[The Rover] Revue de presse

Et une nouvelle interview avec Yahoo Celebrity

Q: Que saviez vous de Robert Pattinson avant le film et c'était comment de travailler avec lui?
PEARCE: Je savais très bien qu'il était célèbre et je ne l'avais vu que dans De l'Eau pour des Elephants, que j'ai beaucoup apprécié , et je l'ai vraiment aimé dans ce film. Cette tête est juste vraiment incroyable, pas vrai? Ce visage, vraiment. Et la sensibilité , c'est une belle sensibilité . Et quand David a mentionné qu'il était interessé par lui pour , j'ai dit , ‘Oh waouh, okay,’ car la vulnérabilité était quelque chose qui était vraiment crucial pour moi. Et je ne voulais pas que ce soit ça, pas que je sois une grosse brute, mais je ne voulais pas d'un rapport de force d'égal à égal; je voulais que ce soit vraiment lourd afin que les gens soient désolés pour lui si je m'en prenais vraiment à lui . Et je ne savais pas qu'il serait aussi bon , à vrai dire. Pas que je ne pensais pas qu'il le serait mais certainement , le 2ème jour, je regardais es trucs sur le moniteur et il faisait cette scène où il crapahute hors du camion et il est assis contre un arbre au début et il venait juste de tourner ça , et regarder la façon dont il tentait de travailler sur la tentative de gestion de cette situation, J'ai juste trouvé ça à vous briser le coeur. Ce fut donc un grand moment pour moi, à vrai dire et c'était de mieux en mieux pour moi. Donc c'était excitant car vous oubliez toute cette célébrité et vous vous concentrez sur le travail que vous faites mais travailler avec quelqu'un qui se donne est fabuleux , ça vous inspire toujours.

Q: Etes vous heureux de n'avoir jamais connu ce niveau de célébrité? Il y a des années où vous étiez très connu ... Mais ce n'était pas à ce niveau. Etes vous heureux de ne pas avoir eu à gérer ça dans votre carrière ?
PEARCE: Oui je n'ai jamais eu à gérer ça. J'aurais certainement apprécier les bénéfices qui vont de pair avec la célébrité , tout comme se voir offrir des grands rôles après , et tout ce qui suit et je suis sûr que c'est fabuleux. Mais la merde que vous devez gérer en même temps , je reconnais que c'est très lourd. C'est incroyable comment il gère ça .

Q: Il semble très nature et très à l'aise.
PEARCE: Ouais, il est marrant et a un grand sens de l'humour mais je pense que ça à tout à voir avec lui. Mais ce qui est intéressant, et il ne l'a pas vraiment dit, mais il veut faire ses preuves en tant que bon acteur. Nous le faisons tous, nous voulons tous pouvoir faire du bon travail et je pense qu'il voit ce genre de truc, tous ces trucs Twilight et il se dit "peu importe"

source via RPLife

 

  

 

 

Notre sister site Pattinson Art Work a fait une revue de presse des divers critiques faites de The Rover à Sydney. Merci à Pattinson Art Work

Matt's Movie Reviews: (4 étoiles- excellent)

'The Rover' de David Michôd est un voyage sombre et intense dans un monde ingrat, avec Robert Pattinson qui délivre une performance fascinante, redéfinissant sa carrière dans le processus....Le spectacle des deux hommes que sont Pearce et Pattinson est remarquable. Pearce offre une de ses prestations les plus fortes dans son portrait d'un homme blessé, marqué et endurci par un monde sans compromis, tout en usant d'un regard qui pourrait faire des trous dans les murs.Pourtant, c'est Pattinson qui fascine avec son interprétation de Rey, en prenant soin de jeter cette image d'idole pour adolescentes avec un look sordide et sale, et avec un fort accent du sud. Dépeignant un homme à la capacité mentale limitée, Pattinson est presque enfantin dans une performance teintée de craintes, d'hésitations et de divagations, qui ne tombe jamais dans la caricature, un personnage vraiment sympathique dans un monde indifférent.
Ça se révèle être un choix de carrière post-Twilight intéressant pour Pattinson, qui choisi judicieusement des projets réalisés par des cinéastes plein l'intégrité (deux films de David Cronenberg ont précédé, et des films de Werner Herzog et Anton Corbijn viendront après).

