[The Unbound Captives] Les News

Nouveau projet en perspective

Hugh Jackman, Rachel Weisz et Robert Pattinson tourneront sous la direction de Madeleine Stowe

Les acteurs Hugh Jackman, Rachel Weisz et Robert Pattinson tourneront dans «Unbound Captives», un film qui marquera les débuts à la réalisation de l'actrice Madeleine Stowe. Cette dernière a également écrit le scénario.

Pour Stowe, ce projet est une façon de racheter ses dettes. Elle avait refusé une offre de plusieurs millions pour son script en 1993. Sous le pseudonyme O.C. Humphrey, Stowe avait fait équipe avec son mari, l'acteur Brian Benben pour écrire le scénario de ce film qui devait lui servir de véhicule éventuellement.

Elle aurait joué le rôle d'une femme (qui sera maintenant incarnée par Weisz) dont le mari est tué et les deux enfants kidnappés par un raid de guerrier comanches en 1859. Elle est sauvée par un habitant de la frontière qui sera interprété par Jackman. Pattinson incarnera le fils de ce dernier.

Gil Netter et Grant Hill produiront le projet en association avec Ashok Amritraj de Hyde Park Entertainment. Le tournage devrait s'amorcer à la fin de l'année.

À l'époque Fox avait offert trois millions $US à Stowe et plus tard cinq millions $US pour son script. Ridley Scott était sensé diriger le projet et Russell Crowe jouer dans le film. Elle avait refusé une des sommes les plus importantes offertes à un nouveau scénariste parce qu'il n'y avait pas de garanti qu'elle jouerait dans le film.

«Il n'y a pas eu de moment d'hésitation de ma part mais c'était surréaliste et je me souviens de mon mari qui me faisait un signe avec son doigt à travers de sa gorge pour me signaler de ne pas prendre l'offre» explique Stowe. «Il y a des moments dans la vie où vous devez suivre votre cœur. Le script est demeuré ma priorité mais diriger le projet moi-même n'a jamais été quelque chose dont je rêvais» ajoute Stowe.

L'idée est venue de Gil Netter et elle a passé des années à peaufiner son scénario et visualiser chaque scène.

«Gil m'a fait réaliser ça lorsqu'il m'a dit qu'il n'y aurait personne pour créer le film que je veux faire».

Stowe a eu la dure tâche de trouver l'actrice pour un rôle qui a déjà valu cinq millions $US pour elle. «J'ai rencontré trois actrices et j'ai su après avoir rencontré Rachel qu'elle était la personne à qui je voulais confier ce rôle. Robert a dit oui l'automne dernier, avant que tout déboule avec «Twilight». Hugh a dit oui il y a quelques semaines».

Stowe sera assistée dans la réalisation par le directeur photo John Toll («Braveheart», «The Last Samourai»).

source : showbizz.net

on se demande comment il va faire pour caser tout cela dans son agenda

Ah Rachel Weisz, ça fait longtemps que j'ai pas vu un film avec elle.

“Unbound Captives” Cast Mates

Meanwhile, those wondering what you’d get if you crossed Wolverine with a Mummy-seeking archaeologist need wonder no more. According to Hollywood, the answer is Robert Pattinson.

The New Moon hunk heads up today’s castings, along with Hugh Jackman, Rachel Weisz, Kevin Spacey, Monica Bellucci, Guy Pearce, Danny Glover and Al Pacino.

• Robert Pattinson is set to star as the son of Hugh Jackman and Rachel Weisz in the period drama Unbound Captives. Per Variety, the film centers on a woman whose husband is killed and two children are captured in 1859. She’s rescued by a frontiersman, played by Jackman.

eonline via spunk ransom

TRADUCTION

“Unbound Captives” les autres membres du casting

Pour ceux qui se demandent ce que cela va donner si vous croisez Wolferine avec l'archéologue chercheur de momie ce n'est plus la peine de vous poser des questions. Selon Hollywood, la réponse est Robert Pattinson.

La star de New Moon hunk est venu aujourd'hui aux catings , avec Hugh Jackman, Rachel Weisz, Kevin Spacey, Monica Bellucci, Guy Pearce, Danny Glover et Al Pacino.

