[Cosmopolis] Vidéos Interviews/Reportages

J'ai un petit faible pour celle là

lilipucia a écrit:

Interwiew avec Cinématrix à Cannes


Rob interview w/ Cinematrix from the Cannes... par veronicaspuffy

source index via @purplexisxcool via @veronicaspuffy via RPlife

Il choisit juste les gens et il les laisse libres. C'est juste...On a presque pas fait de répétitions. On n'en a pas tant parlé que ça jusqu'à ce qu'on tourne. C'est tout. Je n'ai jamais vu ça comme quelque chose de négatif. J'aime ça et j'aime ce mec. Je le trouve intéressant. Ca a été simple pour moi. David m'a dit que c'était la même chose avec tous ses autres films. Ils sont extrêmes et soit les gens adorent ça , soit ils détestent. C'est... J'aime ça. C'est plus intéressant que d'avoir un milieu. C'est moins de pression car le film était moins cher. De plus, personne n'avait à s'inquiéter de ce que le public pense. C'est simplement le film de David. Il sort, si les gens aiment ou s'ils n'aiment pas , c'est tout. Mais quand vous faites des suites, vous tentez de le faire pour que le public aime. J'ai vraiment aimé le plateau et je pouvais me balader car les gens ne me reconnaissaient pas. Je me baladais et c'était bien. C'était marrant. Je vais aller là bas pour les vacances car je ne pouvais pas quitter l'hôtel.

ptiteaurel a écrit:

belladeludo a écrit:

Interview avec CBS News Canada
Version Dailymotion


Robert and David - First Interview from the... par veronicaspuffy

Source: Dailymotion veronicaspuffy via Pattinsonlife

De 0,00 à 4,20

Journ: Rob, je vais commencer en vous posant cette question: qu'avez vous ressenti car vous avez su que vous aviez ce rôle? Vous avez dû vous demander comment vous alliez entrer dans la peau de ce personnage et parlez nous du travail avec David?

Rob: J'ai été vraiment choqué car c'était tellement inattendu. Et c'est un truc qui a dû arriver à David. Ce n'est pas le roman le plus célèbre de DeLillo. Le script semble être l'un de ceux que vous trouvez et si David n'était attaché à ce projet , j'aurais accepté mais je me suis dit que c'était génial mais qu'on ne le ferait jamais. Tout a été assez choquant.

Journ: Comment avez vous trouvé les dialogues? Intimidant?

Rob: Un petit peu mais ils sont moins intimidants ... ils sont moins intimidants que si vous lisez quelque chose de terrible. Ca c'est intimidant. Au moins vous savez que vous n'allez pas devoir tout réinventer pour que ce soit bon. Vous devez juste les faire. Vous devez les faire avec tout votre potentiel.

Journ: David, quand vous êtes rendu compte que ce serait votre prochain film, vu le roman et à quel moment l'avez vous su?

David: Bien entendu , il y a 2 niveaux ou 3 ou 4 . Le 1er niveau c'est que vous voulez le faire. C'est juste..... J'ai lu le livre et j'ai téléphoné au producteur Paulo Branco pour lui dire: « Oui? Je veux le faire. Tu as eu raison de me le proposer ». Cependant cela ne signifie pas que ça va se faire. J'ai dû écrire le script, le compléter et le rendre faisable. Ca c'était les jours suivants et ensuite il y a le financement et ça , ce n'est pas facile. Plus le film est inhabituelle , difficile et une sorte de défi et plus c'est dur de trouver un financement. En parlant de la crise financière que le film décrit, à un certain niveau, a rendu le film encore plus difficile à faire. Les financements pour un film qui sort de l'ordinaire. Les grands films ont aussi des soucis pour être financés. Il n'y a pas tant d'argent que ça et pas d'argent jeté par les fenêtres car les gens ne veulent pas prendre de risques.

Journ: Ce fut donc un challenge de faire ce projet mais vous pensiez que ça en valait la peine.

David: L'écriture de Don est fantastique et comme je l'ai dit ce sont ses dialogues surtout qui portent le tout. C'est la structure du film et des personnages. C'est incroyablement marrant, profond, adapté. Ils semblent si philosophiques. On n'a pas ça très souvent. Il y a beaucoup de philosophie à discuter du film d'une façon intrigante, dynamique et marrante. On a vraiment de la philosophie avec la relation du capitalisme et du futur et sur le fait que le capitalisme possède désormais le futur. Le futur qui est devenu une donnée du temps. Et pourtant ça fait bien partie d'un film et non d'un cours de philosophie. Donc c'est vraiment inhabituel.
Journ: Qu'a fait David pour vous aider à vous préparer à ce rôle? Pour vous faire entrer dans la tête d'Eric Packer?

