[Cosmopolis] Revue de presse

Ben oui, c'est Denise Lili

Désolée , je pète un plomb

ptiteaurel a écrit:

David Cronenberg parle de la relation entre les personnage de Rob et de Paul Giamatti

traduction

Vous avez déclaré que le roman s'était avéré prophétique, mais l'économie a des hauts et des bas donc il doit y avoir une certiane forme de coïncidence. Qu'est-ce qui, dans ce livre de 2003, vous a paru à la fois cinématographique et contemporain?

« Cosmopolis » n'a jamais prétendu est être une analyse de la situation économique mondiale vous savez? Le simple fait que le monde semble soudain rattrapé par le livre de Don DeLillo et c'est comme si nous faisions un documentaire au lieu d'un film. Ces choses sont arrivées : Occupy Wall Street, la tarte dans la figure de Rupert Murdoch. Nous avons tourné des scènes avec Rob [Pattinson] qui était tellement similaire à ça que c'était plutôt bizarre. Mais non, je n'avais pas besoin de cette réalité contemporaine pour être intéressé parce que pour moi, c'était le personnage, c'était la philosophie, c'était la structure du roman en lui-même qui m'intéressait. Et je pensais que c'était, vous savez, en tant qu'artiste, vous êtes sans cesse à la recherche de réalités universelles, de vérités, pas de vérités absolues, mais quelque chose qui a une signification universelle, et pourtant, vous devez faire avec des personnages particuliers, à des moments particuliers et ainsi de suite... Et alors vous avez besoin de la particularité d'être universel et je pensais que c'était vraiment fort dans le roman de Don et comme je l'ai dit, le monde aurait pu être en super-forme économique que j'aurais quand même trouvé le livre résonnant.


Dans le roman, on trouve un monologue intérieur de Benno Levin, joué par Paul Giamatti, une des personnes qui en veut à Eric Packer. En tant qu'un des personnages les plus complexes de l'histoire, que represente Benno Levin pour vous?

Et bien, je ne pense pas en terme de symboles et de schémas. Je pense à Benno en tant que personne réelle. Je dois envisager mes personnages en tant que vraies personnes et avec mes acteurs nous, comme je dit souvent, vous ne pouvez pas dire à un acteur, « Tu dois décrire ce concept abstrait. » Je ne peux pas dire à Rob Pattinson, « Tu es le symbole du capitalisme. » Parce qu'un acteur ne connait pas ça. Comment jouer ça? Que fait-on de cette information? Ça n'aide pas. Vous devez dire, « Tu es ce personnage qui a ce passé, qui doit aller chez ce barbier, qui a ce désire, qui fait ce travail. » C'est comme ça qu'un acteur travaille et c'est réellement comme ça que je travaille. Donc, je ne peux pas dire « Benno représente ci ou ça. » Je peux dire que Benno est un personnage qui voue une admiration bizarre au personnage de Rob Pattinson. Il est en adoration devant lui. Mais il est également rebuté par lui et intimidé par lui aussi, dans la mesure où il doit vraiment être connecté à lui. Exactement comme des fans qui doivent être en contact avec une célébrité – cette étrange connexion émotionnelle à distance. Et c'est de cette façon que je le traite, donc, je ne peux pas répondre à votre question de la façon dont vous l'avez posée.


source the playlist via RPLife

les filles

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Maître Cronenberg fait sa leçon



Trois quarts d’heure avant l’arrivée du réalisateur, la salle de la Fnac Montparnasse est déjà bondée. Quelques personnes essaient de grappiller les dernières – et rares – places assises, se faisant à chaque fois moucher par l’éternel refrain : « C’est réservé à la presse ! ». Toute la Culture est confortablement installée et Toute la Culture sourit, car Toute la Culture assiste, ce mercredi 30 mai, à la masterclass de David Cronenberg.

David Cronenberg est ponctuel. C’est une première bonne nouvelle. Mais surtout, le réalisateur est loquace et enjoué : on n’aurait pas pu trouver de meilleur guide pour nous faire entrer dans son thriller ultra-cérébral Cosmopolis. Les premières images du film défilent à l’écran, l’avant d’une limousine blanche, clinquante, agresse le regard du spectateur qui, de toute manière, s’en fiche car il n’a de yeux que pour le cinéaste enfoncé dans son fauteuil.