SciFiNow: (4 étoiles)

Guy Pearce et Robert Pattinson sont magnifiques dans ce sombre film de course poursuite futuriste The Rover
...
C'est une performance phénoménal de la part de Pattinson, qui évite les choix faciles et les clichés en faisant de Rey un personnage sympathique et réellement touchant. Eric est à la recherche de ce qui lui appartient, et Rey est à la recherche de sa famille. C'est cette relation qui donne à The Rover toute sa puissance. Pearce bouillonne d’une énergie désespérée et brûlante qui s'adapte admirablement aux bredouillements, et tentatives optimistes prudentes de Pattinson. Les moments les plus touchants du film viennent quand la caméra de Michôd s'attarde sur les personnages alors qu'ils sont seuls: Pearce qui regarde une pièce pleine de chiens silencieux en cage, ou Pattinson qui chante tranquillement "Ne me détestez pas parce que je suis beau", en écoutant "Pretty Girl rock" de Keri Hilson sur l'autoradio.
...
The Rover est brutale et saisissant, et son sens profond de perte lui donne une profondeur émotionnelle imposante; ce film restera en vous longtemps après le générique de fin.

The L Magazine:

Il n'est pas difficile de deviner que Rey le "simple d'esprit" a quelque chose à enseigner au solitaire et distant Eric sur la valeur de la camaraderie, mais Pattinson est une assez grande révélation pour vous tenir en haleine tout au long de cette route. Parlant avec un accent du sud et luttant avec une sorte de bégaiement, l'acteur se transforme dans une performance fortement maniérée (mais sans distraire), dépeignant Rey, en état de choc, chroniquement nerveux par rapport à ses choix d'alliance.

Sydney Morning Herald: (3 étoiles)

Pattinson, presque méconnaissable dans ce rôle de garçon stupide venu d'Amérique du Sud, rénove son image à l'écran avec cette performance

2ser:

Le film suit le personnage anonyme de Guy Pearce alors qu'il cherche à récupérer quelque chose qui lui a été enlevé. Pour la plus grosse partie de son voyage, il est coincé avec Rey, joué par Robert Pattinson sous une apparence étonnante. Leur relation est du genre périlleuse, qui switch rapidement entre menaces de mort et le fait de sauver la vie de l'un et de l'autre, à plusieurs reprises. J'ai adoré ce film. La cinématographie est magnifique, le design sonore donne le ton parfait et le jeu d'acteur est génial. Les prises de vue du désert sont à couper le souffle, et les montagnes et les villes forment un personnage tout aussi important que ceux des acteurs.

Director's Cut Movies:

Robert Pattinson vole la vedette avec sa performance innovante, Guy Pearce trainant maintenant trop loin derrière. Vraiment pas trop mal en tant qu'acteur Robert Pattinson, c'est juste le matériel qui a amené sa crédibilité au plus bas tel que la saga Twilight. The Rover va littéralement changer le point de vue de tout le monde sur lui. Pattinson donne l'une des meilleures performances masculine de l'année et c'est certainement sa meilleure performance à ce jour ...... Pour résumer, The Rover est un retour triomphal de David Michôd avec un scénario fantastique, une direction brillante, la cinématographie superbe, de la violence choquante et macabre et quelques-unes des meilleures performances de l'année.

Spotlight Report:

Dire que ce film est aussi lugubre que le terrain sur lequel il est situé serait un euphémisme. Lugubre mais beau comme l'est le monde sans pitié qui sert de contexte aux images. Il existe trois stars indéniables dans The Rover - Pearce, Pattinson et le paysage australien qui sont à égales mesures sensationnels, dangereux et inébranlables ...... Alors que Pearce semble être un homme mort à l'intérieur, la douce naïveté et la loyauté de Pattinson sont attachantes. Il a mal placé son espoir dans un monde où il n'y a pas de place pour un tel luxe. Il joue le rôle parfaitement et met en action des muscles de jeu d'acteur qui étaient précédemment endormis dans des rôles moins exigeants pour lesquels il est connu, capturant l'étonnante simplicité de son personnage.

Graffiti with punctuation:

Pattinson est tout simplement incroyable. Oubliez tout ce que vous avez jamais vu avec lui avant, il s'agit du genre de performance qui vous redéfinir une carrière de manière imposante. Comme Leo DiCaprio dans "Gilbert Grape", Ryan Gosling "Half Nelson" ou Al Pacino dans "un après midi de chien" - ce film est celui qui voit le jeune acteur montrer tout son potentiel. Chaque phrase bégayée et prononcée avec un accent du sud métamorphose le britannique rendu célèbre pour avoir été le plus beau des vampires scintillants jamais vu. Voir sa nature influençable absorber la philosophie sombre de notre homme sans nom (Pearce) crée un syndrome de Stockholm tragique, qui affecte également son compagnon.