Rob: Nous n'avons pas tant parlé que ça avant de commencer le tournage mais ...

Journ: Vous êtes allé dans la limousine et il vous a dit « Fias le bien ».

Rob: En quelque sorte.

David: Presque.

Rob : Tous ceux qui ont déjà travaillé avec lui disent que la 1ère semaine, on tente de ressentir les choses. De nombreux réalisateurs aiment travailler en disant qu'il faut que le film se fasse tout seul. Mais en fait ils l'inventent car ils ont déjà fait des storyboards et autres trucs. Mais avec ce film, je pense que....on s'en est tenu rigoureusement au script en ne pensant pas que c'était possible de changer. On l'a abordé de manière organique. Si vous ne cessez de changer la direction du film, ce n'est pas comme si vous allez trouver quelque chose. Vous inventez et vous vous égarez. Mais si vous êtes rigoureux et si vous vous en tenez au script, vous pouvez vraiment trouver le sens et vous commencez à l'analyser comme il le faut.


(Suite ce soir

Journ: Pensez vous que Cosmopolis soit un pamphlet contre le capitalisme?

Rob : Je ne dirais pas qu'il parle vraiment du capitalisme. S'il donne un commentaire.... ma 1ère réaction était de penser que c'était une comédie absurde. Ca pourrait être comme Dada, même s'il est plus obscure. Je ne l'ai jamais vu comme une espèce de ..... donner des commentaires sur le capitalisme "C'est bien"ou "C'est mauvais". C'est juste pour dire que le monde est... les gens ne reconnaissent plus le monde tel qu'il est. Les gens vivent dans une réalité étrange.

Journ: David , avez vous apporté une aide aux acteurs pour expliquer les dialogues ou les avez vous laisser le découvrir eux mêmes? Vous ne vouliez pas que ce soit abstrait mais vous désiriez que les mots s'expriment tout seul.

David: Oui. Je pense vraiment que si vous ne pouvez pas comprendre les dialogues mais que vous avez le bon acteur, l'acteur débite son dialogue et ça se manifeste immédiatement. Sa vérité, sa force. C'est là. Je ne sais pas si je peux être très analytiques et abstraits à propos des choses et même mon travail après aussi. Ce n'est pas comme ça que je fais des films. Je ne pense pas que ça aide vraiment un acteur d'analyser les dialogues comme si c'était un problème philosophique ou social quand en fait les gens ne parlent pas ainsi. Ils parlent sur le moment et le contexte importe etc... Je pense que c'est important pour un acteur d'être authentique de cette façon et de parler comme le font vraiment les gens sans plus de pensées ou d'analyses par rapport à une personne normale.

Journ: Robert comme vous êtes vous préparé pour cette performance car il y a cette scène à la fin dans l'allée où on a l'impression de voir un Eric différent. C'est un autre mec qui sort et donc comment avez vous établi cela?

Rob: C'est juste le script. Ca a semblé... pour certaines raisons chaque jour, ça m'a paru être une évidence. Je n'ai jamais eu l'impression que c'était forcé ou que je devais plannifier quoique ce soit. De biens des façons , certaines choses paraissaient étranges comme dans la scène chez le barbier où je parle avec le chauffeur Ibrahim. Je regardais cette scène l'autre jour et je me disais "Oh, j'ai mis beaucoup d'emphase sur cette réplique. Je ne sais pas pourquoi" car ça a du sens après tout.

Journ: Rapidement, vous avez tourné cela de façon très visuel et on en parlait l'autre jour. Comment vous sentez vous avec l'évolution de la façon de tourner?

David: Le tournage à l'ancienne est mort, c'est fini. C'est tout. Ca ne me manque pas. L'odeur si. J'aime l'odeur d'un film. Mais je pense que vous pouvez avec un désodorisant Kodak comme celui que vous avez dans votre voiture ou un Fujifilm si vous préférez. Mais c'est fini depuis longtemps , ça fait un long moment pour les stills, plus longtemps pour l'audio. Pour un film l'audio est le son et c'est fini depuis longtemps. Et le film ne tient plus qu'à un fil. C'est juste chimique. Et ça ne me manque pas car les nouvelles caméras sont fantastiques. Elles sont meilleures que les pellicules. Elles sont plus sensibles mais les couleurs . Les autres choses qui prenaient du temps à avoir , le look de la vidéo etc...C'est fini et c'est une toute nouvelle façon de filmer qu'on peut avoir avec la technologie digitale.

