[Water for Elephants ] Les critiques de la presse

Avis du magazine "Public"



Avis du magazine "Femme Actuelle"

pour ces 2 mauvaises critiques
Surtout la 1ère
je suis bien contente de ne jamais lire ou acheter ces magazines à la noix

Public est un peu contradictoire car la personne qui a écrit le truc a été déçu du film mais les "trois flèches" selon eux signifient que le film est "génialissime"

pour ces critiques

ca m'étonne pas de ces 2 magazines surtout public!!

pour ces critiques !

De l’Eau pour les Éléphants doit bien évidemment aussi beaucoup de son charme à son casting : il n’y a pas à dire, Robert Pattinson et Reese Witherspoon forment un joli couple à l’écran. Echappé de Twilight et vu récemment dans le sympathique Remember Me, Robert Pattinson prouve à ce titre que son répertoire ne se limite pas à jouer les beaux gosses de service et fait un Jacob très attachant, armé de son sourire enfantin. L’émotion surviendra finalement grâce aux interventions de Rosie, l’éléphante qui va devenir malgré elle l’enjeu d’une lutte de pouvoir, au sein du cirque comme dans le cœur de Marlena. Amoureux des animaux, ce film est aussi pour vous.

Au final, cette romance est un vrai beau spectacle à l’ancienne qui, même si elle s’écarte totalement des enjeux adolescents de Twilight risque toutefois de cantonner une fois de plus le comédien Robert Pattinson à un public essentiellement féminin.

De l’Eau pour les Éléphants se déguste comme une de ces friandises qui, à condition de ne pas en abuser, procurent toujours une part de rêve.


source imagix.be

Nanie

les filles!

Nanie et Aurel

Nanie et

les filles

les filles

les filles

Voilà un article de Libération. L'auteur veut tellement paraître intelligent en employant des tournures de phrases et des expressions pompeuses que ça en devient vite illisible

«de l’eau pour les éléphants», la ménagerie enchantée

Francis Lawrence signe un mélo forain au cœur de la Grande Dépression. Sur un train d’enfer pas si entraînant mais illuminé par Christoph Waltz.

L’aventure commence comme du Jack London en Route, sur fond de Grande Dépression. C’est un spectacle en costume, western sur rail ; comme on dit campus film, un film de cirque. Trois personnages se partagent la vedette de cette revue de gala. La tête d’affiche est Jacob - Robert Pattinson auréolé de sa twilightisation des trois dernières années, en attendant l’épisode IV de sa vampirade. En «attraction», Reese Witherspoon ; Marlena l’écuyère, un de nos dadas depuis quinze ans. Le troisième protagoniste, le moins notable, est la sensation du jour, August. C’est lui, Christoph Waltz, qui souffle le chaud et le froid et la vedette aux deux autres. Soit seul vrai rôle du script soit seul acteur, il humilie la concurrence, au propre et au figuré. Montrant les dents pour rire ou mordre, il est le vrai nœud et le salut du drame.

En attendant, mélodrame serait plus exact pour cadrer la parade de passion chromo de sortie. Reese Witherspoon, la tête d’affiche féminine, qui sort d’un marivaudage (le subtil Comment savoir avec Owen Wilson), joue là pour la deuxième fois de sa carrière très stratégique la carte du gros mélo romantico-historique flamboyant («envoûtant», manchette la presse fan), après sa «fresque» victorienneVanity Fair d’après William Thackeray, en 2004 - avec Pattinson déjà, et un éléphant hindou itou, alors accessoires tous deux et inconnus. Les derniers seront les…

Vrai fauve. A la réalisation, Francis Lawrence, qui ne se recommande pas mal. A son actif, le référentiel I Am Legend, remake SF apocalyptique 2007 avec Will Smith du Monde, la Chair et le Diable avec Harry Belafonte (1959). Avant cela, le bizarrement gothiqueet titré Constantine 2005, avec Keanu Reeves en Mnemonic Van Helsingenfer et retour. Deux fois de bonne compagnie pop-corn gros budget.

Reese Marlena, un peu en roue libre, gênée d’ailleurs dans la peau et l’habit de lumière élimé d’une princesse foraine sur le retour, est la Gina Lollobrigida prise en sandwich de cette passion d’hommes à la Trapèze. Le Trapèze :beau précédent du genre, où Burt Lancaster (maître ancien déchu) et Tony Curtis (élève lancé), trapézistes de haut vol, se disputaient en 1956 l’amour écran de la belle Italienne, à deux pas de Libération, entre Cirque d’hiver Bouglione et Clown Bar, tout comme Jacob Pattinson (24 ans) et August Waltz (54) se disputent là pour la frime les faveurs de Reese Marlena (35 ans).

