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Sabine
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 20:47

Revue de presse audio lol

« Maps to the Stars », le visage hideux d'Hollywood

Analyse du film


"Maps to the Stars" : Cronenberg exhibe le... par lemondefr

source : lemonde.fr merci à Céline pour le lien
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 21:09

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 21:47

critique
A Hollywood, la ville des rêves, se télescopent les étoiles : Benjie, 13 ans et déjà star; son père, Sanford Weiss, auteur à succès et coach des célébrités; sa cliente, la belle Havana Segrand, qu’il aide à se réaliser en tant que femme et actrice. La capitale du Cinéma promet aussi le bonheur sur pellicule et papier glacé à ceux qui tentent de rejoindre les étoiles: Agatha, une jeune fille devenue, à peine débarquée, l’assistante d’Havana et le séduisant chauffeur de limousine avec lequel elle se lie, Jerome Fontana, qui aspire à la célébrité. Mais alors, pourquoi dit-on qu’Hollywood est la ville des vices et des névroses, des incestes et des jalousies ? La ville des rêves fait revivre les fantômes et promet surtout le déchainement des pulsions et l’odeur du sang...
DES HOMMES ET DES DIEUX

Maps to the Stars s’ouvre sur un générique où l’on parcourt une carte des étoiles, de constellations en planètes. En un basculement trivial, la carte des étoiles parcourue au début de Maps to the Stars devient celle qui mène aux maisons de stars de Beverly Hills. L’héroïne (Mia Wasikowska) vient dit-elle de Saturne. Et on la croit : nous sommes chez David Cronenberg, cinéaste des faux semblants et de l’illusion, qui s’infiltre dans l’usine à imaginaire la plus populaire du monde - Hollywood. On se poste rapidement devant les lettres géantes et majestueuses posées sur le Mont Lee, celles-là mêmes qui ont servi de tremplin à Peg Entwistle, starlette déçue qui dans les années 30 s’y suicida. Maps to the Stars est peuplé des fantômes et mythes du Hollywood d’hier, les actrices-stars y meurent dans un grand incendie comme Linda Darnell accrochée à sa poignée de porte et l’on a parfois le sentiment de tourner les pages du Hollywood Babylone raconté par Kenneth Anger.

A mesure que Existenz progressait, on était de plus en plus immergé dans une réalité virtuelle. Maps to the Stars ne prend pas ce chemin : les films passent à la télé, on aperçoit le tournage d’une scène sur un plateau, mais pas plus, les fantaisies du cinéma et le monde « réel » semblent bien séparées. Le cinéma est ici une industrie concrète, Maps… n’est pas avare en name-dropping, évoquant Drew et la drogue, Harvey et ses prods, et l’on est fort circonspect lorsqu’on apprend qu’un rôle est confié... à Anne Hathaway. L’épure de la mise en scène de Cronenberg poursuit le geste entamé par ses récents films. Le silence qui règne autour des personnages dans Maps… rappelle le tombeau roulant de Cosmopolis. Pas un hasard puisque nous sommes ici dans un monde assez morbide, incestueux, replié sur lui-même, où l’on sirote par vanité un cocktail au bar du coin designé par Philippe Starck avant d’aller gober quelques sushis au Nobu. L’inox blanc des pissotières dans lesquelles l’un des personnages dégobille est lui glacial.

C’est d’une baignoire tout aussi froide que sort le premier fantôme de Maps to the Stars. Il vient tourmenter une star vieillissante (Julianne Moore, délaissée depuis des années par le cinéma et qui retrouve enfin un grand rôle à sa mesure). Celle-ci porte trop de gloss et rêve d’un Oscar, quand bien même il ne s’agirait que d’une statuette du meilleur second rôle. Le compositeur Howard Shore semble singer les orgues lugubres d’Angelo Badalamenti – nous sommes à deux pas de Mulholland Drive. En un clin d’œil malicieux, Cronenberg cite Mommy Dearest, chef d’œuvre du nanar camp sur la grandeur et décadence de Joan Crawford doublé par la grandeur et décadence de sa propre interprète, Faye Dunaway. Les personnages féminins de Maps… sont complexes et puissants, comme souvent chez le réalisateur canadien (Chromosome 3, Crash, Existenz). Ce sont elles qui deviennent mythiques dans le film, par leur histoire et leur motivation (Wasikowska) ou par leur dénouement (Moore).

Ce qui les rassemble est l’un des thèmes récurrents de l’œuvre de Cronenberg : la séparation quasi-schizophrène entre l’image et l’identité. Hollywood est évidemment le terrain de jeu idéal pour un tel sujet. Cronenberg s’ajoute à cette lignée de grands films sur un Hollywood brisé, de Sunset Boulevard à Qu’est-il arrivé à Baby Jane en passant par Mulholland Dr ou le plus récent et miniature The Canyons. Avec son style propre, moins mélodramatique – le film n’est pas très émouvant – mais avec une étrangeté clinique assez fascinante. Pour cela, Cronenberg n’a pas eu peur de se salir les doigts avec des rebondissements juteux parfois échappés d’un épisode de Sunset Beach, contrairement à des auteurs plus frileux qui ne savent qu’auteuriser. Ce mélange de froideur et de vulgarité et l’une des singularités de ce règlement de compte mythologique déguisé en ensorcelant conte de cinéma.

