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 [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr

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MessageSujet: [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr   [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr Icon_minitime1Mer 2 Déc - 18:32

«Twilight», les vampires contre-attaquent

CritiqueLe deuxième opus, sorti le 18 novembre dans les salles françaises, fait un carton. Les jeunes filles s’arrachent les livres et les produits dérivés.

Par MARIE LECHNER, BRUNO ICHER

La saga Twilight n’affole pas seulement le rythme cardiaque des jeunes filles. Tous les compteurs sont pris de frénésie dès que les noms de Bella Swan, Edward Cullen ou Robert Pattinson figurent quelque part. Depuis le 18 novembre, date de la sortie de Tentation, le deuxième film de la tétralogie Twilight, les salles ne désemplissent pas. Le film de Chris Weitz a réalisé le troisième meilleur démarrage de l’histoire, derrière Batman : Dark Night et Spiderman 3, avec 164 millions de dollars en une semaine. En France, le carton est comparable, avec 2,4 millions d’entrées en première semaine.

Tourbillon. Quelques jours avant la sortie du film, des armadas de jeunes filles brandissant des posters du beau vampire Edward Cullen (Robert Pattinson) ont fait le pied de grue des heures durant pour percevoir le comédien en tournée promo à Paris. C’est que dans ce tourbillon de chiffres, le plus saisissant est celui donné par le New York Times. Selon le quotidien américain, le public de Twilight est composé à 80% de filles, dont plus de la moitié de moins de 21 ans. A n’en pas douter, une grande partie d’entre elles ont vu ou verront en DVD le premier volet, Twilight, chapitre 1, de Catherine Hardwicke, sorti en 2008, qui a raflé près de 200 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis. Elles ont lu, relu ou liront les livres de Stephenie Meyer, dont sont issues les adaptations. Son premier roman, Fascination, publié en 2005, s’est vendu à 17 millions d’exemplaires, après avoir été refusé par quatorze agents littéraires. Depuis, la mère de famille mormone de 36 ans a écrit un nouvel opus chaque année : Tentation (New Moon) en 2006, Hésitation (Eclipse) en 2007 et Révélation (Breaking Dawn) en 2008, mettant le point final à une tétralogie littéraire parmi les plus populaires, comparable au mètre étalon Harry Potter.

pansements. Grace aux 70 millions d’exemplaires de ses romans vendus, série en cours, et aux droits divers, Stephenie Meyer est donc devenue très riche. Elle n’est pas la seule. L’industrie du produit dérivé n’a pas mégoté. Des centaines de produits s’arrachent dans les boutiques et les sites spécialisés. Des tee-shirts à l’effigie du bel Edward, au sac de plage seulement, en passant par les figurines (33 euros quand même), les bracelets et bagues certifiés conformes sans oublier les chaussettes, mitaines et même les pansements, rien n’a été oublié. A part les strings et les préservatifs, manifestement pas du genre de la maison.
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MessageSujet: Re: [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr   [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr Icon_minitime1Mer 2 Déc - 18:33

«Ni sang, ni crocs, ni cercueil»
Interview Laurent Courau, réalisateur et spécialiste des vampires, analyse le phénomène «Twilight» :

Par FRÉDÉRIQUE ROUSSEL

Laurent Courau, 41 ans, réalisateur de documentaires, spécialiste des vampires et de la contre-culture (1), vient de publier Twilight Secret (éditions du Rocher) et un documentaire intitulé Vampyres, avec des photographies de Lukas Zpira, une enquête sur les communautés vampyriques.