Interview with Paul Giamatti - Starts talking... par veronicaspuffy

Il parle de sa préparation et explique qu'aussi bête que ça puisse paraitre, c'est écrit sur le papier ce qu'il doit jouer. On relit les choses et on a ses caractéristiques: c'est une homme tristre , frustré et aliéné du monde. Les gens ressentent ces choses.

Il a la chance lui de pouvoir vider son sac devant cet espèce de Dieu. Il avait vraiment cette impression de pouvoir dire tout ce qu'il avait sur le coeur. C'est un soulagement pour le personnage.

David lui a juste dit de ne pas merdé car c'est l'apothéose du film. Il lui a laissé beaucoup de liberté et il vous fait confiance. Bien entendu s'il avait demandé de l'aide, il l'aurait fait mais il vous jette à l'eau et c'est à vous de savoir nager.

Ca vous met la pression mais en même temps , on voit qu'on est en face d'une personne qui a le contrôle. Il n'a pas pris de liberté avec le script car c'est tellement rare de travailler avec une personne qui se tient au script . Il se sent perdu si on commence à dévier. A moins de connaître son rôle sur le bout des doigts, il n'improvisera pas. Etre "bloqué" par ce script l'a libéré. Si chacun faisait comme bon lui semble, ça n'aurait pas été.

A 3,25 – 4,08

Journ: parlez moi de votre travail avec Rob. Quelle type de personne est il?

Paul: Il a été fantastique. Il était bien plus dedans que moi, il était plus dans son personnage à ce moment là. C'était la dernière scène qu'il a tournée. C'était la dernière scène du film que nous avons tournée. Il était tellement dedans et il avait acquis ce langage et c'était dur ce langage et il ne cessait de parler dans ce film avec ces mots incroyables. Donc il s'est assis et il était bien présent. Il était prêt à la jouer ce qui m'a mis la pression. D'une certaine façon, je l'ai laissé prendre les devants pendant un moment car je me disais "Ok". Et mon personnage prend le dessus . On a un va et vient assez sympathique. Mais il a été génial. Je dirais qu'il était superbe. C'est un grand acteur.

Ils parlent enfin de la thématique du film: les nouvelles technologies, l'anxiété , la perte avec la réalité et la recherche de qui nous sommes.

Voici la vidéo Interview avec City Talk en VOSTFR

son rire et Paul G a une sacrée voix

les filles

:mina:

Une autre VOSTFR Avec E Talk
Désolée pour l'icone, j'aurai préféré Rob mais youtube ne veut rien savoir

les filles

Voici la vidéo avec ET en vostfr

:mina:

BTS et ITW de Kevin Durand



source rplife

à toutes

a toutes

Sabine a écrit:

Interview avec Tribute Movies




source : youtube TributesMovies via @veronicaspuffy via livejournal pattinsonlife

Journ: Bon retour chez nous à Toronto. C'est super de vous revoir. Félicitations pour ce film. C'était vraiment génial et Robert , je vais commencer par vous. N'avez vous pas flippé quand vous avez lu le script et que vous vous êtes rendu compte que vous seriez dans chacune des scènes, que ce mec est assez tordu.Qu'avez vous pensé?

Rob: Ca s'est passé le 1er jour. David était assez confiant dans ses capacités de réalisateurs, c'était donc.. Vous savez , peu importe le temps que vous avez passé à flipper avant le tournage, qu'il doit bien y avoir une méthode quelque part.

David: Ce n'est qu'une illusion mais ça marche.

Journ: Il doit bien y avoir une méthode pour toute cette folie. Mais vous vous êtes amusé?

Rob: Oui tout à fait. Mais une fois de plus, ce film n'est pas typique . Je sais que tout le monde parle de A Dangerous Method qui ne serait pas un film à la Cronenberg. Ce film est plus dans cette lignée. Je me souviens quand le trailer est sorti, les gens parlaient d'un retour aux sources. Je ne pense pas que ce soit ça nécessairement. Mais de bien des façons, il est totalement différent de A Dangerous Method.

Journ: David, qu'avez vous vu en Rob pour vous dire que ce serait le bon?

David: Bon marché et disponible. Ce sont les deux choses que vous recherchez chez un acteur.

Journ: Bon marché et disponible!

David: Sérieusement quand vous faites un film comme Cosmopolis, tous les acteurs savent que ce n'est pas un gros film d'Hollywood et vous ne pouvez pas être payé des fortunes. Moi non plus d'ailleurs.