Le Palmomètre: Le sujet de Maps to the Stars est-il palmable ? Plus simplement, David Cronenberg sera t-il enfin palmé ? Le film s'impose pour le moment assez facilement après un début de compétition assez faible. Julianne Moore fait également un bon pari avec un rôle et une prestation marquantes.
par Nicolas Bardot
source : Filmdeculte
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:04

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:13

Maps to the Stars, le retour du grand Cronenberg

On avait laissé David Cronenberg sur son adaptation littérale et un peu bavarde du beau Cosmopolis de Don DeLillo, et sur un prometteur mais relativement décevant portrait de la relation Freud-Jung (A Dangerous Method). Il faut bien avouer que ces derniers temps, le Cronenberg de A History of Violence et Videodrome nous manquait pas mal, et que l’idée de focaliser nos espérances sur son Brandon de fiston était impossible, étant donnée l’ampleur du désastre Antiviral.

Maps to the Stars, nouveau film de l’auteur de la trilogie Chromosome (t’as compris ?), présenté en Sélection Officielle du Festival de Cannes, dépeint le quotidien de deux stars hollywoodiennes : Havana, une « fille de » vieillissante et presque has-been, mais obnubilée par l’idée d’interpréter le rôle de sa défunte mère dans un biopic, et Benjie, un enfant star venant de terminer une cure de désintoxication. Leurs deux histoires se rejoindront lorsque Agatha, sœur de Benjie, pyromane un peu tarée et au visage brûlé deviendra la femme à tout faire d’Havana.

Des visions fantomatiques, des relations incestueuses, de la drogue, des rivalités d’actrices, des secrets de famille : avec Maps to the Stars, le canevas que Cronenberg Sénior s’est tissé s’avère appétissant, bien plus proche de son univers tordu que de ses précédents films.

Et le nouveau trip du cinéaste canadien tient EASY toutes ses promesses.

En ancrant ses personnages dans un Hollywood dégueulasse, loin des fantasmes du wanabee lambda qui regarde Les Ch’tis à Hollywood en pensant à la belle Paris Hilton, il peut légitimer toutes ses digressions scénaristiques. Scène après scène, c’est rieur comme à ses débuts qu’il semble nous dire : « non mais vous ne connaissez pas le vrai Hollywood, moi je sais ce qu’il s’y passe ». Et le spectateur de se délecter des péripéties s’enchevêtrant et auxquelles les aussi détestables qu’énigmatiques (purement Cronenbergiens) héros sont confrontés.

Mais c’est au-delà de l’aspect farce de son œuvre que l’auteur du film avec le couple nymphomane qui fait des carambolages (tu l’as ?) ravit le plus. Le sentiment qui émane du film est celui de la liberté absolue d’un grand auteur de faire ce qu’il veut d’un bon budget (15 millions) et de grands acteurs bankables. C’est dans ce décalage du film de Cronenberg et de ce qu’il raconte, dans cette mise en abime aux possibilités infinies que la bonne idée réside.

On adore détester ces héros-acteurs et adorer ces acteurs-héros les campant avec une énergie communicative. Julianne Moore est excellente, comme John Cusack et les autres. De leur jeu émane également une liberté. Cette liberté pied-de-nez au blockbusters et au système hollywoodien explicitée en anaphore dans le film par les vers en anaphore d’Eluard (J’écris ton nom Liberté).

Pourquoi le film aura-t-il la Palme ?

- Pour Julianne Moore

- Parce que David Cronenberg n’a jamais été palmé et que, merde, c’est quand même un grand

- Parce qu’en l’absence de film mexicain dans la sélection, il fallait bien que quelqu’un daigne buter un chien dans son film, et que le canadien s’est gentiment dévoué.

Pourquoi le film n’aura-t-il pas la Palme ?

- Parce que c’est du Cronenberg, et l’effet de surprise est un peu faiblard, du coup

- Parce que depuis 25 ans, aucun film dont le titre commence par un M ne l’a reçue.