• Robert Pattinson est pressenti pour incarner le fils de Hugh Jackman et de Rachel Weisz le film dramatique Unbound Captives. Pour Variety, la figure centrale du film est une femme dont le mari est tué et dont les 2 enfants sont kidnappés en1859. Elle est secourue par un homme de la frontière joué par Jackman.

boudiou les têtes d'affiche c'est du lourd

ah c'est sûr ils n'y vont pas de mains mortes

S'ils nous font pas un bon film avec tous ces VIP....

j'adore Rob le fils de Hugh Jackman

ça serait plutôt celui de rachel weisz j'ai l'impression

C est pas grave !!! ils seront tous les 2 c'est le principal

où c'est qu'il faut signer pour se faire kidnapper son gamin (mon fils prépare ta valise mais t'inquiète, y'a jackman et pattinson qui arrivent à la rescousse lol)

et bien j ai lu je ne sais plus trop ou , qu il avait peut etre un pojet "western" ce serait donc celui la ?
En tous cas niveau casting et histoire ca m a l air bien, et madeleine stowe a la direction encore mieux !

Lucymuir a écrit:

Et tu mélanges la réalité et la fiction? on dirait les arguments des anti-twilight

les anti-twilight n'ont aucun sens de l'humour, du coup je les ignore (et puis on m'a toujours dit de ne pas parler aux cons, ça pourrait les instruire )

Citation :

les anti-twilight n'ont aucun sens de l'humour, du coup je les ignore (et puis on m'a toujours dit de ne pas parler aux cons, ça pourrait les instruire

mouais un rôle secondaire où on ne le verra que dans la dernière partie du film et en plus encore un rôle où il a 17 ans !!! certes il peut faire moins que son âge (ça ne me dérange pas de faire semblant qu'il a 17 ans - "oh mais il fait plus vieux pour son âge" lol - pour le rôle d'edward) mais sur certains shootings j'aime justement le côté "mâle" qui se dégage de lui et je ne m'attendais pas à le retrouver encore cantonné dans cette tranche d'âge. enfin bon l'accord a été donné avant twilight... et puis avec un peu de chance, les petites jeunes "visages pales" élevés par les comanches font peut être plus vieux que les autres à 17 ans

traduction

Ces informations sont issues du scénario original et sont susceptibles à modification dans la phase de pré-production.

Nom du personnage : Phineas

Age : il est au début du film montré à l'âge de 10 ans puis approximativement à l'âge de 17 ans.

Comme indiqué dans des informations publiées sur internet, Phineas a été enlevé étant enfant et intégré dans une tribu de Comanches.

Phineas (les descriptions concernent le personnage à 17 ans) est décrit comme ayant des cheveux longs et les oreilles percées, vraisemblablement dans le style des Comanches du 19ème siècle.

Pratiquement tout son texte est en Comanche.

Le nom Comanche du personnage est Tsomo, qui signifie "la perle".

Il monte à cheval... à cru.

Bien que le personnage ait quelques scènes de flirt, ce n'est pas un rôle de type romantique.

Phineas "âgé" est dans les dernières parties du scénario, peut-être dans le dernier tiers. C'est un rôle secondaire.

Notre source décrit le personnage ainsi : "Phineas est assez féroce. Il a été élevé comme un guerrier. Il peut être silencieux et distant."

ça serait une bonne idée si ils changeaient l'âge. rachel weisz a 38 ans, donc son personnage peut très bien avoir eu phileas à 17/18 ans auquel cas il aurait 20/21 ans ce qui me sied un peu mieux que 17 (3/4 de plus c'est mieux que rien lol)

Oui c'est assez étrange ce rôle (secondaire: c'est normal vu son agenda de ministre, ce ne pouvait être autrement!!) quant à son âge!!!! Ca va faire étrange!!
A voir!!

Que des rôles de jeunots! J'ai dit à ma cousine que Robert aller jouer dans Bel Ami, elle qui le trouve banal m'a répondu "pfff c'est n'importe quoi, Georges est pas si jeune, c'est bon c'est pas parce-qu'il est connu que...". Moi je trouve que vu la panelle de rôles différents quil fait, il ferai un bon Georges.
Je trouve aussi qu'il fait plus vieux, plus mature.

Bien sûr que oui il ne fait pas ses 23 ans; il a beaucoup plus de maturité

Ashok Amritraj to strike century with ‘The Unbound Captives’

Cannes, May 18 (IANS)

Indian origin Hollywood producer Ashok Amritraj is on the verge of a professional landmark - he is set to start work on his 100th film that, at a budget of $90 million, will be his biggest venture and star Hugh Jackman.