Source via Robsessed via Pattison Art Work

  et  Pattinson Art Work

 et un grand   à Pattinson Art Work, que de bonnes critiques pour Rob   

David Michôd parle de Robert dans une interview avec Cinema Australia

How exciting was it for you to get Robert onboard. There’s a huge commercial element and a built in audience that comes with Robert, so was that a factor in your excitement?
It remains to be seen because I never know what the commercial results of having an actor in your movie might be but there is certainly a thrill to be had in knowing that you’ll be working with someone who is as profoundly famous as Robert is and giving them an opportunity to demonstrate a skill set that people possibly don’t even know he has. I think Robert is extraordinary in this movie. I’ve obviously seen it a thousand times and I just love losing myself in his performance and I love watching him and Guy bounce off each other. Two wildly different characters having to figure each other out performed by wonderful actors. This is what the thrill of directing is all about.

Did they get along off screen?
Totally. They’re both really beautiful human beings and given the nature of the shoot and that we were out in the middle of nowhere in really challenging conditions meant that after a days work was done we really bonded in a warm and special way.

source : cinemaaustralia.com.au via thinkingofrob.com

Traduction

A quel point était-ce excitant pour vous d'avoir Rob à bord. C'est un énorme élément commercial et tout un public vient avec Robert, était-ce donc un facteur dans votre excitation ?

Ça reste à voir, car je ne sais jamais quels peuvent être les impacts commerciaux d'un acteur dans votre film, mais bien sûr c'est un plaisir de savoir que vous allez travailler avec quelqu'un d'aussi connu que Robert et de lui donner l'opportunité de démontrer l'ensemble de ses capacités, alors que les gens ne savent peut-être même pas de quoi il est capable. Je pense que Robert est extraordinaire dans ce film. Je l'ai évidemment vu un millier de fois et j'adore me perdre dans sa performance et j'adore regarder le lien qu'il a avec Guy. Deux personnages très différents et qui doivent comprendre l'autre, joué par des acteurs merveilleux. C'est de là que vient l'excitation de réaliser.

Ce sont-ils bien entendus en dehors de l'écran ?
Totalement. Ce sont tous les deux de très beaux êtres humains et étant donné la nature du tournage, que nous étions au milieu de nul part, dans des conditions vraiment difficiles, cela signifiait que, après une journée de travail vous créez un lien chaleureux et spécial.

 

David Michôd parle de Robert avec Screencrush

   I know you hadn’t seen the ‘Twilight’ movies before casting Robert Pattinson, but what does his fame bring to this movie? Does that help? Can it possibly hurt?

   I don’t know, it’s all a great unknown to me. You know, I love the idea of being able to take a person who I can only imagine his talents have been grossly underestimated.

   This is a good movie for him, along with the Cronenberg films.

   He’s a really smart guy with great taste. And he knows the filmmakers that he wants to work with. But, who knows what it will mean for the movie in the public consciousness, you know? I have no idea whether or not it will work for us or against us. But, I don’t really care — because I love the surprise and the revelation of it. And I would hope that people embrace it, because I think he’s really good in it. It was never going to be enough for me that he gave just a good, solid performance. It was always important for me that he give an extraordinary one — and I think he does it. He and Guy both.

   Whose idea was it for Robert Pattinson’s character to have tics?

   That was his. They felt organic. I don’t know how conscious and deliberate they were for him, but when I was watching them, they felt like this nice little organic manifestations of the character.

   And you dirtied him up.

   [Laughs] It had to happen. For me, Rob’s character is like a lost puppy dog. He’s lost his owner and he just kind of latches on to the first person he finds. It happens to be a particularly bad choice.

source : screencrush.com via spunk-ransom.com

Traduction

Je sais que vous n'avez pas vu les films 'Twilights' avant de choisir Robert Pattinson, mais qu'est ce que sa célébrité à apporter à ce film ? Est-ce que ça a aidé ? Est-ce que ça peut lui nuire ?

Je ne sais pas, C'est une grande inconnue pour moi. Vous savez, j'adore l'idée d'être capable de prendre une personne dont je peux seulement imaginé que son talent a été grossièrement sous-estimé.

C'est un bon film pour lui, avec les films de Cronenberg.