source cinematraque.com
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:25

David Cronenberg aurait-il perdu tout son sens de l’humour ? C’est la question qui nous taraude à la sortie de la projection de son nouvel opus. Déjà avec COSMOPOLIS, on avait trouvé que le réalisateur se prenait un poil au sérieux. Mais on comprenait qu’il faille bien une cathédrale de cinéma pour abriter et adapter l’écriture singulière de Don DeLillo. Bizarrement, MAPS TO THE STARS cherche à s’inscrire dans la continuité esthétique de ce précédent film alors que les intentions des deux scénarios divergent fondamentalement. Si COSMOPOLIS était une fable moderne, MAPS TO THE STARS est assurément une farce. Et quoi de mieux qu’HOLLYWOOD pour faire grimacer son monde ? Le scénario de Bruce Wagner, auteur du roman déjà farcesque « Toujours L.A. », s’inscrit dans la droite lignée des pamphlets cyniques américains popularisés notamment par le style de l’écrivain Bret Easton Ellis. Tout y est exagéré, déformé, dévié pour rejouer à l’infini la rengaine bien connue qu’Hollywood est un lieu de rêve et de damnation. Et en l’état, la partition de Wagner est plutôt amusante tant elle épingle cruellement, sous forme de polar torve, des silhouettes monstrueuses de la pop culture, facilement reconnaissables. Ainsi, difficile de ne pas voir apparaître par exemple le fantôme de Frankie Muniz (acteur de MALCOLM) derrière ce personnage de jeune acteur névrosé et toxico. Evidemment, la caricature va loin et Wagner pousse le trait, s’amusant même à instaurer dans tout ça un soupçon de tragédie grecque, façon Atrides 2.0. Alléchant n’est-il pas ? Hélas, pourquoi donc David Cronenberg prend-il tout ça avec un tel esprit de sérieux ? Le script de Wagner, grotesque et méchant, appelait à une mise en scène pleine d’alacrité, qui n’aurait pas eu peur de se salir les mains dans l’outrance. Le Cronenberg 90’s aurait donc été parfait, avec juste ce qu’il faut de raideur pour que le délire éclate encore plus fort. C’est cet espoir qui rend la première partie du film intrigante. Il y a quelque chose de bizarre à voir ce scénario pop déglingué mis en scène avec une telle austérité. Les vannes fusent dans le silence le plus complet. On se dit que Cronenberg cultive l’étrangeté et le malaise sûrement pour mieux lâcher les chevaux. Il n’en est rien. MAPS TO THE STARS déplie sa noirceur et sa méchanceté morbide dans un monastère qui vise à éteindre toutes les mèches qui pourraient s’allumer. Mécanique et inhabité, le film accomplit sa tragédie comme on commande l’addition pour en finir. On nous répondra que cet aspect fantomatique et ascétique de la mise en scène sert justement un propos sur la désincarnation d’Hollywood. Sur ce terrain-là, THE CANYONS (de Paul Schrader) est alors nettement plus percutant. On attendait de Cronenberg un peu mieux qu’un simple objet théorique où les acteurs sont réduits à l’état de pantins. On a surtout la désagréable sensation que cette désincarnation du récit sert plutôt à consolider sa stature d’auteur respecté, en agitant de manière névrotique deux ou trois marottes, un peu éculées. Il y avait de belles promesses dans ce scénario et une galerie d’acteurs qui se seraient volontiers prêtés à la farce. Dommage que Cronenberg n’ait pas retenu, pour son premier « méta-film », la leçon de ses illustres prédécesseurs comme Altman, Minnelli ou Lynch. Il aurait su qu’Hollywood est une chose bien trop sérieuse pour ne pas être filmé sans fantaisie.

source cinemateaser.com
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:31

Telegraph (5 stars)

My instant reaction, after stumbling, open-mouthed, from the cinema, was a pathological need to stumble back in again. There’s so much in this seething cauldron of a film, so many film-industry neuroses exposed and horrors nested within horrors, that one viewing is too much, and not nearly enough. Cronenberg has made a film that you want to unsee – and then see and unsee again.


The Guardian (4 stars)

Maps to the Stars is a tense and scary movie, unwholesome in the hold that it has on the audience. Perhaps, in the end, it is too extravagantly cynical to be entirely truthful about Hollywood and LA, but it has a Jacobean power, the kind of thing that John Webster or Thomas Middleton and William Rowley might write if they were living in the 21st century: a claustrophobic nightmare of despair


Film 4

Maps To The Stars is a film having plenty of fun with the notion of Hollywood dynasties and the processes by which success is achieved and cemented – who knows whom, who’s seeing whom, who hates whom: all the invisible, untraceable connections that bind Hollywood together. The joke is that there is no map to these stars, and without an innate sense of direction you’ll soon be lost. Hollywood is often decried as incestuous, and this film plays that idea to the hilt, with the product of incestuous breeding even more troubled and egotistical than the generation before that. - See more at: http://blog.film4.com/cannes-review-maps-to-the-stars/#sthash.C9PmSbTq.dpuf


Little White Lies

True to style, David Cronenberg's Maps to the Stars is a work of cinematic fusion. Like the weeping vagina hidden underneath Marylin Burns' armpit, here we have a bracingly blasé investigation into unmentionable family taboos which has been forcibly integrated onto the body of a noxious (and not wholly convincing) La La Land burlesque. There are no waspish one-liners or ironic rib-nudges here — this is a punk jeremiad which rams your face into the constipated asshole of Hollywood. The thrill of watching the film comes from attempting to locate the strained sinews where these two strange sides converge — or, as the film would have it, finding "the flesh that says yes".


Twitch Film

Julianne Moore's raw power is on display, but the Blanche DuBois act feels equally wrought. Mia Wasikowska and Robert Pattinson are perfectly fine. Newcomer Evan Bird can spout "Jew cunt" as written on the page and come across as douchey when called for, but his venom comes across more as school-bully than truly demonic child actor.
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:49

Telegraph (5 étoiles)

Ma première réaction, après avoir trébuché hors du cinéma, la bouche ouverte fut un besoin pathologique de trébucher à nouveau. Il y a tant de chose dans ce film; tant de de névrosés de l'industrie du film et d'horreurs nichant dans l'horreur, qu'une seule séance est déjà trop et pourtant pas assez. Cronenberg a fait un film que vous voulez oublier , puis revoir puis oublier encore.