La raison de cette entrée en matière? « Don [NDLR : Don De Lillo, auteur du roman Cosmopolis dont le film est tiré], m’a confié, un jour, la source de son inspiration pour le livre : du temps où il habitait New York, il voyait souvent déambuler dans les rues étroites de Manhattan ces très longues limousines blanches. Il en est donc venu à se demander qui étaient ces gens à l’intérieur de ces voitures et pourquoi choisissaient-il de circuler dans des véhicules aussi peu fonctionnels. Et puis il y a sa question centrale, celle qu’on retrouve dans mon film : où dorment ces limousines? Où sont-elles garées la nuit? ». Personne ne pipe mot et Maître Cronenberg continue sur sa lancée, expliquant à l’audience attentive que « le processus de création d’un artiste ne part pas d’un concept général et abstrait mais de quelque chose de très réel et de physique qui éveille sa curiosité ». Heureusement, le ton professoral voire cérémonieux qu’il emprunte s’estompe peu à peu, laissant place à davantage de boutades. Entre deux questions, le réalisateur s’adresse à Béatrice Thomas-Wachsberger, qui anime et traduit la conversation, balbutiant en français : « C’est beaucoup mieux quand vous vous exprimez à ma place, c’est plus vivant ! ». Ouf, il s’en est rendu compte !

Passé maître dans l’art d’adapter à l’écran des œuvres littéraires dites, justement, « inadaptables » (on pense à The Naked Lunch ou à Crash), David Cronenberg avoue avoir été « choqué par la rapidité avec laquelle [il a] écrit le scénario », terminé en six jours seulement. Cette rapidité est liée, selon lui, à l’écriture de Don De Lillo, qu’il qualifie de » cinématographique (…) à la fois extrêmement réaliste – car l’auteur capture avec précision la façon dont l’Amérique parle et s’exprime – et très stylisée ». Il poursuit : « J’ai tout de suite eu envie, en lisant Cosmopolis, d’entendre de grands acteurs lire ces dialogues à l’écran ». Concernant le casting, alors qu’on lui demande pourquoi il a choisi Robert Pattinson pour interpréter le rôle du golden-boy Eric Packer, Cronenberg répond, pince-sans-rire : « Il ne coûtait pas cher et était disponible ».

Le réalisateur enchaîne sur une note plus sérieuse : « J’ai toujours pensé que le processus de casting d’un acteur était étrange, voire occulte – car cela marche à l’intuition – mais il y a tout de même un aspect concret au travail. Se pose en premier lieu la question de l’âge du personnage ; puis on se penche sur sa liste et on raye les acteurs trop jeunes ou trop vieux. Dans le cas d’Eric Packer, il me fallait un comédien américain ou, en tout cas, capable de jouer un accent américain convaincant. Et surtout, je voulais de la « star quality », un acteur qui ait suffisamment de charisme pour porter le film et maintenir le personnage intéressant tout au long des dialogues. » Cronenberg n’a pas tort, car la particularité de Cosmopolis est que Robert Pattinson apparaît dans chacune des scènes et tout part de son point de vue, physique comme émotionnel. « J’ai tout de suite pensé à lui, car je trouve que c’est un grand acteur », nous dit le cinéaste. On a à peine le temps d’émettre un rictus (c’est dire s’il s’est montré rapide !), qu’il répond à la critique : « Vous savez, on dit souvent « Ah, s’il a joué dans Twilight, c’est que ce n’est pas un bon acteur !» mais j’ai pu revivre avec Robert, la même situation que j’avais connue avec Viggo Mortensen, alors qu’il venait de tourner dans Le Seigneur des Anneaux. J’ai tout de suite compris que Robert, comme Viggo, est un très grand acteur ». Cronenberg réduit au silence les derniers protestataires par un simple « Rob a une présence formidable à l’écran. » Cela n’a toutefois pas empêché l’acteur de s’être montré inquiet par rapport à sa prestation. « Il était très enthousiaste, mais également très inquiet, se demandant sans cesse s’il saura être à la hauteur, car le rôle est très complexe ». En effet, « Eric sait ce qu’il est mais non qui il est », nous dit son papa David. »La limousine est un peu un univers qu’il s’est auto-créé, totalement isolé du monde extérieur. Elle tient du tank, du sous-marin, mais également du cercueil. Eric y contrôle toutes les situations : le sexe, le business, les discours philosophiques… S’il maîtrise cet univers, il s’est en revanche coupé de la vie et des autres. On parle de bulle financière, le personnage est, lui, littéralement dans sa propre bulle. » La phrase « Je suis une énigme à moi-même », tirée des Confessions de Saint-Augustin et prononcée par Pattinson dans le film correspond entièrement à ce personnage énigmatique.