C'est un mec très intelligent avec beaucoup de goût. Et il sait les réalisateurs avec qui il veut travailler. Mais, qui sait ce que cela signifie pour le film dans la conscience du public, qui sait ? Je n'ai aucune idée de si oui ou non ça nous aidera ou pas. Mais, je ne m'en inquiète pas vraiment - car j'aime la surprise et la révélation que c'est. Mais j'espère que les gens l'adopteront, car je pense qu'il est vraiment bon dedans. Ça n'aurait jamais été suffisant pour moi qu'il ne donne qu'une performance bonne et solide. C'était toujours important pour moi qu'il me donne une performance extraordinaire - et je pense qu'il l'a fait. Lui et Guy.

Qui a eu l'idée des tics du personnage de Robert Pattinson ?

C'était lui. Ils étaient naturels. Je ne sais pas à quel point ils étaient conscients et délibérés pour lui, mais quand je les regardais, on avait le sentiment que c'était de subtil petite manifestations biologiques du personnage.

Et vous l'avait sali.

[Rires] Ça devait arriver. Pour moi, le personnage de Rob est comme un chiot perdu. Il a perdu son maître et il s'accroche à la première personne qu'il trouve. Il arrive que ce soit un choix particulièrement mauvais.

  les filles

 

 les filles

 les filles   

Je crois qu'on avait pas encore la critique de THE ROVER du magazine PREMIERE de Juin 2014...

 RNAth j'aime bien Mathieu Carratier

   Rnath J'aime beaucoup ce magazine "PREMIERE".....  

les filles

Rnath, je l'ai mis en news en te sourçant

David Michod parle de Robert avec Indiewire


How much is the Pattinson character derived from John Steinbeck’s “Of Mice and Men”?

You set up a relationship like this, somewhere in the back of your mind you’re thinking it’s Steinbeck. But one thing that appealed to me was being able to make something lean and muscular and elemental. And that basic relationship between a seemingly loveless murderously embittered man and an open naive simple boy was for me the perfect prism for that elemental story.

Why was Pattinson the right casting?

One thing that was clear to me when I was testing people, and Rob already knew it, was that there were 100 different ways you could play this character, differing degrees of mental problems– just uneducated, developmentally slow.

He’s a good gunslinger.

One of the key reasons for that scene telling Guy when he was a kid on the farm and his neighbors was to make it clear that he has a rich imaginative life, he’s not an idiot, he’s looking for someone to love. Guy realizes too late that’s what he’s looking for too. Rob gave me a character who felt plausibly simple without having to push it too far into the mentally disabled world. He was totally open and engaged. That’s why I had a feeing he was going to be my favorite, when I met him. Even thinking about the bubble Pattinson is forced to live in, I was taken aback by how wonderfully open and engaged he was when I met him as a stranger.

source : indiewire.com via ToR

Traduction

A quel point le personnage de Pattinson provient de celui de John Steinbecks dans "des souris et des hommes" ?

Vous mettez en place une relation de ce genre, quelque part au fin fond de votre esprit vous pensez à Steinbeck. Mais une des choses qui m'a interpellé était d'être capable de faire quelque chose de mince, musclé et élémentaire. Et cette relation basique entre un homme aigri meurtrier et sans amour et un garçon simple, naïf et ouvert était pour moi le prisme parfait pour cette histoire élémentaire.

Pourquoi Pattinson était il le bon casting ?

Une des choses qui était claire pour moi quand j'auditionnais les gens et Rob le savait déjà, était qu'il y avait 100 manières différentes de jouer le personnage, différent degrés de problèmes mentaux - simplement incultes, mentalement peu développé.

C'est un bon flingueur.

Une des raisons principales pour cette scène où il raconte à Guy qu'il était un enfant de la ferme et parle de ces voisins, était de faire comprendre qu'il avait une vie imaginaire riche, il n'est pas idiot, il recherche quelqu'un à aimer. Guy le réalise trop tard qu'il recherchait ça aussi. Rob m'a donné un personnage qui est simplet sans pousser trop loin dans le monde de l'handicap mental. Il était totalement ouvert et engagé. C'est pourquoi j'ai eu le sentiment qu'il allait être mon préféré, quand je l'ai rencontré. Même de penser à la bulle dans laquelle Pattinson est forcé de vivre, j'ai été surpris par la manière dont il est merveilleusement ouvert et engagé quand je l'ai rencontré et qu'on ne se connaissait pas.