The Guardian (4 étoiles)

Maps to the Stars est un film effrayant et tendu, inconscient de la prise qu'il a sur le public. Peut être , à la fin, c'est trop extravagant et cynique mais c'est fidèle à Hollywood et à LA, mais il a un pouvoir Jacobien, le genre de truc que John Webster ou Thomas Middleton et William Rowley pourraient écrire s'ils vivaient au 21ème siècle: un cauchemar claustrophobe de désespoir

Film 4

Maps To The Stars est un film qui se moque beaucoup des dynasties à Hollywood et des processus par lesquels le succès est atteint et cimenté – qui sait à qui, qui voit qui, qui déteste qui: toutes les connections invisibles, intraçables qui lient Hollywood . La blague c'est qu'il n'y a pas de cartes pour ces stars, et sans un sens inné de l'orientation, vous allez vite vous perdre. Hollywood est souvent décrié comme incestueux et ce film joue sur cette idée, avec le produit d'un élevage incestueux encore plus perturbé et égoiste que la génération précédente

Little White Lies

Fidèle à son style, David Cronenberg et son Maps to the Stars est un travail de fusion cinématique. Comme des vagins pleurant cachés sous les aisselles de Marylin Burns, ici on a une enquête blasée sur les taboos d'une famille innommable qui a été intégrées à un corps de burlesque La La Land ( et pas toujours convaincant). Il n'y a pas d'ironie ici — ceci est une jérémiade punk qui vous arrive en pleine figure et vous propulse vers les trous du culs constipés d' Hollywood. L'excitation en voyant ce film vient des essais à localiser les ligaments tendus où convergent ces deux côtés étranges — ou comme le dit le film , pour trouver "la peau qui dit oui".

Twitch Film

Le pouvoir à l'état pure de Julianne Moore est visible, mais le jeu à la Blanche DuBois semble forgé. Mia Wasikowska et Robert Pattinson sont très bien. Le nouveau venu Evan Bird peut dire "chatte juive" comme sur le script et sonne crétin quand on le lui demande mais son venin fait plus penser à une brute à l'école qu'à un jeune acteur vraiment démoniaque
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 22:53

Plusieurs personnages se croisent à Hollywood. Une actrice vieillissante qui voit sa carrière faner, un écrivain à succès et coach de célébrités, un enfant star de 13 ans totalement imbu de sa personne, une jeune fille qui débarque à Hollywood, un chauffeur de limousine qui voudrait être acteur. D'une manière ou d'une autre tous ses personnages sont connectés comme les étoiles qui forment les constellations.

Hollywood Night

Quand on a lu que David Cronenberg réalisait un film sur Hollywood il était facile d'imaginer la charge évidente et cynique contre la vacuité de la célébrit, de l'argent et sur la décadence de la cité du cinéma. Un film comme The Canyons de Paul Schrader sorti récemment par exemple. Sauf que dans les mains de David Cronenberg ce projet ne ressemble absolument à rien de ce qu'on pouvait imaginer. Bien évidemment on retrouve une certaine verve ironique envers ces personnages d'acteurs qui sont prêts à tout pour se raccrocher à leur célébrité, qui se réjouiront de la mort de quiconque leur permettra de briller un peu plus longtemps sur le grand écran. Mais avant tout Maps to the Stars est quelque chose d'autre. Une comédie noire évidemment mais aussi et surtout autre chose, quelque chose de profondément unique.

J'écris ton nom

Il y a dans Maps to the Stars un poème qui est répété plusieurs fois. Ce poème c'est "Liberté" de Paul Eluard. Un poème relativement célèbre pour le public français dont la présence dans un film ayant pour sujet Hollywood est assez surprenante. Cependant on comprend très vite de quoi il retourne. Ce poème représente tout ce que ces personnages ont perdu. « Liberté j'écris ton nom » nous répète Paul Eluard. Mais cette liberté est justement l'élement essentiel qui manque à ces personnages. Tous leurs choix de vie, leurs quotidiens, leurs personnalités sont privés de cette liberté pourtant essentiel à l'homme. Si Paul Eluard a écrit ce poème en 1942 pendant la seconde guerre mondiale, les personnages de Maps to the Stars livrent également une guerre. Une guerre envers eux-mêmes, une guerre qui les éloigne chaque jour un peu plus de qui ils sont vraiment. Qui sont-ils d'ailleurs ces personnages ? On ne les connaîtra pas. De l'intérieur s'entend. En plus de la présence de ce poème, Maps to the Stars fait appel à la mythologie, à la cosmogonie, à la tragédie, au fantastique. Il est quelque chose que personne ne pouvait soupçonner. Une œuvre protéiforme enthousiasmante et mystérieuse qui ne cesse de se découvrir comme un artichaut pour en découvrir un cœur coulant noir comme la mort. Au départ un personnage arrive à Los Angeles et lorsqu'on lui demande d'où il vient il répond : « Jupiter, Florida ». C'est cela Maps of the Stars, des personnages qui viennent d'ailleurs, qui semblent toujours dans un décalage permanent et aliéné par rapport à la réalité (la star de 13 ans et son physique étrange d'adulte/enfant).