Rob: C'est juste 40 millions.
David: Mais ça fait partie du jeu. Quand vous le faites , l'argent c'est sympa mais vous le faites aussi pour d'autres raisons. Et c'est bien plus intéressant que d'habitude pour les films qui coûtent 200 millions. Plus votre budget est élevé, plus vous devez être conservateur et plus vous êtes ennuyeux. Donc ce n'était pas pour ces raisons mais pour le budget bas et j'étais vraiment intéressé pour le faire et c'est adapté d'un roman fantastique, écrit par un merveilleux américain, Don DeLillo.

Journ: Etiez vous impressionné quand vous avez commencé à travailler?

David: Oui

Journ: Vous vous êtes dit que vous aviez finalement fait le bon choix.

David: Je ne suis pas surpris . Vous faites vos devoirs car en tant que réalisateur, vous devez avoir votre routine et vos techniques pour savoir si un acteur est bon ou pas pour le rôle et si vous voulez travailler ensemble ou pas et comment ça va marcher. Comme je l'ai déjà fait avant , vous allez sur Youtube et vous regardez les interviews qu'un acteur fait. Nous n'avions pas cela dans le passé mais actuellement oui. Vous savez si l'acteur se prend au sérieux ou pas, artistiquement parlant mais aussi au niveau de l'ego, s'il est marrant, t s'il a de l'humour. Toutes ces choses qui vous prendrez du temps à faire pour voir et rencontrer physiquement l'acteur pour passer du temps avec lui. Parfois , ça ne marche pas bien. C'est bizarrement déconnecté mais ça marche. Je dois l'avouer.

Journ: Robert , pour vous ça a dû être un rêve? Je ne sais pas combien d'acteurs ont postulé mais je suis celui là à ce niveau du film. C'était comment pour vous de faire ça?

Rob: J'étais surpris et sur mon petit nuage. C'était comme si personne ne pouvait m'anéantir ce jour là même si la personne avait fait des centaines de films. C'est un environnement très particulier dans lequel travailler surtout quand vous êtes dans la limousine.Mais également avec Paul, j'adore tout ce qu'il a fait. Il était terrifié et ce n'est pas exactement comme si c'était différent de ce qu'il avait fait auparavant. Sa scène était bien plus intimidante que les miennes. Car il devait avoir un débit très rapide et il devait être partout à la fois. Moi, j'ai eu une aventure plus régulière. Il fallait toujours harmoniser les choses, ce qui était vraiment génial. Au fur et à mesure que je voyais les autres acteurs, j'ai été épaté.

Journ: N'avez pas les limousines en horreur à présent?

Rob: Je les aime encore plus.

David: Bien entendu la limousine était le plateau et quand vous étiez à l'intérieur, ce serait génial d'avoir une vraie limousine qui fonctionne ainsi.

Journ: Ce serait cool.

David: J'aimerais bien en avoir une comme ça avec tous ces trucs.

Rob: Pour ta prochaine limousine. Je veux ça.

David: Le meilleur c'est une limousine. Je pense que quelqu'un devrait y penser.

Journ: Robert, avec la saga Twilight qui touche à sa fin . Une dernière tournée promotionnelle et c'est tout. Si vous jetez un coup d'oeil en arrière pouvez me dire ce qui a été le plus mémorable et le plus génial de toute cette expérience?

Rob: Sans doute d'avoir eu ce rôle. J'ai toujours vu ça comme une expérience incroyable. Je m'en souviens très très bien. Le faire a été totalement différent mais ....

Journ: Que s'est il passé? Je ne vous ai pas demandé cela mais c'était comment quand vous avez eu ce rôle? Comment l'avez vous eu?

Rob: J'ai auditionné. Je n'avais plus un sou en poche et je dormais sir le canapé de mon agent. Et c'était aussi la 1ère fois que j'envoyais un email à une réalisatrice pour dire "Je veux vraiment le faire. Je pense que je suis le meilleur. ". Je n'avais jamais fait ça et aussi..

David: Je n'ai pas eu ça. C'est vrai.

Rob: Mais c'était marrant d'avoir ce rôle car je l'ai eu 3 semaines après avoir fini le dernier Twilight. C'était à un moment où j'étais très inquiet d'avoir fait 5 films et même les critiques disaient "Il est devenu un vampire établi". Et je me disais mais de quoi parlent ils. C'était ridicule. Je me disais que je devais faire un film où j'aurais un rôle plus petit pour pouvoir un peu dissiper l'image que les gens avaient de moi. Et faire ce film, tout à coup, j'ai eu le même sentiment. Et aller à Cannes et tout ce que ça implique, c'est complétement fou. C'est la même chose. Pour moi, c'est un sentiment assez similaire à aller d'un endroit complétement différent à un autre.