Et quid des autres acteurs? « On a parlé, tout à l’heure, des méthodes de casting et pour le personnage joué par Giamatti, il me fallait un acteur plus âgé que Pattinson – le film repose sur cette opposition entre Eric et lui – qui puisse à la fois être drôle, pathétique, triste et effrayant. Je pense qu’il n’y a qu’un seul acteur américain qui corresponde à tout cela, et c’est Paul Giamatti. Et c’est vrai que Paul est un acteur très subtil ; il a tout de suite compris que, dans ce film, son personnage est amoureux de celui de Robert Pattinson… Enfin, amoureux… Il faut que vous voyiez le film… J’avais besoin d’un acteur qui n’ait pas peur de jouer un tel rôle. » David Cronenberg confie avoir eu, depuis longtemps, envie de tourner avec Juliette Binoche « et Cosmopolis a été l’occasion de réaliser ce projet ». Même combat pour Mathieu Amalric, qui, dans le film, joue le rôle d’un entartreur, the (« pastry assassin ») : « il faut vraiment le voir en blond oxygéné pour comprendre la puissance de son jeu… ». Le réalisateur encense également le professionnalisme des comédiens français : « Ce qui est génial avec les acteurs français, c’est que quand ils vous disent qu’ils veulent travailler avec vous, ils le font vraiment le jour où vous le leur demandez. Ce qui n’est pas toujours vrai des Américains… ». Cocorico !

Mais David Cronenberg n’est pas là uniquement pour parler de son casting (certes, impressionnant : on ne voit défiler au générique que des grands noms !). La question que beaucoup se posent après le visionnage de ses films – qu’est-ce qu’il a bien voulu dire ? Qu’est-ce que cette Cosmopolis ? – trouve également sa réponse dans cette masterclass. « Lorsque De Lillo a écrit ce roman, c’était en 2003, il avait vraiment anticipé la situation actuelle et on a l’impression que le monde a tout juste rattrapé aujourd’hui ce que pensait et voyait déjà De Lillo. ». Il relate également des moments de mise en abyme ubuesques : « Tandis que je tournais des scènes de révolte dans les rues de New York, le soir en rentrant, c’était très étrange de lire dans les journaux les récits de pareils mouvements anticapitalistes, que ce soit à Manhattan ou partout ailleurs, les mouvements des Indignés, Occupy Wall Street, etc. » Don De Lillo prophète? « Non, ce sont deux jobs totalement différents, mais il avait un peu ses « antennes » sorties, car, comme tout artiste, il est intuitif et sensible au monde qui l’entoure ». Cronenberg explique néanmoins que pour rester fidèle au roman, il a fallu le trahir : » La littérature et le cinéma sont des médiums totalement différents et ce qui marche dans l’écriture ne fonctionne pas forcément au niveau de l’image. Oui, j’ai effectué quelques changements, très peu d’ailleurs ; je pense être resté fidèle au rythme et à l’essence du roman. Ce ne sont pas des altérations « hollywoodiennes ». Ça a été ma décision personnelle de modifier certains éléments et ça n’a rien à voir avec une volonté d’un happy end », conclut-il. « Vous me demandiez de quoi parle Cosmopolis ; ça parle, évidemment d’argent, du capitalisme, mais aussi de suicide, c’est donc un spectre très large que j’explore dans mon film et qu’explorait également le roman lui-même. »

Si le terme de « masterclass » élève David Cronenberg au rang de semi-dieu (poste qu’il occupe déjà pour beaucoup), cette rencontre avec le réalisateur de Cosmopolis aura toutefois permis d’humaniser le maître, qui cite ses références cinématographiques – parmi elles, Kurosawa, Fellini et Bergman, « le cinéma d’art avec un grand A » – et avoue avoir été frappé, gamin, par Bambi et la mort de la mère de ce dernier !

