux décors .

Le roman du 19ème siècle de Guy de Maupassant a déjà été adapté sur grand écran auparavant, la version la plus célèbre étant celle de Albert Lewin en 1947 dans le film "Les Affaires Privées de Bel Ami" , dans lequel George Saunders tenait le 1er rôle (et on trouvait Angela Lansbury ou Ann Dvorak pour incarner les femmes qui se réveillaient à ses côtés). Cette adaptation a été réalisée conjointement par Declan Donnellan et Nick Ormerod, qui font leurs débuts au cinéma et qui sont connus au théâtre pour avoir fondé la compagnie de théâtre avant-gardiste Cheek by Jowl.

A Paris dans les années1890 , George Duroy (Pattinson) vient tout juste de rentrer après avoir servi auprès de l'armée française en Algérie. Comptant ses derniers francs, il tombe sur Forestier (Philip Glenister), un homme plus vieux que lui et qu'il a connu à l'Armée et qui est désormais le rédacteur en chef du journal politique , La Vie Francaise, et qui invite George à un dîner chez lui.

La crème de la société parisienne est à ce dîner– parmi les invités la discrète Madame Rousset (Kristen Scott Thomas), dont le mari (Colm Meany) dirige le journal et la douce Clotilde (Christina Ricci) – et Georges se retrouve encouragé à écrire sur ses exploits à l' Armée par la femme de Forestier, Madeleine (Uma Thurman), une femme ambitieuse et déterminée et qui a une opinion bien tranchée sur la situation politique en Afrique du Nord .

Avec l'aide de Madeleine, il écrit un article qui est accepté par le journal , et après avoir empoché sa paie, il se met en tête de séduire la femme mariée Clotilde. Amoureuse, elle finira par mettre un terme à leur liaison, et Georges se mettra alors à séduire Madame Rousset avant de jeter son dévolu sur Madeleine, dont le mari est très malade . Il l'épousera mais se retrouvera pris au piège de machinations politiques car il fera l'objet d'un complot de la part de Monsieur Rousset et du nouveau ministre des affaires étrangères.

Alors que son monde s'écroule, George fait ce qu'il sait le mieux faire , et après son divorce de Madeleine (qui a une liaison avec le ministre des affaires étrangères ) il jette son dévolu sur la jeune fille de Rousset Suzanne (Holliday Grainger) afin de sécuriser sa place dans la société.

De bien des façons Pattinson semble parfait en George Duroy (dans le livre , on le décrit comme un homme “grand , bien bâti, bond aux yeux bleus ”...) mais pour certaines raisons , les réalisateurs ont choisi d'ignorer un élément clé de ce personnage littéraire …sa ' moustache ’, une chose auquel Guy de Maupassant faisait régulièrement référence dans le livre.

Il est vrai que Pattinson a le charme inné pour incarner Duroy, mais Declan Donnellan et Nick Ormerod n'en ont pas fait bon usage, avec un personnage sous développé et qu'on montre comme étant un simple goujat, hors de sa catégorie dans cette société malgré son talent à bien s'habiller. Christina Ricci est adorable comme il le faut et malléable en Clotilde, et Kristen Scott Thomas est impressionnante en incarnant la vulnérable Madame Rousset.

Alors qu'Uma Thurman est assez maladroite en Madeleine, et même si elle a l'apparence du rôle, il y a peu d'alchimie entre elle et Pattinson. Le duo doit partager une scène de sexe mal mise en scène et qui ne leur rend en aucun cas service. Comme d'habitude , Colm Meaney a une grande présence et est mémorable sous les traits de ce propriétaire de journal calculateur.