Unique et protéiforme

Il y aurait beaucoup à dire sur le film. Sur son étrangeté constante, sur ses ruptures de ton, sur son aspect aussi grotesque que bouleversant. Cependant on est devant un film qui ne se révélera jamais totalement, qui ne livrera pas ses secrets à l'aune d'un symbolisme quelconque. Il faut juste le prendre tel qu'il est. L'oeuvre d'un grand cinéaste en pleine possession de ses moyens qui parvient une fois de plus à renouveler son cinéma dans une évolution qui paraît presque logique tendant vers David Lynch auquel on pense beaucoup. C'est par ailleurs sans doute le plus grand film sur le mythe d'Hollywood depuis Mullholand Drive. On est face à une œuvre qui recèle encore de nombreux secrets, comme en premier lieu ce mystérieux scénariste à qui le film doit énormément, Bruce Wagner, scénariste entre autres de Freddy 3. La mise en scène de David Cronenberg est très froide, un peu en retrait, presque plate mais elle s'adapte finalement parfaitement à cette sensation de voir une épaisse couche de vernis sous laquelle il faut creuser quitte à se casser les ongles pour en découvrir la substantifique moelle. Et depuis la vision on creuse, on creuse et on n'a pas encore atteint le fond et espérons ne jamais l'atteindre subjugués que nous sommes par la beauté de chacune des couches qui se révèlent sous nos doigts.

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Dim 18 Mai - 23:26

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 0:28

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 8:32

Critique de La Presse.Ca

Cronenberg livre un grand cru

CANNES — Maps to the Stars est un David Cronenberg comme on les aime : tordu, déjanté, bizarre, avec de l’humour noir et une touche de brillance. Le réalisateur canadien a livré un grand cru à Cannes et rendu les choses intéressantes pour la Palme d’or dans une compétition jusqu’ici assez moyenne. Mais, honnêtement, il faudra peut-être plus regarder du côté d’un Prix d’interprétation pour Julianne Moore, brillante dans ce film caustique sur l’ambition démesurée de la faune hollywoodienne.

Car ce nouveau long métrage ne s’attaque pas tant au système — bien qu’il décoche plusieurs flèches au passage — qu’à ceux qui l’habitent. Maps to the Stars cible une famille plus que dysfonctionnelle composée d’un enfant star malveillant qui sort de cure de désintoxication (Evan Bird), d’une mère névrotique (Olivia Williams) et d’un père coach de vie égoïste (John Cusack). Parmi ses clients, Havana (Julianne Moore), une actrice sur le déclin obsédée par sa mère.

Leur écosystème sera fortement perturbé par l’arrivée d’Agatha (Mia Waskowska), la fille défigurée du couple, internée après avoir mis le feu à la maison familiale. Son retour va lever le voile sur un monstrueux secret. Comme souvent chez Cronenberg (Crash), il y a une part de fantastique : des fantômes d’enfants qui hantent les protagonistes.

Les thèmes habituels sont là (il y a même une baise dans une voiture). Mais Cronenberg signe un film moins extrême et moins sanguinolent qu’à l’habitude. Sa mise en scène est discrète, laissant toute la place aux dialogues incisifs.

Le cynisme du réalisateur est dérangeant, mais il fait aussi partie de sa signature. Et comme de coutume, son film risque de provoquer des réactions extrêmement partagées — j’ai beaucoup aimé.
C’est pour ça que la Palme d’or, pas sûr. Par contre, Julianne Moore, récompensée à Berlin et à Venise, pourrait bien compléter le tour du chapeau. Sa présence intense, sa capacité de repousser les limites et sa forte présence à chaque apparition en font une candidate de choix. Toute la distribution est très bonne, d’ailleurs.

Après le ratage d’Egoyan, Maps to the Stars vient raviver les possibilités (si minces soient-elles) d’une Palme d’érable. Mais il reste aussi Mommy de Xavier Dolan, qui sera présenté officiellement jeudi.

source : blogues.lapresse.ca
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 8:34

Critique de Paris Match

"Maps to the Stars": la galère des étoiles

Planant bien au-dessus des simples mortels, dans les hauteurs d’une cité où les anges battent de l’aile dans un ciel toujours bleu, vit une tribu composée d’idoles, de déesses et de demi-dieux. Riches à l’excès, excessifs dans leurs plaisirs, désaxés dans leurs jouissances, exécrables dans leurs caprices, ces divinités peuplent un olympe bien contemporain que l’on nomme Hollywood. Plongeant sa caméra comme un bâton de dynamite dans une fourmilière dorée, David Cronenberg en extrait une poignée d’étoiles du 7e art et quelques-uns de leurs parasites. Supernova des blockbusters pour ados popcornisés, Benjie (Evan Bird) est une star en herbe et cocaïne. A 13 ans, il a déjà connu plusieurs cures de désintoxication. Sa mère (Olivia Williams) le couve comme un poulain aux œufs d’or. Quant à son père (John Cusack), il est coach de développement personnel (surtout celui de sa fortune). Il compte, parmi sa clientèle, Havana Segrand (Julianne Moore), une vedette vieillissante qui partouze sans conviction pour décrocher un rôle à Oscar. Elle vient d’embaucher comme assistante, Agatha (Mia Wasikowska), une jeune provinciale au visage à demi défiguré.