toutelaculture.com

Elsa tu es bien gentille mais il faut que tu saches que nous faisons un travail d'équipe et nous n'avons pas besoin que ton aide. Tu viens juste d'arriver alors profite juste du forum et laisse nous faire le reste
Je suis peut-être un peu trop directe mais c'est ma nature

Sarah Gadon parle de Rob et Cosmopolis

What is Cronenberg’s involvement? I’ve heard there are no rehearsals.
SG: No, we don’t do rehearsals. But David does a very thorough blocking of the scene before going to camera. It’s like a mini rehearsal where we work out the movement of the scene. But I feel less rehearsal added to the project. There’s so much secrecy, security and mythology surrounding Rob as a person that when you arrive on set and do your scene with this actor and never spend any significant time with them, it feels bizarre. That’s what our characters are like: Two people who don’t know anything about each other. They never seem to find each other and when they’re together and it’s like they’re speaking two different languages. And then they both disappear into the city.

So what commentary does the film make? The book is pretty condemning—
SG: Yeah! This is for the one percent descending from their yacht at Cannes to watch a film that points to a gap in society. I think the movie lends itself to a meta-critique of the film industry. Take casting someone like Rob at the centre of this film. He is the symbol of pop cinema, the symbol of capitalism. The film is about the breakdown of that.

And his character’s so hubristic. He tries to tap into this technological system that’s supposed to order the world around him, the dollars and cents of his life, the free market. And we watch it all fall—really hard.
SG: When I read critiques of the film, I think people miss what you’re saying. They ask, “Why is Robert Pattinson in this movie?” Even for David to cast somebody like me who is blonde, blue-eyed and twenty-five and normally reads scripts where I am hyper sexualized or solve everyone’s problem with my smile. He cast me as a character who will not allow her romantic lead to project anything onto her that she will absorb, it’s kind of unheard of. And there is a difference between [Elise] in the book and the Elise that David wrote. In that the last scene between Eric and Elise, in the book, Eric projects onto an accepting Elise. For me, the best part about ending their narrative in the restaurant, in the movie, is that she ends it and she’s out and that’s it.

source Toronto Standard via RPlife

Trad en cours....

Sarah Gadon parle de Rob et Cosmopolis

Quelle est l'implication de Cronenberg? J'ai entendu dire qu'il n'y avait pas de répétitions?

SG: Non , nous ne faisons pas de répétitions. Mais David avait une prévisualisation de la scène avant de tourner. C'est comme une mini répétition où on travaille le mouvement de la scène. Mais il y a moins de répétitions que sur d'autres projets. Il y a tant de secret, de sécurité et de mythologie entourant Rob quand vous arrivez sur le plateau et faire votre scène avec cet acteur mais ne jamais passer du temps avec lui , c'est bizarre. Mais c'est comme ça que sont nos personnages : deux personnes qui ne connaissent rien l'un de l'autre. Ils semblent ne jamais se trouver et quand il sont ensemble, c'est comme s'il parlait deux langues différentes. Et ils disparaissent tous les deux dans la ville.

Quel commentaire fait donc le livre? Le livre est assez snob—

SG: Oui! C'est les 1% de personnes descendant de leur yacht à Cannes pour voir un film qui montre du doigt un fossé dans la société. Je pense que le film est une méta-critique de l'industrie du film. Prenez le casting de quelqu'un comme Rob au centre de ce film. Il est le symbole du cinéma populaire, du capitalisme. Ce film parle de leur chute.

Et son personnage est tellement hubristique. Il essaie d'enfoncer un système technologique qui est censé organiser le monde autour de lui , les dollars et les centimes de sa vie, le libre marché. Et on le voit s'écrouler – vraiment très fort

SG: Quand je lis les critiques du film, Je pense que les gens passent à côté de ce que vous dites. Ils disent, “Pourquoi Robert Pattinson est dans ce film?” Même pour David choisir une personne qui comme moi est blonde aux yeux bleus, a 25 ans et lit normalement les scripts où je suis hyper sexualisée ou je dois résoudre tous les problèmes des gens en un sourire . Il m'a choisi comme un personnage qui ne permettra pas à son rôle principal de projeter des choses sur elle qu'elle , on n'entend pas parler de ça . Et il y a une différence entre [Elise] dans le livre et la Elise que David a décrit. Dans cette dernière scène entre Eric et Elise, dans le livre Eric entrevoit d'accepter Elise. Pour moi, la meilleure partie quand leur histoire se termine au restaurant, dans le film, c'est qu'elle y met un terme et c'est tout. Elle est partie.

source Toronto Standard via RPlife

les filles

les filles

Rob parle de Cosmopolis et des scènes de sexe

Sure there have been car movies in the past. But there has never been a movie that has taken place almost entirely inside of a car. Until now.