Bel Ami donne le sentiment d'être un film qui n'arrive pas à se décider sur sa structure ou son intrigue principale . L'utilisation un peu abusive des gros plans n'est pas une aide pour les acteurs et mets à mal un style qui aurait dû être riche et opulent. La fin est bien trop dense et aurait gagné à être plus simple.

source ScreenDaily
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 17:48

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 17:51

Traduction de la critique par Movieline

Dépêche de la Berlinale : un Robert Pattinson mal à l'aise se met sur son 31 pour un dîner dans Bel Ami

Pauvre Robert Pattinson: la pression de devoir faire ses preuves , dans un film qui ne contient pas les mots “Twilight” ou “Saga” dans le titre , semble être encore plus dure que la malédiction d'être vampire . L'an dernier dans Water for Elephants, il avait une charmante naiveté, une timidité assez naturelle qui semblait complétement inoffensive , mais pas mémorable. Sous les traits de l'intrigant Georges Duroy dans Bel Ami, diffusé à la Berlinale hors compétition l'avant dernier jour du festival, il travaille dur pour sa rédemption comme le ferait tout acteur : il prend son air renfrogné dans la Colonne A puis il plisse le front dans la Colonne B pour exprimer son mécontentement ; le sourire No. 4 dénote un moment extrême pour son orgueil surdimensionné. L'effet donné: c'est comme regarder un athlète tentant de ne pas suer – on voudrait l'encourager, mais il y a une part de vous qui veut juste qu'il laisse déjà tomber.

Qu'est ce qu'il y a avec ce mec? Sous la direction des débutants Declan Donnellan et Nick Ormerod, qui ont plus dirigé des acteurs à Londres, Pattinson n'est pas si mauvais. Il ne surjoue pas , ce qui le sauve sans doute de l'embarras. Mais il dépense trop d'énergie pour exprimer son désir et cela manque de subtilité , bien au contraire, il est tout sauf subtile — mais ce n'est pas toujours comme ça et sa performance s'améliore ensuite. Duroy est un homme d'origine modeste , se faisant un nom à Paris en couchant avec les femmes d'hommes influents afin d'accroître sa propre richesse et son propre pouvoir (Le film a été adapté par Rachel Bennette, à partir du 2ème roman de Guy de Maupaussant et c'est amusant — parfois un peu lent— c'est un amusement assez pittoresque.)

Le problème c'est que les femmes tournent en rond autour de Pattinson . Il y a celles dont on se souvient , de la politiquement astucieuse Uma Thurman incarnant Madeleine Forestier,en passant par Kristin Scott Thomas qui ressemble à une toute petite souris dans la peau de Virginie Walters, ou la sexy Christina Ricci qui est Clotilde de Marelle. Pattinson, bien que son personnage tente de dominer ses femmes, semble avoir un peu peur d'elles. Ce qui est paradoxal c'est qu'il a plus de puissance érotique quand il joue le joli coeur Victorien Edward Cullen. Là avec ses cols hauts et ses hauts de forme, on dirait un oiseau très mince déguisé pour aller dîner, sauf que c'est lui qu'on va déguster.

Je me demande comment un acteur comme Pattinson, un mec qui a tant de fans qu'il est à lui tout seul un fantasme sur pattes, peut dénouer les liens très serrés de sa conscience. Mais le peut il? En le voyant dans Bel Ami, j'espérais qu'il se ressaisisse , je recherchais des aperçus subtiles montrant qu'il savait pertinemment qu'il devait nous faire croire qu'il est un goujat et pas simplement qu'il joue au goujat. Il tente vraiment— pourquoi n'utilise t-il pas ses yeux de lézards , ce sourire du chat qui va manger le canari afin de nous faire oublier qui il est ? Peut être est ce parce qu'il n'arrive pas à oublier qui il est. Et c'est le col le plus raide et le plus serré qu'un jeune acteur puisse porter.

source: www.movieline.com via RPLife
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 19:39

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 19:41

Traduction de la critique de Variety ( le début a été traduit par Sabine [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 624219)

Robert Pattinson est la vedette de l'adaptation anglaise du roman de Guy de Maupassant 'Bel Ami'

"Je n'avais aucune idée de la profondeur de ton vide!" crie un personnage dans 'Bel Ami' et ses mots prennent comme une résonance non désirée pour Robert Pattinson dans le rôle principal. Affichant peu de confiance en soi, de charisme ou de sérieux d'une manière rusé, le beau gosse de la saga Twilight n'anime pas vraiment cette adaptation anglaise oscillante du roman souvent filmé de Guy de Maupassant à propos d'un beau vaurien, séduisant pour grimper l'échelle sociale dans le paris du 19ème siècle. Le casting tapageur et ce drame en costume attireront quelques clients, mais le bouche à oreille ne sera pas assez aimable pour faire passer ce film au delà des amoureux de film d'auteur.