Journ: Je suis ravie que David vous ait choisi car vous avez fait un travail fantastique. J' adore le film. Félicitations.

David: Merci.

Journ: Bonne chance à vous deux.

Rob: Merci beaucoup.

Paul dit qu'il a toujours voulu travailler avec Cronenberg car il a son monde. Tout fait sens avec lui . Il est humble et sait ce qu'il fait. L'atmosphère est super détendu et ça a aidé pour ce film. Il fallait que ça fontionne.

Il parle de son personnage. Il est assez étrange mais certains trucs non car il parle de l'anxiété qu'il ressent et du fait qu'il ne comprend pas le monde dans lequel il vit. Même si Benno est taré et qu'on ne dirait pas des choses comme ça, il parle aux gens. C'était un peu comme au théâtre. Par contre, il explique que Cronenberg a dit en plaisantant qu'ils avaient fait cette scène en ue seule prise mais ce n'est pas le cas. Ils ont pris des gros passages et on fait une ou deux prises. Tout ce qu'on voit dans le film , c'est ce qu'il a filmé. Il n'y a pas eu de prises supplémentaires.

A 3.30 – 4.42

Paul : Il était génial et je n'ai jamais ressenti le fait qu'il avait ce "baggage", avec tous ces trucs. Il est de manière remarquable cool et normal avec tous les bagages qu'il traîne. Je ne savais vraiment rien de lui et je l'ai rencontré le 1er jour où on a tourné.

Journ: Vous deviez l'avoir vu dans les films Twilight.

Paul: Je ne suis pas contre çà mais je ne les ai jamais vu Je ne l'ai pas vu. C'est une chose que je peux réellement apprécier. C'est un rôle que j'aurais aimé jouer. Je sais le rôle n'est plus disponible.

Journ: Quelles étaient vos impressions sur lui? Qu'est ce qui vous a impressionné quand vous avez commencé à travailler?

Paul: Je ne lui ai pas parlé tant que ça. Je n'ai aps vraiment eu cette chance. Mais ce qui m'a impressionné c'était à quel point il était préparé. Il était à l'aise avec un langage vraiment difficile. Il était vraiment dans la peau de son personnage. Il était plus à l'aise que je ne l'étais au début quand on a fait cette scène. Ce mec m'a surpassé et il m'a impressionné car il contrôlait parfaitement les choses. Je me suis dit "Oh super, je vais pouvoir me détendre. Ce mec sait exactement ce qu'il fait et je peux me baser un peu sur lui."Je l'ai laissé faire car il était génial.

Journ: Vous êtes super ensemble.

Paul: oui.

Il parle ensuite de Rock of Age et ses autres projets.

source : youtube TributesMovies via @veronicaspuffy via livejournal pattinsonlife

:mina:

A 0,10 – 0,34

Kévin: Eric Packer est un des financiers les plus chanceux de tout Wall Street. Il se lève un matin et décide qu'il a besoin d'une coupe de cheveux. Il y a tous ces gens qui voyagent avec lui dans cette limousine dans la ville qui devient folle.

A 0,42 – 0,48

Kévin: On a vraiment ce voyage dans la psychisme de cet homme qui est vraiment auto destructeur.

A 0,57 – 1,11

Kévin: Je suis un grand fan de Paul Giamatti, Samantha Morton , Juliette Binoche et Robert Pattinson arrive et le voir donner cette performance était vraiment inattendu.

A 1,17 – 1,26

Kévin: Il est sombre, dangereux , fou. Il est très intelligent. C'est un mec sympa et tellement concentré et c'était vraiment super de travailler avec lui.

A 1,32 – 2,00

Kévin: David est cool, calme , posé. Il savait exactement ce qu'il voulait. Avoir un capitaine comme lui que tout le monde suit. Tout le monde sur le plateau, l'équipe, les acteurs. Il savait, il était clair , précis, préparé donc travailler sur mes dialogues juste avant de tourner, je savais ce que la scène serait.

A 2,05 – 2,18

Kévin: Je ne dirais pas qu'il est de retour car il n'est jamais parti. Il va de films en films et ces films ont une particularité. Je pense que c'est juste ça et je crois que les fans du livre vont être vraiment ravis.

source rplife