Ex-épouse Ryan Phillippe, remariée princière de l’année (avec Jim Toth il y a deux semaines), via Jake Gyllenhaal vite éjecté, Reese, à qui la rumeur prêta un retour de liaison avec le vampire star sur le tournage (rumeur attisée par elle-même, lâchant : «Je mentirais en disant que je ne le trouve pas très attirant…»), est moins charnelle que Lollobrigida, qui débordait de ce que son nom dit, mais plus futée. C’est une femme de tête, de mule, dresseuse d’instinct, inflexible mine de rien, née de la Revanche d’une blonde, un peu trop platine ici pour le coup. Frise-en-pli cramée au fer, les scènes langoureuses avec le beau dadais ami des bêtes de la Dépression, pénétration incluse (double ?), ne sont pas ce que la rusée Reese, qu’on connut lovée en Chaperon rouge contre Kiefer Sutherland travesti en mère-grand, in Freeway (1996), a joué de plus essentiel.

Pour les numéros de bravoure, il faut chercher du côté de la ménagerie (panique au cirque), du décor (l’accident du zeppelin-chapiteau), de la figuration manuelle (scènes de socialisme), ou surtout, donc, du vrai fauve Christoph Waltz. Robert Pattinson tire son épingle du jeu en n’étant paradoxalement pas bien glamour. En salopette «Des souris et des hommes au tabac», pompadour équarri au râteau, paillasse prolo empoté brut de décoffrage, plus casseur (au physique) que charmeur (au fond), sans réelle épaisseur au fait, bien qu’ensemble mignard et d’un bloc, carrure et faciès boxeurs sur cœur d’artichaut, il cadre bien avec le contexte de crise. De puberté.

Foudre furieux. Hobo polack orphelin, il se retrouve prince charmant soigneur au rabais, forain amoureux d’une étoile de sciure. Faisant pâlement pièce au profil sanguin du maître-esclave nietzschéen August, que tétanise Waltz.

Comme Billy Zane le cocu de la croisière à la belle fureur était le héros caché de Titanic, face au mince DiCaprio, August Waltz, Dandin dandy de la revue, en est l’astre de lumière noire, le foudre furieux. Face à une Marlena Reese à peine douteuse (ni très propre sur elle, comme de tradition les princesses de roulottes en justaucorps lamé râpé, ni très nette en ménage à s’en tenir à la belle scène de jalousie, d’une fausseté agenouillée pénible) ; face à l’innocent Jacob Pattinson, au mieux Pierrot lunaire; face au cirque et au monde entier, Waltz est souverain.

Tyran à la Captain Achab halluciné mais lucide, croisé de Tim Roth et de Daniel Craig, véhémence suave, superbe terrible, vulgaire et raffiné, il fait tout seul le show, sang et lumière. Les scènes du 2 de De l’eau pour les éléphants tiennent à lui ; la petite grandeur de ce théâtre des illusions wellesien, c’est lui ; l’amour, la terreur et la pitié, le faste et le vice, lui . Il est l’ordonnateur, le desdichado bateleur, le justicier du chaos ; l’ami à la vie à la mort…

S’il manque au total quelque chose à cette «Eau de rose pour les éléphants» pour faire un grand film, à la Molly McGuireMolly Maguiresdans les mêmes eaux, ce n’est certes pas Christoph Waltz. Déjà salut de la nazillonnerie négationniste Inglourious Basterds. Magicien métaphysique, très London lui aussi, Hamsun des étoiles au nom choisi d’August, alchimique dans le désastre, il pourrait conclure tel le poète :«J’ai seul la clef de cette parade sauvage.»

source : next.liberation.fr

Jel , un torchon voila

Jel
Et comme tu dis, il faut suivre
Il ou elle veut se croire intello

Jel
avec ce que vous dites les filles pas besoin de lire!!

Jel

Jel

Direct Matin



source :directmatin.directmedia.fr via twilightlefruitdefendu via rpattzkstewtwilightaddict

Avis de métro :

A la mort de ses parents, un jeune étudiant (Pattinson) se retrouve embarqué dans la vie d’un cirque itinérant. Engagé pour s’occuper des animaux, il va succomber au charme de la femme du patron. Romance hollywoodienne à l’ancienne, De l’eau pour les éléphants est un film à grand spectacle qui, malgré une avalanche de bons sentiments, parvient à nous toucher tout en nous faisant rêver.

source : metrofrance.com via twilightlefruitdefendu