De vieilles brûlures qui vont rallumer la mèche d’une bombe familiale incestueuse… De retour à Cannes, le réalisateur canadien «trashe» dans la soupe hollywoodienne avec ce drame pamphlétaire adapté d’un scénario de Bruce Wagner. Pour sa vivisection cinématographique, le réalisateur de «Faux-semblants» utilise, sans anesthésie, les forceps de la tragédie antique. Si le film met un peu de temps à placer ses charges explosives sous le soleil californien, le bouquet final de son feu d’artifices (dans tous les sens du terme) est grandiose. Sublimement malsaine dans le rôle d’une actrice qui se raccroche pathétiquement aux branches les plus pourries de la gloire, Julianne Moore peut prétendre, avec ce rôle radical, au prix d’interprétation féminine. Déjà présent dans «Cosmopolis», le précédent film de Cronenberg présenté à Cannes en 2012, Robert Pattison n’hérite ici que d’un second rôle pour le moins satellitaire. Parfaitement bien dessinées, ces «Cartes pour les étoiles» vous mèneront directement à Hollywood, une planète à l’atmosphère aussi viciée que vicieuse.

source : parismatch.com
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Sabine
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 8:36

Critique du Journal du Québec

Maps to the Stars: David Cronenberg vise dans le mille

CANNES, France – Le très attendu Maps to the Stars du réalisateur canadien David Cronenberg a visé dans le mille et provoqué, dimanche soir, pour la première fois depuis le début du 67e Festival de Cannes, un fort vent d’enthousiasme sur la Croisette.

Les journalistes s’étaient déplacés en très grand nombre pour voir en primeur cette satire hollywoodienne à la fois drôle et tordue; si bien que c’était véritablement la cohue devant le Palais des festivals.

Au terme de la projection, les festivaliers étaient nombreux à encenser ce nouveau cru du réalisateur de Crash et A History of Violence. Sur les réseaux sociaux, on évoquait même la possibilité d’une Palme d’or pour Cronenberg.

Julianne Moore, Mia Wasikowska, Robert Pattinson et John Cusack font partie de la distribution de cet inclassable objet cinématographique qui se révèle être une puissante satire des valeurs hollywoodiennes.

C’est en effet dans le Hollywood tordu et névrosé que nous transporte le scénariste Bruce Wagner. La superstar de 13 ans Benjie Weiss (Evan Bird) habite avec ses parents dans la capitale mondiale du cinéma. Son père (Cusack), un célèbre coach de célébrités, compte parmi ses clients une actrice délurée (Moore) qui goûte à ses méthodes de thérapie pour le moins saugrenues.

La vie tape-à-l’œil de ce clan de disjonctés est bousculée lorsque la jeune Agatha (Wasikowska) débarque en ville. Les squelettes sortiront du placard et les passions se déchaîneront. Humour noir et bain de sang sont au menu de ce film caustique qui pourrait bien s’inscrire dans la lignée des meilleurs Cronenberg.

Dimanche soir, les savoureux dialogues de Wagner ont fait mouche et provoqué à maintes reprises de vifs éclats de rire dans la salle. La projection s’est terminée par une salve d’applaudissements, ce qui est loin d’être automatique lorsqu’il s’agit d’un visionnement pour les membres de la presse.

Reste à voir si cet enthousiasme se traduira par un prix pour Cronenberg, dont les films polarisent très souvent les cinéphiles. Lauréat du Prix spécial du jury pour Crash, en 1996, le plus connu des cinéastes canadiens n’a encore jamais mis la main sur la Palme d’or.

source : journaldequebec.com
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babe
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 8:58

Critique du Huffington post

"Maps to the stars" de David Cronenberg en compétition à Cannes

FESTIVAL DE CANNES - Le couple formé par Robert Pattinson et David Cronenberg revient sur la Croisette deux ans après Cosmopolis, adaptation du roman de Don DeLillo, pour livrer une satire d'Hollywood intitulée Maps to the Stars comme un manuel de survie destiné aux âmes égarées de Los Angeles - et Dieu qu'elles semblent nombreuses.

C'est qui derrière la caméra?

David Cronenberg, réalisateur des cultes La Mouche et ExistenZ, est un invité régulier de la sélection officielle depuis le prix spécial du jury remporté en 1996 avec Crash - adaptation du roman de J. G. Ballard. Le cinéaste canadien (A History of Violence, Les Promesses de l'ombre ou A Dangerous Method - enchaîne à 71 ans sa 5e apparition en compétition et s'il n'a jamais remporté l'or, il a déjà présidé le jury du festival en 1999.

Qui crève l'écran?

Robert Pattinson, R-Patz, pour les intimes, retrouve le chemin des limousines dans le rôle d'un chauffeur/apprenti acteur et réalisateur. Il croisera sur sa route Julianne Moore dans le rôle d'une starlette à tendance pimbêche et Mia Wasikowska, cible de sa passion. On retiendra aussi la présence d'acteurs confirmés comme Olivia Williams et John Cusack ainsi que de la nouvelle muse de Cronenberg, la jeune canadienne Sarah Gadon.

Ça raconte quoi?

