[Water for Elephants ] Les critiques de la presse

pour ces critiques.

Annouk et pour ces infos !

les filles heureusement que Lizzie aime

Patty a écrit:

les filles heureusement que Lizzie aime

Il manquerait plus qu'elle dise le contraire

"Robert Pattinson impresses in Water for Elephants"


The passionate words of author Sara Gruen are beautifully envisioned by director Francis Lawrence’s (“I Am Legend,” 2007) adaptation of her best-selling novel “Water for Elephants.” The film paints a canvas of a depression-era landscape, a lavish circus production and an unrequited romance.

With a gifted cast, stunning visuals, a moving story, and, yes, a lovable elephant, Lawrence and screenwriter Richard LaGravenese (“The Bridges of Madison County,” 1995) have crafted the year’s first great film.

“Twilight” superstar Robert Pattinson breathes life into the character of Jacob Jankowski whose extraordinary life is told as a flashback by the great Hal Holbrook.

Jacob is a charming, bright young student studying veterinary medicine at Cornell University. Before he’s able to secure his license, tragedy ensues with the death of his two Polish-immigrant parents.

He is left orphaned and homeless, carrying his possessions in a briefcase and traveling down an isolated railroad track. He hops on the first train that approaches and, conveniently enough, finds it is a majestic circus train with a myriad of colorful and eccentric characters.

However, Jacob’s concentration is on the show’s star attraction — Marlena (Reese Witherspoon). This poses a dilemma for Marlena’s husband, the sadistic ringmaster August (Chistoph Waltz) who attempts to throw Jacob off the train until he learns of his skills with animals.

These skills come in handy when he and Marlena are assigned to train the show’s newest member, a four-ton, middle-aged elephant named Rosie. As the two tackle this task, they form a romantic bond. Now, cast into the effervescent world of entertainment, Jacob has the life he’s always dreamed of.

The only thing missing is a ravishing partner to share it with, an aspiration the menacing August will stop at nothing to dismantle.

The movie is a work of passion full of energy and emotion. Gruen’s tale of a once-crumbling economic world splashed with vibrant colors and the prospect of hope makes for a tasty treat.

However, the film is not merely eye candy. Waltz is as bloody brilliant as August, charming and pleasant on the outside but cruel and rotten at his co

Twi-hard fans will adore their beloved Pattinson proving he has more range and depth than his beastly alter-ego permits him to explore. He and Witherspoon make an electric romantic duo.

Though in all fairness, the true scene-stealer of the film is the enormously talented Rosie. The four-ton beauty has more brains and personality than her co-stars combined

This sweeping romantic spectacle has something special to offer everyone


source:The Oklahoma Daily via ThinkingofRob

Lilipucia

"Robert Pattinson impressionnant dansWater for Elephants"

Les mots passionnés de Sara Gruen ont été merveilleusement mis en image par Francis Lawrence(“I Am Legend,” 2007) dans son adaptation de “Water for Elephants.” le film décrit un paysage en pleine Dépression, dans un cirque sompteux et au milieu d'une histoire d'amour sans retour

Avec un cast doué , des effets spéciaux éblouissants, , une histoire émouvante , et oui un adorable éléphant , Lawrence et le scènariste Richard LaGravenese (“The Bridges of Madison County,” 1995) ont mis sur pied le plus grand film de l'année.

La star de “Twilight” Robert Pattinson donne vie à Jacob Jankowski dont la vie extraordinaire est racontée par flashback par le grand Hal Holbrook.

(...)

Le film est le fruit de passion , d'énergie et d'émotions. Le récit de Gruen sur un monde économique peu stable est arrosé de couleurs intenses et la lueur d'espoir nous offre un beau divertissement.

Cependant , le film n'est pas rose bonbon uniquement Waltz est vraiment brilliant en August, , charmant et plaisant à l'extérieur mais cruel et pourri jusqu'à l'os à l'intérieur.

Les Twi-hard adoreront leur Pattinson adoré qui prouve qu'il a un jeu d'acteur plus large et plus profond que son alter ego vampirique. Lui et Witherspoon font un duo romantique électrique.

Mais pour être honnête , celle qui vole la vedette est la talentueuse Rosie. La beauté de 4 tonnes est très intelligente et a plus de personnalité que tous ses partenaires réunis.

Ce spectacle romantique renversant a quelque chose de spécial à vous offrir

source:The Oklahoma Daily via ThinkingofRob

pour la traduction

les filles

lili & pour la traduction
ça fait du bien de lire une bonne critique

les filles !!!

les filles

Ca fait plaisir

pour ces critiques !

Critique par "le passeur critique"

Note : 2 étoiles

De l’eau pour les éléphants (Water for Elephants) du réalisateur Francis Lawrence (I Am Legend) a tout de la grande fresque à l’américaine. Son casting glamour (Reese Witherspoon et Robert Pattinson) et cinéphile (Christoph Waltz), son histoire, véritable métaphore de la crise financière que connaît l’Amérique, sa narration faite d’épreuves et de désillusions menant à un climax suffocant où la salle tel un seul homme se lève et applaudit à tout rompre (il faut le vivre pour le croire) soulagée de voir que le rêve, ici incarné dans la quête d’une femme inaccessible, est encore possible. Parce que oui, les gens vont au cinéma pour rêver ou si nous étions cyniques… pour qu’on leur mente !