Enter Cosmopolis, David Cronenberg's surreal look at the world of finance -- set in the back of a stretch white limousine winding it's way through the crowded streets of New York City.

Robert Pattinson, who spends nearly every scene of the movie in the plush back seat, says even he was surprised by how much took place in the back in the limited environment.

"When I saw the script, about 70% of it was in the limo," Pattinson tells USA TODAY. "But as we were shooting, (Cronenberg) kept adding even more scenes. I started feeling like it was (the German U-boat classic) Das Boat, like we were stuck in this weird submarine movie."

Even Pattinson's communication with Cronenberg was through the limousine's intercom from inside this sealed world. Meanwhile, the back of the limo serves as the stage for some crazy stuff, street riots and the like. In one scene Pattinson's banker character actually seduces the lovely French actress Juliet Binoche. Naturally the sex scene takes place in the tight back seat, which led to some comical moments for Pattinson.

"There's not enough space to really do it," he says. "So she's banging her head on the ceiling. It ended up being kind of funny. But its supposed to be kind of erotic."

But the most bizarre scene, and no doubt another movie first, is another seduction moment.

"There's a scene where I am having to seduce (a woman) while being completely naked having a prostate exam in the back of the limousine," laughs Pattinson. "They don't really see it that very often in movies."

source USA Today via RPlife

Trad en cours....

Rob parle de Cosmopolis et des scènes de sexe

Bien entendu , on a déjà eu des films dans des voitures dans le passé. Mais il n'y a jamais eu de film qui se déroule autant dans une voiture. Jusqu'à aujourd'hui

Faites entrer Cosmopolis, le look surréaliste de David Cronenberg sur le monde de la finance – situé à l'arrière d'un limousine blanche qui fait chemin dans les rues bondées de New York.

Robert Pattinson, qui passe le lus clair de son temps dans le siège arrière luxueux de la voiture a même dit qu'il était surpris de la quantité de scènes se déroulant à l'arrière de cet environne ment. Confiné.

"Quand j'ai vu le script, environ 70% se passait dans la limousine » a dit Pattinson à USA TODAY. "Mais alors que nous tournions le film, (Cronenberg ne cessait d'ajouter des scènes. J'avais l'impression que c'était Das Boat ( le bateau classique allemand , comme dans ce film bizarre dans un sous marin dans lequel ils sont piégés.

Même la communication de Pattinson avec Cronenberg se faisait via l'interphone de la limousine, qui était un lieu confiné. Pendant ce temps, l'arrière de la limousine servait de plateau pour des trucs complétement fous, des émeutes dans la rue et autres . Dans une scène , le séduisant personnage de Pattinson charme l'adorable actrice française Juliette Binoche. Naturellement l a scène de sexe s'est déroulé dans le siège arrière étroit, ce qui a conduit à des moments assez comiques pour Pattinson.

"Il n'y avait pas assez d'espace pour le faire vraiment ," dit il "Donc elle se cognait la tête au plafond. Ca a fini par être assez marrant. Mais c'était censé être érotique."

Mais la scène la plus bizarre, et sans aucun doute une autre nouveauté pour le film fut un autre moment de séduction.

"Il y a une scène où je dois séduire une femme en étant complétement nu et en subissant un examen de la prostate à l'arrière de la limousine," dit en riant Pattinson. "On ne voit pas cela très souvent dans les films."

source USA Today via RPlife

Moi j'ai particulièrement trouvé la scène de séduction pendant son examen érotique

à chaque fois qu'on lui demande ce qu'il a pensé du tournage des scènes de sexe pour tel ou tel film, il répond qu'ils se sont bien marrés

Et ben moi, j'ai été un p'tit peu déçue de la scène de l'examen...je l'avais imaginée un cran au-dessus niveau "érotisme"

+ 1 Babe