À Hollywood, la ville des rêves, se télescopent les étoiles: Benjie, 13 ans et déjà star; son père, Sanford Weiss, auteur à succès et coach des célébrités; sa cliente, la belle Havana Segrand, qu’il aide à se réaliser en tant que femme et actrice. Hollywood promet aussi le bonheur sur pellicule et papier glacé à ceux qui tentent de rejoindre les étoiles: Agatha, une jeune fille devenue, à peine débarquée, l’assistante d’Havana et le séduisant chauffeur de limousine avec lequel elle se lie, Jerome Fontana, qui aspire à la célébrité. Mais Hollywood est aussi la ville des vices et des névroses, des incestes et des jalousies. La ville des rêves fait revivre les fantômes et promet surtout le déchainement des pulsions et l’odeur du sang.

source huffington post
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 9:22

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 13:50

[Map to the stars] Revue de presse - Page 16 737819 pour tous ces bons articles.  [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 731333 
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 16:52

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Lun 19 Mai - 22:11

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Mar 20 Mai - 0:03

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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Mar 20 Mai - 12:02

Critique

Cannes 2014 : Maps to the Stars "féroce", "tordu" et "malsain" selon la presse

Par Thomas Destouches ▪ lundi 19 mai 2014 - 12h00

David Cronenberg dévoile "Maps to the Stars" ce lundi au Festival de Cannes. Un voyage grinçant au coeur de la mecque du cinéma, Hollywood, porté par Julianne Moore, Robert Pattinson et Mia Wasikowska. Quels sont les premiers retours de la Croisette?
En Bref

   Titre : Maps to the Stars
   Réaliateur : David Cronenberg
   Acteurs : Robert Pattinson, Julianne Moore, Mia Wasikowska...
   Date de sortie : 21 mai
   Seléction : Compétition officielle

De quoi ça parle ?

A Hollywood, la ville des rêves, se télescopent les étoiles : Benjie, 13 ans et déjà star; son père, Sanford Weiss, auteur à succès et coach des célébrités; sa cliente, la belle Havana Segrand, qu’il aide à se réaliser en tant que femme et actrice.
La capitale du Cinéma promet aussi le bonheur sur pellicule et papier glacé à ceux qui tentent de rejoindre les étoiles: Agatha, une jeune fille devenue, à peine débarquée, l’assistante d’Havana et le séduisant chauffeur de limousine avec lequel elle se lie, Jerome Fontana, qui aspire à la célébrité.
Mais alors, pourquoi dit-on qu’Hollywood est la ville des vices et des névroses, des incestes et des jalousies ? La ville des rêves fait revivre les fantômes et promet surtout le déchainement des pulsions et l’odeur du sang.
5 bonnes raisons de voir le film

   Pour le regard féroce et sans concession de Cronenberg sur le monde "merveilleux" d'Hollywood. Fascinant et... accablant.
   On ne la pensait plus capable de le faire... Julianne Moore repousse ses limites, toutes ses limites, une nouvelle fois. Une performance dérangeante, à ranger parmi ses plus grandes interprétations (Magnolia, Loin du paradis, Safe...)
   Parce qu'au coeur du film se trouve un poème de Paul Eluard, "Liberté", déclamé à plusieurs reprises par certains personnages. Cette oeuvre donne tout son sens vénéneux au long-métrage. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si Cronenberg a déclaré qu'à Hollywood "la gloire est la vraie liberté" (Lire le secret de tournage "Poésie").
   Pas encore convaincus par Robert Pattinson ? La saga Twilight lui colle encore trop à la peau ? Avec "Maps to the Stars", il l'arrache définitivement.
   Pour les deux séquences (radicalement opposées) aux toilettes...
source : Allociné
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Mar 20 Mai - 12:09

Critique : 2/5
PITCH.
Agatha débarque à Hollywood, se lie à Jerome, chauffeur de limousine, puis, devient l'assistante d'Havana, star sur le déclin soignée par le père de Benjie, enfant-star sortant de rehab.

NOTES.

Agatha (Mia Wasikowska) débarque de sa Floride à LA, la jeune fille porte de longs gants noirs et des traces de brûlures sur le visage (marquage du corps, comme toujours chez Cronenberg). Benjie, 13 ans, star d'une saga débile franchisée, sort d'une cure de désintoxication, ses parents s'inquiètent pour la suite de ses contrats... Les parents, parlons-en, le père et la mère se sont mariés en ignorant qu'ils étaient frères et soeurs, mais leurs deux enfants l'ont découvert. Leur fille, qui a essayé d'épouser/violer son frère, enfant, en le droguant, a été bannie de la famille depuis plusieurs années... Mais cette soeur vient de revenir en ville...

Pendant ce temps, la star vieillissante Havana Segrand (Julianne Moore) se morfond avec une idée fixe : obtenir le rôle principal dans le remake d'un film que sa mère, icône du cinéma morte dans un incendie, a tenu du temps de sa jeunesse. Pourtant, il semble que la mère ait imposé à Havana des relations incestueuses, un traumatisme qu'elle essaie de soigner avec un drôle de thérapeute, le père de Benjie, Sanford Weiss (John Cusack), auteur à succès, charlatan qui mixe des massages avec la psychanalyse...