“The Unbound Captives”, to be directed by American actress Madeleine Stowe from her own script, will roll at the end of this year on locations in New Mexico and New Zealand. Amritraj, who runs the super-successful Hyde Park Entertainment, produced his first film “Fleshburn” in the 1980s.

“‘The Unbound Captives’ will be ready for release by end-2010,” the Chennai-born producer told IANS in an exclusive interview in Cannes. “We hope to close all international pre-sales before this edition of the Cannes Film Festival ends.”

Amritraj’s first film as an independent producer was the 1985 movie “Nine Deaths of the Ninja”. His 100th will star Hugh Jackman, Rachel Weisz and Robert Pattinson and will be “a sweeping period epic made in the style of David Lean film”.

Stowe, the star of films like “Stakeout”, “The Last of the Mohicans” and “The Magnificent Ambersons”, wrote the screenplay in 2002 but could not get it to the screen earlier as a result of several false starts.

“Russell Crowe was to play the male lead and Madeleine herself was being thought of as the female protagonist until she moved into the director’s role,” Amritraj said, recalling a part of the screenplay’s “extraordinary history”.

He said: “I read the script on a plane back from India and was immediately struck by it. As soon as I got off the plane, I called Madeleine’s agent and the deal was done.”

The film, Amritraj reveals, is set in the mid 17th century. At $90 million, it will be Amritraj’s biggest film to date in terms of scale and sweep.

“We’ve assembled a truly great cast - Hugh Jackman is a huge box office draw, Rachel Weisz is being tipped for an Oscar nomination for her performance in ‘Lovely Bones’ and Robert Pattinson is coming off the runaway success of ‘Twilight’,” he said.

Around the time that Amritraj got started in Hollywood, Richard Attenborough’s “Gandhi” was the flavour of the season around the world.

Twenty-seven years on, as he embarks upon his 100th film, another British director, Danny Boyle, has captured the world’s imagination with the India-themed “Slumdog Millionaire”. Amritraj agrees that there is a renewed burst of interest in India and that Indian filmmakers need to grab the opportunities that are now available.

On his part, Amritraj is developing a couple of screenplays that would require extensive filming in the land of his birth.

“We will soon announce a music-based film that will be shot entirely in India though the screenplay is being written by an American,” he said.

Time for another “Jai Ho”, then?

thaindian.com

TRADUCTION

Ashok Amritraj marquera le prochain siècle avec ‘The Unbound Captives’

Cannes, May 18 (IANS)

Le producteur Hollywoodien d'origine indienne Ashok Amritraj est à un tournant de sa carrière – il est sur le point de commencer son 100ème film avec un budget de 90 million de dollars et ce sera sa plus belle aventure avec dans le rôle principal Hugh Jackman.

“The Unbound Captives”, sera réalisé par l'actrice Américaine Madeleine Stowe ( elle a aussi écrit le script). Il sera tourné à la fin de l'année à New Mexico et en Nouvelle Zélande. Amritraj, qui dirige le très célèbre Hyde Park Entertainment, a produit son 1er film “Fleshburn” dans les années 1980

“‘The Unbound Captives’ sortira fin 2010,” le producteur , né à Chennai a dit à IANS dans une ITW exclusive à Cannes. “Nous espérons obtenir toutes les pré ventes internationales avant la fin du festival de Cannes”

Le 1er film de Amritraj, film indépendant , “Nine Deaths of the Ninja” a été produit en 1985. Dans son 100ème film vous pourrez voir Hugh Jackman, Rachel Weisz et Robert Pattinson et ce sera “ un film épique parcourant une période réalisé à la manière des films de David Lean ”.

Stowe, la star de films comme “Stakeout”, “The Last of the Mohicans” et “The Magnificent Ambersons”, a écrit le script n 2002 mais n'a pas pu le produire sur grand écran avant à cause de nombreux faux départs.

“Russell Crowe est censé jouer le rôle principal et on avait pensé à Madeleine pour le rôle féminin jusqu'à ce qu'elle devienne réalisatrice,” dit Amritraj , se souvenant d'une partie du script comme étant “ une histoire extraordinaire”.

Il dit : “J'ai lu le script dans un avion alors que je revenais d'Inde et j'ai immédiatement été conquis. Dès ma descente de l'avion, j'ai appelé l'agent de Madeleine et le marché était conclu.”