Déjà adapté de nombreuses fois pour le cinéma et la télévision (la plus connue est celle de 1947 "les affaires privées de Bel Ami" avec Georges Sanders et Angela Lansbury), le roman de Maupassant de 1885 parlant de Georges Duroy, un insensible, intriguant sexuellement vorace qui atteint une position influente dans une société gauloise. Son insatiable besoin d'argent et de pouvoir dans une éducation pauvre, Duroy est censé avoir une absence d'expression glaciale fondamentale.

Mais c'est une chose d'incarner un vide moral, s'en est une autre d'avoir un regard vague, scène après scène, le registre de Pattinson a tendance a être visible lors des changements de son personnage,quand il montre son charme ou quand il a ce désespoir presque animal ou quand il a cette rage folle. Ce type de gentleman stylé qui devrait, en théorie, être capable d'arriver dans une pièce et de séduire tout le monde par sa seule personnalité, ce Duroy semble à la place faire référence mentalement à ses notes prises dans "Séduire les femmes pour les nuls " alors qu'il suscite une mystérieuse sympathie de la part de 3 femmes mariées.

Menant une existence misérable en 1890 à Paris après avoir servi pendant 3 ans l'armée francçaise en Algérie, Duroy tombe sur son vieux mentor à l'armée , Charles Forestier (Philip Glenister), désormais rédacteur en chef de l'influent journal politique La Vie Francaise. En peu de temps, Duroy est présenté à Mme. Forestier (Uma Thurman), une beauté froide et intelligente qui s'éprend de lui et lui donne un travail au journal, essentiellement en écrivant son 1er article

Quand Mme. Forestier lui précise qu'elle ne deviendra jamais sa maîtresse, il tourne son attention sur son amie plus accomodante Clotilde (Christina Ricci). Cette liaison torride et le lien de Duroy avec Charles ne feront pas long feu , obligeant Duroy à proposer ses charmes à la très collé monté Mme. Rousset (Kristin Scott Thomas) dont le mari (Colm Meaney) est le rédacteur en chef de La Vie Francaise et qu'on a obligé à promouvoir, le surnommé Bel Ami par ses admiratrices.

Il y a d'autres choses à venir , incluant 2 morts, 2 mariages, d'innombrables actes de trahison et une intrigue secondaire ennuyeuse sur les liens entre les médias et la politique car on parle du gouvernement et de ses plans pour le Maroc. Réalisé par Declan Donnellan et Nick Ormerod, aux commandes de pièces de théatres depuis des lustres, ce script monocorde ( Rachel Bennette) ne regroupe jamais les intrigues sexuelles et professionnelles dans un portrait intime du cercle social vivant et vibrant . Il en est de même pour les acteurs qui , malgré leurs meilleurs efforts, ne parviennent pas à s'investir dans les machinations avec de réels enjeux.

Thurman a quelques moments efficaces de dignité blessée tout comme l'extrêmement indépendante et tragique Mme. Forestier, et Ricci est un régal, sa présence étincelante en cette délicieuse Clotilde, qui voit Duroy tel qu'il est et qui l'accepte mieux aussi . Mais Scott Thomas, dont l'intelligence et son refus de passer pour une idiote sont les traits qui caractérisent cette actrice, a été très mal choisie pour incarner cette femme naive qui succombe au charme de cette ordure.

Si le public ne parvient pas à saisir la colère et l'anxiété cachée sous l'ambition de Duroy, "Bel Ami" inclue des plans réguliers de lui bouillonnant de colère dans ses quartiers minables, écrasant un pauvre cafard sans défense avec la même vigueur qu'il donne dans les scènes de sexe qui sont plus que méchaniques. Malgré de somptueux décors et costumes , la cinématographie et la mise-en-scène manque cruellement de texture , et comme pour tenter de compenser, le film n'est pas aidé par une bande sonore maladroite.

source: www.variety.com via RPLife
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 20:07

Traduction de la critique par The INdependent UK

Coup de projecteur: Bel Ami

Pas de crocs mais un amour toujours mordant pour le torride R-Pattz

De quoi parlons nous ?

De l'adaptation cinématographique du roman de Guy de Maupassant de 1885 qui suit un jeune homme, Georges Duroy – “Bel Ami” – alors qu'il charme et séduit les hautes sphères de la société Parisienne.

Le pitch

Pas de crocs, mais les griffes sont sorties: R-Pattz est Bel Ami à la Belle Epoque.

Les premiers pas

Ce film marque le début du grand duo mondialement connu: Declan Donnellan et Nick Ormerod, vainqueurs à de nombreuses reprises du prix Olivier avec leur compagnie Cheek by Jowl. Le producteur exécutif est Simon Fuller, mieux connu pour être un manager pop et le créateur de Pop Idol

Les Stars

Beaucoup de stars. Robert Pattinson espère sans doute anéantir la bénédiction/ la malédiction Twilight – mais en incarnant Duroy il est encore très ardent. Kristin Scott Thomas, Christina Ricci, Uma Thurman et Holliday Grainger semblent toutes fragiles, belles et bouleversées par ses conquêtes romantiques.

Le 1er Buzz

Sight & Sound a émis la critique suivante : ". Si Bel Ami donne parfois l'impression d'être étouffant et trop "art et d'essai", il reflète en partie l'époque où il se situe, mais les réalisateurs ont abusé des gros plans sur les visages. C'est presque comme s'ils n'avaient pas confiance en l'aptitude de leurs acteurs à exprimer des émotions en plan moyen - c'est la dernière chose à laquelle vous vous attendez de la part de metteurs en scène de théâtre. Cela donne un Robert Pattinson en Bel Ami qui n'est pas à son avantage, puisque de près son visage a tendance à faire dans le bovin, mais par moments, il donne l'impression qu'il sait jouer. ." Total Film a quant à lui dit "Bon point pour Pattinson pour casser son personnage d'Edward Cullen avec beaucoup de scènes de sexe et de maussaderie, ", et conclut par "Un luxuriant vaudeville d'époque.... mais une adaptation sans effet, n'utilisant pas totalement les matériaux de base ".

Les dessous

Bel Ami a été adapté en films et à la télévision au moins à 9 reprises; la plus célèbre étant The Private Affairs of Bel Ami de 1947, de George Sanders et Angela Lansbury, quand on lui avait donné une morale à la fin avec un "il n'a que ce qu'il mérite" par les censeurs Hollywoodiens

Ce qui est génial....

Pas de réécriture ici : les mauvais coups lui restent profitables.

C'est dommage que ..

Ce roman classique français soit fait avec cet accent anglais assez louche et non en français, malgré la riche histoire professionnelle de Donnellan et Ormerod qui ont déjà mis en scènes des pièces dans d'autres langues. Après tout, s'ils peuvent faire Shakespeare en Russe....

Son succès éventuel

La seule présence de R-Pattz devrait suffire....

Les Détails

Bel Ami sort le 9 mars

source theindependent.co.uk via spunk ransom
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 20:14

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 624219 et [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 598150
C'est de pire en pire les critiques Sad
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Hélène
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Dim 19 Fév - 22:27

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 les filles..

ces critiques portent bien leur nom.... ils ne sont jamais contents !!
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ptiteaurel
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 12:45

De toute façon, tout le monde en prend pour son grade: les gros plans à outrance des réalisateurs, Kristin Scott Thomes qui n'est pas bien , Uma est trop froide ( euh , c'est un peu le rôle de Madeleine , non? ) Rob est pas assez dominateur, les scènes de sexe sont mécaniques, seuls points positifs: cristina Ricci et les costumes lol!
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vavounette
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 14:45

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 les filles même si je ne lis rien parcque j'ai pas envie de m'enerver [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 352319
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lilipucia
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 16:38

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 624219 babe [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 598150 pour toutes ces traductions
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 17:03

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 les filles...de ce qu'on lit, il y aurait un gros problème à la base...un peu comme pour New Moon (désolée de faire un parallèle avec la saga, mais ça avait déjà fait couler beaucoup d'encre...): réalisation, bande originale etc...nous verrons bien!
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ptiteaurel
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:05

Oui, c'est ce qui revient. Une mauvais script, une mauvaise réalisation et une bande sonore étouffante. On verra Wink
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ptiteaurel
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:14

Critique BZ – Berlin.de

Adaptation cinématographique d'une œuvre littéraire avec des stars et des faiblesses : "Bel Ami"

L'histoire: Paris, 1890. L'ancien soldat Georges (Robert Pattinson) a soif de promotion sociale. Il ne possède malheureusement aucun talent mais il semble avoir un incroyable culot. Avec beaucoup de calcul, il réussit à séduire, l'épouse d'un rédacteur en chef, Madeleine (Uma Thurman) qui lui donne un emploi en tant que journaliste. Mais ça ne suffit pas à Georges - il est à la recherche d'un meilleur parti. Même la belle Clotilde (Christina Ricci) et la mature Mme Rousset (Kristin Scott Thomas) ne peuvent pas résister au charme de «Bel Ami». Mais le prix que ces dames doivent payer est élevé ...

Les réalisateurs: Declan Donnellan et Nick Ormerod ont fondé conjointement en 1981 la compagnie de théâtre Cheek by Jowl. Avec l'adaptation cinématographique du roman de Guy de Maupassant, ils offrent ici leur premier long métrage.

Les stars : Le rêve des ados Robert Pattinson qui a croqué le succès à travers tous les films de Twilight. Dans «Bel Ami» malheureusement, sa performance est similaire au vampire Edward : tout deux sont terriblement pâles. De même, sa partenaire Christina Ricci («Monster») ne pétillera pas vraiment à l'écran. Au contraire, très convaincante dans le rôle de l''épouse infidèle: la star de "Kill Bill" Uma Thurman.

Avis de BZ : Les décors magnifiquement conçus et les costumes somptueux ne permettent malheureusement pas de passer outre les faiblesses concernant le casting. Dommage!

Chances pour obtenir un Ours*: Aucune, film hors compétition. Dates: Aujourd'hui, 12h (Berlinale Palast) et 22h45 (Friedrst.-P.)


* Pour rappel : l'ours est la récompense décernée lors du festival

Source :bz-berlin.de

Un grand [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 Céline de la Tchat Box pour cette traduction
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:16

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819 Céline et [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 598150
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:26

Critique de Bel Ami par Filmstart.de

A noter que ce site est l'équivalent allemand d'Allociné.

1,5/5
De Carsten Baumgardt

Chaque nation a ses sensibilités. Nos voisins français veillent particulièrement d'un air soupçonneux sur leur langue et leur culture. Le roman classique de Guy de Maupassant, Bel Ami, de 1885, maintes fois porté à l’écran, appartient clairement aux trésors nationaux que l’on protège avec soin. Avec les réalisateurs débutants Declan Donnellan et Nick Ormerod, deux Britanniques qui ont justement recours à la matière française et l'adaptent avec des acteurs anglophones. Cette opération "Bel Ami" a échouée pas seulement d’un point de vue français – le drame en costumes d’époque souffre de perturbations atmosphériques, du manque de subtilité et un premier rôle qui n'atteint pas la complexité de son personnage

Dans le Paris de l’année 1890 règne la ruée vers l’or. Les possibilités de gagner beaucoup d’argent rapidement sont immenses. Seulement l’ancien soldat, dépourvu de ressources, Georges Duroy (Robert Pattinson) a loupé le coche de la classe bourgeoise et lésine en tant qu’employé subalterne pour survivre. Quand il rencontre Charles Forestier (Philip Glenister), un vieux compagnon d'armes, tout change tout à coup, car il introduit le beau jeune homme à la fine société de Paris et lui procure un emploi de journaliste au journal "La Vie Française".
Georges tombe amoureux au premier regard de l’éloquente et érudite Madeleine (Uma Thurman), épouse de Forestier, il se laisse également distraire, une fois, par une liaison avec Clotilde (Christina Ricci), elle aussi mariée. Lorsque Forestier est emporté par une grave maladie, Georges se bat et épouse Madeleine. Il franchit une étape de plus dans l’échelle sociale, mais ça ne lui suffit pas. Sa mégalomanie le pousse enfin à une crise conjugale, aux liaisons et aux échecs professionnels.

Guy de Maupassant a créé avec « Bel Ami » un délicat portrait de la société, qui jusqu'à aujourd’hui est toujours d’actualité. Après tout, notre époque est aussi guidée par la chasse à la gloire, à l'argent et à l'influence, par la concurrence acharnée, la déloyauté et l’absence de scrupules. Une nouvelle interprétation du sujet de Maupassant est donc tout à fait évidente, mais les réalisateurs Declan Donnellan et Nick Ormerod ne parviennent pas, à illustrer sa pertinence dans le présent. Ils se sont limités à un film historique décoratif : la mise en scène et la façon de filmer sont agréables et de bonnes qualités, mais l’intrigue semble bridée.
Beaucoup d’omissions ont une influence négative, par ailleurs, il ne reste pratiquement rien des personnages complexes de Maupassant dans le dispositif sommaire du film et cela conduit à des changements soudains au niveau des caractères et des comportements qui sont difficilement compréhensibles.

Comme le vampire pâle dans les films « Twilight » où le jeu d’acteur n’est pas exigeant – et qui ont conduit à sa célébrité, Robert Pattinson essaie de venir à bout du personnage de Georges Duroy avec pas beaucoup plus qu’un charme juvénile. Il ne rend pas justice à l’abîme de ce gamin qui évolue au milieu des femmes de la société parisienne et qui finit par être tourmenté par la folie des grandeurs. Bien que le Britannique ait fait ses preuves dans le drame « De l’eau pour les éléphants », « Bel ami » aurait mieux convenu à un acteur comme Leonardo Dicaprio. Même pour celui-ci, cela aurait été un petit défi de faire paraître plausible l’inconstance de Duroy, exigée par le scénario.
Comme il est difficile de reconnaître dans ce film des acteurs qui sont particulièrement bons comme par exemple une actrice reconnue et d’expérience telle que Kristin Scott Thomas (Le Patient Anglais).Lorsque la nominée aux Oscars raffole soudain, telle une adolescente amoureuse du beau Georges, alors c’est moins l’échec d’un interprète que l’expression de faiblesses dramaturgiques flagrantes. La meilleure impression est laissée par l’expérimentée Uma Thurman (« Les Liaisons Dangereuses »), dont le personnage de Madeleine Forestier est aussi celui travaillé de façon plus cohérente.

Bilan : « Les Suédois ne sont pas Brésiliens. » L’empereur du football Franz Beckenbauer le savait, et cette analogie a échappé à Declan Donnellan et Nick Ormerod : les Britanniques et les Américains ne sont pas Français. Pour cela le drame en costume britannique « Bel Ami », qui, en outre, souffre d’un grand nombre de personnages maladroits, ne parvient pas à l’état d’esprit de cette matière française.

source filmstarts.de

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:31

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:36

[Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 737819
Encore une critique négative,
Babe et Ptiteaurel , vous allez le voir bientôt ? J'attends vos commentaires avec impatience, je vous fait plus confiance que tous ces critiques qui ont sans doute jamais lu le livre. En parlant de lecture : Babe as-tu enfin terminé de le lire ce Bel Ami ?
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lilipucia
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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:37

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MessageSujet: Re: [Bel Ami] Critiques Médias   [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 Icon_minitime1Lun 20 Fév - 20:39

sabrinalor a écrit:
Babe as-tu enfin terminé de le lire ce Bel Ami ?
Euh............non [Bel Ami] Critiques Médias - Page 2 877796
on y va le jour de sa sortie, dans 9 jours...nous verrons bien ce qui nous attend et nous vous donnerons nos impressions Wink
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