Comment expliquer le succès de Twilight ?
En faisant des recherches pour mon abécédaire sur Twilight, j’ai découvert que les livres de Barbara Cartland avaient connu un succès indétrônable dans toute l’histoire de l’édition. Le genre à l’eau de rose a toujours été un blockbuster. Twilight est d’un côté une bluette, vrai moteur du récit, saupoudré d’une couche fantastique avec un archétype vampirique très soft. On a là une machine de guerre efficace. C’est si bien ficelé qu’on peut même se demander si cette histoire est vraiment sortie par l’opération du Saint-Esprit du songe d’une mère de famille de l’Arizona… Dans une société de plus en plus sombre, il y a une envie de rêver et de revenir à des choses basiques : une histoire amoureuse et romantique. Le casting a été efficace. Ce n’était pas des acteurs connus, mais le marketing les a transformés en icônes totales. Il faut espérer que le troisième volet, tourné par David Slade réalisateur du violent Trente Jours de nuit avec des vampires inhumains qui se repaissaient de sang en Alaska, soit plus adulte… Les livres de la tétralogie sont d’ailleurs de plus en plus sombres. Je me demande si la volonté n’est pas de durcir la narration au fil des films.

Comment jugez-vous la vision du vampire à la Twilight ?
Le mythe est tellement édulcoré, qu’il n’est même pas fait mention de crocs, son premier attribut essentiel. Certes, il y a des figures du méchant comme James ou la caste aristocratique des Volturi. Mais ça reste très gentil. J’y vois surtout une forme de calcul commercial dans un pays, les Etats-Unis, somme toute assez conservateur. Twilight arrondit les angles sur la figure du vampire. Et joue sur une tension sexuelle permanente sans aboutissement qui maintient en haleine. Passera ou passera pas à l’acte ? Est-ce que Bella va perdre ou pas sa virginité ?

Que pensez-vous de cette mode ?
Les vampires reviennent toujours de manière cyclique. On les a vus réapparaître au début des années 80 avec les Chroniques des vampires d’Anne Rice, qui en a modernisé la figure. Les Prédateurs de Tony Scott ont donné une nouvelle forme au mythe en le situant dans le milieu branché londonien. A la fin des années 80, avec la sortie de Génération perdue (Joel Schumacher) et Aux frontières de l’aube (Kathryn Bigelow), les vampires devenaient pour la première fois des teenagers américains et ne se cantonnaient plus aux créatures transylvaniennes. Il y a eu aussi à la même époque le grand succès de Vampire : la mascarade, reconnu comme un jeu de rôle grandeur nature. L’adaptation d’un comic de chez Marvel a donné lieu à Blade, qui a permis aux ghettos de s’approprier le mythe car, jusque-là, le vampire était blanc. L’arrivée de Stephenie Meyer et de Twilight ressemble à l’apogée de la vague. Aujourd’hui, tout le monde, producteurs et auteurs, saute dans le train de la mode vampirique. Et dans cette chronologie, le vampire s’humanise de plus en plus. Dans Twilight, il devient l’ami et l’amant ultraportecteur. C’est devenu plutôt un superhéros, plus vraiment un vampire. Quand on pense à la bête immonde qu’est Nosferatu ! Pas de sang, pas de crocs, le vampire de Meyer ne dort plus dans un cercueil et peut même sortir au grand jour avec un irisé sur sa peau du plus bel effet…

Vous avez enquêté chez les vampyres, vraies communautés qui existent dans la réalité…Les vampyres (le «y» permet de les distinguer de la fiction) appartiennent à une culture souterraine. Sur New York, il y a eu jusqu’à 60 clans, de 20 à 300 personnes, et ils ont été évalués à 15 000 pour tous les Etats-Unis. La culture est apparue début des années 90, avec des joueurs de Vampires : la mascarade, qui ont imprégné leur propre réalité du jeu. La pratique mêle à la fois le ludique et le festif, le sexuel (jeux SM) et pas mal de traditions ésotériques (satanisme, néopaganisme…). On peut classer les vampyres en deux grandes sections : les vampyres sanguins (pratique du don du sang) et les vampires psychiques qui disent se nourrir de l’énergie vitale des humains. Je les ai suivis à New York, Amsterdam, La Nouvelle-Orléans, Venise, Osaka… Je crois que la figure du vampire correspond à une noirceur de l’époque, époque qui ne pourrait pas se contenter d’un chevalier Bayard lumineux ! Et le vampire a pour lui d’être sexy et attirant, ce qui n’est pas le cas de la momie ou du loup-garou.

On parle aujourd’hui de dark culture. Sur la scène dark de New York se retrouvent à la fois les gothiques, les fétichistes et les vampyres. Les vampyres et Twilight sont les extrêmes d’un même spectre. Les vampyres détestent Twilight car c’est une communauté qui n’aime pas la lumière et les médias. Ils sont animés par le refus d’une société consensuelle et un besoin de réenchanter le monde.

(1) Depuis 1995, il anime un site sur la contre-culture, Laspirale.org.
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MessageSujet: Re: [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr   [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr Icon_minitime1Mer 2 Déc - 18:34

Elles ont «Twilight» dans la peau
Paroles de groupies qui ont toutes lu, vu et revu les épisodes de la saga.


Par CATHERINE MALLAVAL, MARIE-JOËLLE GROS

Mordues jusqu’à l’os… et toutes fans d’Edward (le héros). Une passion qui peut commencer très tôt…

Louise, 11 ans

«Tout a commencé par des posters du premier film que ma mère m’a rapportés. Ça m’effrayait un peu. Mais elle a commencé à me raconter l’histoire et ça m’a fait envie. Alors j’ai lu le tome 1, de 500 pages quand même ! Et puis j’ai dévoré les trois autres, vu le film et commencé à tout collectionner : l’abécédaire du film, des livres sur le tournage, des magazines. Dans ma chambre, j’ai une dizaine de posters, et plein de photos découpées… Je ne sais même plus où les ranger. En fait, j’ai pas peur de dormir avec eux. Parce que ce sont des gentils vampires qui ont choisi de ne pas faire de mal aux humains.

«Edward est fascinant. Sa peau est glacée, à la cantine il ne mange rien, ses yeux sont parfois noirs, parfois dorés… J’adore quand il rencontre Bella. Ils vont avoir une histoire d’amour. Et c’est vraiment comme Roméo et Juliette.

Je sais que beaucoup de filles sont des fans de l’acteur. Il est beau. Mais ce n’est pas lui qui me plaît le plus. C’est sa sœur, Alice, qui est petite et amusante. J’ai vu le 2, dimanche. A la fin, il lui demande de l’épouser et ça s’arrête là. Moi je connais la suite : dans le tome 4, ils se marient.»

Charlotte, 14 ans

«J’ai vu deux fois le film dans la même semaine : le jour de sa sortie avec une copine, et le samedi avec plein de gens qui n’avaient pas pu venir le mercredi. C’est trop bien cette ambiance, tout le monde crie quand les loups-garous enlèvent leur chemise et qu’ils sont torses nus. Toi aussi, t’es forcée de crier. Je vais retourner le voir avant qu’il ne soit plus en salle mais le cinéma, ça coûte cher, et puis dès que le DVD sort, je l’achète avec une copine. Pourvu qu’il sorte vite… Je suis obligée de revoir le film plusieurs fois pour tout bien voir et parce que je l’ai tellement attendu !

«Je regrette juste la fin du film, moins bien que dans le livre. Dans le livre, il lui dit qu’il l’aime, qu’il lui a menti pour la protéger et ça prend tout un chapitre, alors qu’à l’écran, en deux minutes c’est fait, c’est beaucoup trop raccourci. Les phrases qu’ils se disent sont trop belles. Je les connais par cœur. Je les ai tous lus, les quatre livres. L’histoire d’amour entre eux est trop belle. En plus, c’est vachement réaliste : si les vampires avaient existé, ça aurait très bien pu se passer comme ça.»

Pauline, 18 ans

«Toute la folie sur Twilight repose sur Edward. Pas l’acteur. Non, c’est vraiment le personnage, qui est, en fait, le petit copain idéal. Le fait qu’il soit un vampire lui donne un côté mystérieux, affreux, méchant mais… avec un très bon fond. Il peut protéger Bella, de lui et des autres. Il est immortel, il peut entrer dans sa chambre en passant par la fenêtre, il ne dort pas. Il peut donc être disponible pour Bella vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il l’aime éperdument. Il est beau…

«Le 2, je suis allée le voir le jour de sa sortie. Dans la salle, à chaque fois qu’Edward apparaissait, tout le monde criait, applaudissait, et quand à un moment Bella a failli embrasser un loup-garou, le public s’est mis à huer. Toutes les fans étaient là. Elles y vont le jour de la sortie. J’y suis retournée deux jours après, c’était un peu plus calme. Le DVD du 1, j’ai dû le voir 5 millions de fois. Pendant des mois, j’en ai regardé des bouts dans la journée, et je me le repassais tous les soirs pour m’endormir. Mon petit frère m’a téléchargé le 2. J’ai enchaîné. J’adore la scène du premier baiser. Bella se réveille au milieu de la nuit. Edward est là. Et on se demande s’il va réussir à l’embrasser sans la mordre…»
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MessageSujet: Re: [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr   [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr Icon_minitime1Mer 2 Déc - 18:34

Trop beau

Par GÉRARD LEFORT

Pas une parcelle de la planète qui échappe au succès de Twilight 2,suite des aventures d’Edward, le gentil vampire, trop beau.Ce plébiscite qui ne fait qu’accentuer le triomphe du livre ayant inspiré le film, raconte-t-il quelque chose de notre société ? Comme pour tout mouvement d’engouement massif, le grégarisme fait rage. Témoin, Charlotte (14 ans), une de nos envoyées spéciales sur le front du film : «Tout le monde crie quand les loups-garous sont torses nus. Toi aussi, t’es forcée de crier.» Sic. Mais pas de quoi en tirer des conclusions excessives sur la vampirisation des jeunes par des moyens hollywoodiens.

Autre «danger» du film, son sexisme. A l’exception respectable de quelques garçons différents, le succès du film est un succès d’adolescentes. A quoi rêvent ces jeunes filles en s’endormant sous un poster d’Edward ? A la énième version «D’un jour mon prince viendra». Et il aura de grandes dents pour mieux les croquer. De là à se jeter sur les sirènes d’alarme annonçant au minimum la défaite du féminisme… Pas obligé non plus de lâcher des escadrons de psys sous prétexte qu’un vampire, même gentil, ça suce énormément.

Quant à l’aliénation... Michel de Certeau, anthropologue des croyances et des phénomènes de consommation, développa la notion de «valeur d’usage». Et parla, à ce propos, des «braconniers actifs» qui, à travers les mailles d’un réseau imposé, inventent leur quotidien. Autrement dit : nos chères gamines peuvent très bien fantasmer un fiancé vampire au sex-appeal de lavabo tout en flirtant pour de vrai avec un punk coiffé à l’iroquoise. Trop beau, lui aussi.
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MessageSujet: Re: [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr   [Web] Articles sur le phénomème Twilight sur Liberation .fr Icon_minitime1Mer 2 Déc - 18:34

Edward aux yeux d’argent

Robert Pattinson, 23 ans, l’Edward Cullen de Twilight, ne peut plus sortir de chez lui. Depuis DiCaprio, époque Titanic, on n’avait pas vu surgir un tel phénomène d’hystérie collective entourant un jeune premier. Elevé à Londres, classe moyenne, musicien rock, acteur, chômeur, il est repéré par les chasseurs de tête du casting du premier film, qui cherchaient un mec «byronien». Il se pointe la gueule enfarinée : il n’a pas dessaoûlé depuis un an. Il est choisi. Sa vie bascule. Signe particulier : il a une jambe plus courte que l’autre et les filles en sont folles.
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