Le film, Amritraj nous révèle , se déroule au milieu du 17ème siècle. Avec 90 million de Dollars, ce sera le plus gros film de Amritraj’ à la fois sur le plan financier et professionnel

“Nous avons rassemblé de super acteurs - Hugh Jackman a eu beaucoup de succès au box office, Rachel Weisz a été nominée aux Oscars pour sa performance dans ‘Lovely Bones’ et Robert Pattinson est là grâce à son succès dans ‘Twilight’,” dit il

Avant que Amritraj ne se fasse connaitre à Hollywood, le film “Gandhi” de Richard Attenborough préparait un peu le terrain .

27 ans plus tard , alors qu'il va entamer son 100ème film , un autre réalisateur Britannique , Danny Boyle,a capturé l'imagination du monde entier avec son film “Slumdog Millionaire”qui à pour thème l'Inde. Amritraj est d'accord pour dire qu'il y a un nouveau regain d'intérêt vis à vis de l'Inde et que les réalisateurs Indiens doivent saisir cette opportunité.

Pour sa part, Amritraj est en train de développer quelques scripts qui nécessiteraient de longs tournages sur sa terre natale .

“Nous allons bientôt annoncer un film basé sur la musique et qui sera intégralement tourné en Inde même si le script est écrit par un Américain” dit il

Il est temps de passer à un autre “Jai Ho”, alors?

thaindian.com
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Bon ben ça va j'ai compris l'esentiel mais nicolisandra si tu passes par là tu peux nous le traduire stp

“Unbound Captives” Character Name Official

On Robert’s IMDB page, the character name listed with “Unbound Captives” is Phineas


Source spunk ransom

The sound of movies

With Hollywood biggies backing his 100th production, Ashok Amritraj is among the very few Hollywood producers to have achieved this milestone. Utpal Borpujari tells his amazing success story.

Carlton Hotel is part of the Cannes legend, being the glitziest official film festival hotel where one can bump into a Quentin Tarantino one day and a Brad Pitt the next day, many others thrown in in between. At the prestigious Suit Roman Polanski in the hotel, named after the legendary filmmaker, a soft-spoken man sits during the festival period, finalising future projects, scouting new ones, and giving finishing touches to various film-related deals. Meet Ashok Amritraj, who was probably the first Indian to slug it out in Hollywood and make it to the top on his own, despite being a first generation immigrant.

During the recent 62nd Cannes Film Festival, Amritraj was particularly excited, almost like a first-time mother-to-be. And why not, his 100th film as a producer is soon going to the floors, an epic screen venture to be directed by actress Madeleine Stowe and to star the likes of Hugh Jackman.

The 100-film mark is no joke, and arguably Amritraj is among the very few Hollywood producers to achieve this milestone, and surely the only one among the immigrant success stories in Hollywood. No doubt, the youngest sibling of the famed tennis-playing Amritraj brothers did not have it easy. In fact, he had to toil hard to make his way in an unknown world. During the journey even having to produce erotic thrillers to survive in the rat race. But ultimately, as he says, it is his perseverance and Indian family values that helped him travel so far, to become the best-known Indian name in Hollywood, with whom top stars do movies during business hours and play tennis during weekends.

Amritraj understands the importance of the milestone, and explains it with his trademark self-effacing style. “Even as a kid I wanted to make films, when I watched films like The Sound of Music and Ben Hur. The reality has far exceeded my dreams. Tennis of course played a big role, as it took me across the world, and took me to Hollywood, and to this day all the lessons learnt in tennis have served me well, starting with the discipline and the hard work, the focus, the work outs,” he says.

Tennis, in fact, helped him bond with top stars with whom he played regularly. But then, “if you thought you would get a movie made by playing at other people’s houses, it never did. The thing I feel better now is that they all come to play at my house, while earlier I used to go their houses and play.” No wonder, his popularity in Hollywood is reflected in the fact that his movies have starred names like Bruce Wills, Angelina Jolie, Steve Martin, Antonio Banderas and Cate Blanchett.

The fact, is, he says, the movie industry is not for those with weak hearts. “We all have some degree of talent, and hard work is a given, but the most important thing is perseverance. If you don’t persevere in this business, whether you are a director or a star, you cannot succeed,” he says. He cites the years that took Richard Attenborough to make Gandhi and the struggle Sylvester Stallone went through before he became a star.

“I got a movie made with Sly, and when I was down and out I used to be up by listening to the theme song from Rocky and I told him that. He too had come up the hard way from Hell’s Kitchen in New York. It kept me going. You become successful in Hollywood not because you are somebody’s son or daughter, but because you persevere. That’s what I tell all the youngsters who come into my office,” he explains.

Slow and steady
It was 27 years ago that Amritraj landed in Hollywood, but it took him about another five years to make his first movie, Fleshburn. “I made that movie in half a million dollars, and shot it in Arizona’s hot and miserable weather, and I loved every minute of those five weeks. Once I went through the process, I realised I was willing to pay the price to stay in this business,” he recalls. While he has made four-five films a year also, Amritraj says it is not about how many he has produced. “I have grown through these 100 films, from the really small films to the big ones. Luckily for me, things worked in my favour as the little movies which could go the VHS market benefitted as cable had just come in. When the international market became strong, I concentrated on it. My movies grew along with me, and so did new markets, like satellite TV, DVDs, Blu-Ray discs.”

Amritraj right now is excited about his 100th production, Unbound Captives, which will be shot towards 2009-end and ready for release by early 2011. “It will be a big epic in the scale of Laurence of Arabia, and Stowe’s first effort at direction. John Toll of Braveheart and Last Samurai will be the cinematographer. It’s probably the biggest in scope and scale among all my films, and will have a budget of 80-90 million dollars,” he says.

A word of caution
The film will be shot “between” New Mexico and New Zealand as the subject demands shoots in different seasons. He is also worked up about the interest in Indian cinema thanks to the success of Slumdog Millionaire. But at the same time, he sounds a word of caution to Indian filmmakers wanting to break into the international market. Slumdog Millionaire is a wonderful film, but one must realise that it all starts with the screenwriter and the director both of who are British. And the movie has been made from very much a Western point of view even though location, stars are all Indian. “I think those kind of movies can certainly work internationally. The question is can an Indian writer write with the international audience in mind. If one wants to break into international market place, one has to learn it from the writers’ point of view. The good news is it has been done twice now, though 27 years apart, with Gandhi and Slumdog.

“We are at a point where the industry has matured and we have a huge amount of talent in India. But can they be not so caught up entirely in the Indian market place and start looking at things globally from a script and directing standpoint? I think all of our actors, crew are talented enough to break out. The point is how you portray your stories to the West,” he says.

When Amritraj started out in 1981, there was nobody from India in the business. “I was the brown skin among the sea of white. And it was very, very difficult. In the last 10-12 years, the second generation of Indian filmmakers has come up really well, and also a lot of friends from Mumbai are looking at the American market, such as Anil Kapoor who came to meet me to get a screening arranged (for distributors) for his Gandhi My Father.

There is no question that it is easier to break in now, and it’s not just that, because there is a mental acceptance about India now globally because in the next 10 years, China and India would be unstoppable from an economic point of view. That’s why there is a window of opportunity created by Slumdog, which now has to be capitalised by someone and make that movie that is acceptable to all. The doors have opened, we have to push it open,” he argues.

He also feels it is important to put more and more Indian actors in international projects.

“It is not so much about making hit films. It is about putting Indian actors more and more on the screen and making the global viewer used to it. It does not help much if you see one Indian face now and again another three years later, as you will be just a novelty.

You have to be in your face, something which the Chinese have done very well — they have Chow Yuan Fat, Jackie Chan, Jet Li, Gong Li, Michelle Yeoh, Zhang Jiyi in the international map. Our actors and directors should try to do as much as international cinema, even though their first focus rightly should be Indian cinema. You just cannot come to Cannes and say we are global, it does not make any sense,” says the man who is also a brand ambassador for Singapore.

India projects
Quite naturally, Amritraj also has plans to make an international project with the backdrop of India, not something like Jeans, his only Indian production till date that was for the domestic market. His company Hyde Park Entertainment is developing a couple of ideas for that, and in all likelihood it will be a project in which music plays a significant role.

While the screenplay will be written by an American for the project, Amritraj has in his mind a few Indian names as possible people who may direct it — “though I haven’t yet met one Indian director that I feel is willing to take the mental plunge to not make a Bollywood film but an English movie made for an international audience. That’s a mental adjustment one has to make as there is a different sense of drama, morality, costumes, hairstyles and colours.” But all said and done, the pull of his home country is still there for him, which is why he is soon starting an Asian wing of his company, which will look at starting production in India, China and the Gulf region.

deccanherald.com