Soudain, Havana a besoin d'une nouvelle assistante, une amie lui présente Agatha qu'elle a connu sur Twitter. La boucle est bouclée. Seul personnage extérieur, amant occasionnel d'Agatha, puis Havana, Jerome (Robert Pattinson), un postulant acteur qui espère la gloire, chauffeur de limousine.

TWITTER.
Camille Marty ‏@Cine_maniac now

"Maps to the stars",conte de fée horrifique des demi-dieux déchus d'Hollywood : inceste à tous les étages+Paul Valéry en caution, ac ennuyeux"
ET AUSSI...

Voilà un film qui dénonce les excès à Hollywood, cité des anges (déchus), encore un (de "The Party" de Blake Edwards au récent "The Canyons" de Paul Schrader), mais celui-ci est de David Cronenberg, donc, on en attend beaucoup... Malheureusement, malgré une image et une mise en scène nickel, le scénario pêche par excès d'inceste, si je puis dire et pas grand chose d'autre en contrepoint. Explications : on présente des personnages dont les vies vont converger vers un destin fatal, tous, sauf un, unis par des relations familiales incestueuses, ce qui fait beaucoup...

Malgré tout, quand tout ce petit monde, hanté par ses fantômes, névrosé, jaloux, frustré, craque en commettant l'irréparrable, ça finit en Romeo et Juliette incestueux lisant du Paul Eluard, c'est de l'humour ou du romantisme sanguinaire ou les deux? En conférence de presse au festival de Cannes, le réalisateur affirme qu'il a toujours fait des comédies... A moins (je penche vers cette hypothèse) qu'il ne s'agisse d'un conte de fée monstrueux traité, mine de rien, de manière horrifique...
source : Cinemaniac
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MessageSujet: Re: [Map to the stars] Revue de presse   [Map to the stars] Revue de presse - Page 16 Icon_minitime1Mar 20 Mai - 12:14

Critique :
ET AUSSI...

Voilà un film qui dénonce les excès à Hollywood, cité des anges (déchus), encore un (de "The Party" de Blake Edwards au récent "The Canyons" de Paul Schrader), mais celui-ci est de David Cronenberg, donc, on en attend beaucoup... Malheureusement, malgré une image et une mise en scène nickel, le scénario pêche par excès d'inceste, si je puis dire et pas grand chose d'autre en contrepoint. Explications : on présente des personnages dont les vies vont converger vers un destin fatal, tous, sauf un, unis par des relations familiales incestueuses, ce qui fait beaucoup...

Malgré tout, quand tout ce petit monde, hanté par ses fantômes, névrosé, jaloux, frustré, craque en commettant l'irréparrable, ça finit en Romeo et Juliette incestueux lisant du Paul Eluard, c'est de l'humour ou du romantisme sanguinaire ou les deux? En conférence de presse au festival de Cannes, le réalisateur affirme qu'il a toujours fait des comédies... A moins (je penche vers cette hypothèse) qu'il ne s'agisse d'un conte de fée monstrueux traité, mine de rien, de manière horrifique...
Agatha (Mia Wasikowska) débarque à Los Angeles car elle rend visite à sa famille – du moins c’est ce qu’elle prétend au chauffeur dont elle s’offre les services ; L’actrice Havana Segrand (Julianne Moore) espère décrocher le rôle qui a jadis valu à sa mère une nomination aux Oscars dans un remake dont elle revendique l’origine ; À 13 ans, Benjie (Evan Bird) sait ce qu’être une star signifie – n’a-t-il pas concédé à rester « clean » afin de garder la confiance de ses producteurs ; Sanford (John Cusack) est coach pour célébrités et auteur à succès, et la promotion de son livre « d’expression personnelle » passe avant toute chose ; Jérôme (Robert Pattinson) est acteur et scénariste mais pour vivre il est chauffeur…

Le scénario, truffé d’humour, complètement barré mais cohérent, se veut proprement satirique. Au travers d’une galerie de personnages, tous liés les uns aux autres, MAPS TO STARS devient bientôt une toile d’araignée burlesque et cynique. Véritable miroir déformant de la réalité, le film se construit telle une spirale où les situations se répondent les unes aux autres à l’instar des troubles et de la schizophrénie qui emportent peu à peu les protagonistes.

Détonnant visage que celui des personnalités une fois qu’elle quitte leur masque. Surprenant balais que celui où les rôles d’enfants et de parents s’inversent, où la sincérité annihile tout « glamour ».

Loin des bavardages de COSMOPOLIS, David Cronenberg signe une réalisation efficace au sein de laquelle il accorde un soin particulier au cadrage : l’écran de cinéma devenant la surface réfléchissante dans laquelle nous plongeons le regard. L’amusement qui semble être le sien est des plus contagieux d’autant plus qu’il ne cesse d’attiser notre attention. Toutefois la réelle surprise provient du jeu auquel se prête l’ensemble du casting : Juliane Moore est hallucinante tant elle semble n’avoir peur de rien ; bien qu’il interprête un petit rôle, Robert Pattinson se moque de son image pour notre plus grand plaisir ; le jeune Evan Bird s’impose comme prodigieux. Le film devient alors fascinant.
source : ungrandmoment.be
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