Adapté du best-seller éponyme de Sara Gruen, le film démarre en 1931, à l’époque de la Grande Dépression aux Etats-Unis. A la suite d’un drame familial, Jacob (Robert Pattinson) est dépouillé et contraint à l’exil. Il saute alors dans un train et se découvre au beau milieu d’un cirque itinérant. August (Christoph Waltz), le directeur du cirque lui confie alors la garde des animaux. Dès le premier regard, il tombe amoureux de l’écuyère Marlène (Reese Witherspoon). Cette dernière est l’épouse d’August qui s’avère être un homme un peu borderline aux réactions imprévisibles. Jacob parviendra t’il à conquérir le cœur de Marlène ?

Les intentions des producteurs du film sont claires. Renouer avec ces histoires d’amour impossibles qui rendent les spectateurs extatiques de bonheur en les voyant s’esquisser, puis s’échapper et enfin se réaliser. Sur fond de jeux de cirque où l’illusion est prégnante, les courses poursuite du sentiment amoureux se dessinent. Les personnages du trident infernal sont bien définis. Il y a l’odieux, l’affreux, le répugnant August qui ne connaît aucune ambivalence, il ressemble aux méchants de Disney. Dans un rôle taillé à la mesure de son immense talent démoniaque, Waltz excelle et phagocyte l’écran. Il y a le bon, le doux, le cocker de Jacob dont toutes les actions sont tournées vers la compassion et l’altruisme. L’angélique Pattinson a cette même figure triste qu’on lui a connue dans Twilight et c’est celui-là même qui convie à l’orgasme des rangées de femmes tremblantes de désir de protection. Il ne dénote pas même s’il ne fait pas le poids face au charisme de l’Inglorious Bastard. Au milieu de ces deux pôles extrêmes, la proie. Marionnette faussement manipulée au cœur des convoitises masculines, se lovant d’une part dans la sécurité financière et attisant de l’autre la passion. La femme se jouant du désir pour mieux s’en servir. L’actrice Reese Witherspoon dont les qualités avaient été aperçues dans Walk the Line prête son sourire pepsodent et son allure de poupée barbie californienne à l’intrigue et remplit avec conviction son rôle universel de prétexte à la guerre. Tout ça est donc très manichéen et construit pour plaire sans ambiguïté.

Le plus intéressant dans de l’eau pour les éléphants n’est certainement pas cette amourette dont on nous inflige une pénible photo de famille en guise de pré-générique de fin. Non, c’est davantage le parallélisme qui peut être fait entre l’univers du cirque et nos sociétés contemporaines. Le cirque en jette plein les yeux, numéros étourdissants, arabesques colorées, animaux savants, spectateurs bluffés et pourtant derrière le vernis doré de la représentation, les coulisses sont moins reluisantes, pauvreté, meurtres, exploitation. Des castes avec leurs privilèges, les artistes notamment manipulent ceux qu’on appelle les ploucs, la classe ouvrière, celle qui quand elle est trop vieille est sacrifiée sur l’autel de la récession, jetée des wagons en marche et abandonnés sur le bas côté. Le parallélisme avec nos sociétés est évidemment criant. Et d'imaginer que la révolte populaire pourrait gronder à l'instar du film et renverser les élites auto-proclamées n'est même plus de l'ordre du fantasme. Les plus belles scènes du film naissent de la rencontre avec cet éléphant, bête de foire, que Reese grimpe en toute confiance sous le regard enamouré de Pattinson. Et la production de préciser qu’aucun des animaux n’a été maltraité. Car c’est toujours avec de la douceur qu’on parvient à apprivoiser l’autre, qu’il soit animal civilisé ou homme sauvage.

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Water For Elephants raconte l'histoire de Jacob Jankowski, un jeune vétérinaire immergé dans un cirque qui s'éprend de Marlena (Reese Witherspoon), la femme d'un patron colérique et dangereux incarné par Christoph Waltz.

Pari réussi pour ce film magique qui vous plonge avec grâce dans l'univers féérique du cirque.

La photographie sublime insuffle à Water For Elephants une touche de poésie qui ravira les plus romantiques d'entre nous.

Quant à Robert Pattinson, il réussit avec brio son après-Twilight en incarnant avec justesse ce jeune vétérinaire courageux épris de la femme d'un autre.

Le couple Pattinson-Witherspoon réussit également à convaincre malgré la différence d'âge importante entre les deux acteurs. (24 ans pour l'un et 35 pour l'autre).

source : staragora.com

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Super critique !

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Valeriane a écrit:

Quant à Robert Pattinson, il réussit avec brio son après-Twilight en incarnant avec justesse ce jeune vétérinaire courageux épris de la femme d'un autre.

source : staragora.com

Je suis très heureuse de lire cela...

:val: