[Web] Interview avec dose.ca - 08.06.2012

There are two things Robert Pattinson would like you to take away from his involvement in David Cronenberg’s latest film, Comopolis.

The first and most important is this: Cosmopolis is not Twilight.The second is that, despite what critics may surmise, he is nothing like Eric Packer – Cosmopolis‘ billionaire whiz-kid protagonist who spends nearly the entire film inside his limo as he and a security detail drive across Manhattan (played by a barely-disguised Toronto) in pursuit of a haircut.

“It’s a flawed question,” Pattinson responds when I ask about any similarities with his character.

Sitting in the cave-like confines of the screening room at Toronto’s Thompson Hotel and surrounded by the rest of the Cosmopolis cast and its director, the British actor considers his answer before carefully before fixing his signature gaze squarely on me.

“The relationship with Kevin (Durand, who plays Packer’s bodyguard and best contact with world outside his limo), it’s a very specific relationship,” he says, alluding to his own relationship with his bodyguard Dean. “Having relationship with security…that’s one thing which I kind of had an idea about.”

But Pattinson claims the key difference between his Wall Street shark alter-ego and his true self is that Packer made the decision to put himself into seclusion, whereas the Twilight star was forced into it by his immense fame.

“The isolation stuff is totally different because [Packer's] chosen his life,”he says. “It bears very little resembles to [my] reality.”

Sensing a moment of possible tension, Croneberg jumps in: “Eric is a non-celebrity, deliberately. He only has security to protect him or kidnap him, really. But not from fans. He has no fans.

Sarah Gadon – the Canadian actress who plays Pattinson’s wife in the film based on the Don DeLillo book of the same name — disagrees. She tells me that, despite his protests, there is a reason Pattinson got the part.

“When I first heard that Rob was going to be in the part I thought, ‘That was so brilliant because who else is going to be believable as a young billionaire these days?’” the 25-year-old Toronto native recalls. “I thought, ‘Rob is going to be able to pull this off in a brilliant way because people will be able to make the connection to how inaccessible he is and how inaccessible Eric Packer is and how much power is in both of their hands, even though they’re both young men.’”

In the moments leading up to the start of filming, Pattinson lacked Gadon’s confidence in both himself and his ability to master the role and its demanding whiplash dialogue, courtesy of DeLillo’s post-modern prose.

“I was [in the] very obvious throes of a panic attack [before production began in Toronto in May 2011],” the 26-year-old says.

“I guess that’s kind of my process. I have to go through the motions of feeling like I’m having a heart attack before playing a role,” Pattinson continues with a nervous laugh. “I remember sitting there thinking, ‘Can I come up with an interpretation of Eric that’s completely original in two weeks? That’s completely ridiculous.’ But there’s something about the construction of Don’s writing that made it so easy.”

Relaxing into his chair a bit, Pattinson explains that that, unlike his other films, Cosmopolis‘ script left no room for improvement.

“There’s something about the construction of Don’s writing that made it so easy. There were no rewrites. Normally that’s the first thing you’re thinking about as an actor, because the script is just shit with no foundation to stand on and you’re so used to just changing it all the time, every single movie, that with this, once you suddenly get to the idea [that] ‘We’re not changing any of the script, the script is fine,’ it’s you that’s the problem!”

The actor credits his director for putting his restless mind at ease.

“I think [Cronenberg] just said, when we started shooting, ‘What will be will be,’” which was encouraging since Pattinson readily admits, “I’m not a post-modernist, like, scholar or anything.”

Ultimately, whether he likes it or not, Cosmopolis‘ commercial appeal, and possibly Pattinson’s longevity as a leading man, will be based partly on whether his audience is willing to make the jump to a post-Twilight reality with him.

Asked about how his leading man’s fanbase are reacting to a difficult, art house film, the 69-year-old Cronenberg — who has said he hopes to work with Pattinson again in the future – says with a smile, “These were girls who had read Harry Potter and Twilight and now they’re reading DeLillo, and they still like it and they still want to see the movie. So I thought, ‘Well, there’s nothing wrong with that.’”

source dose.ca via strictly robsten via pattinsonladies

Traduction dans la soirée...

Il y a deux choses dont Robert Pattinson aimerait vous éloignez à travers son implication dans le dernier film de David Cronenberg, Cosmopolis.

La première est la plus importante est que : Cosmopolis n'est pas Twilight. La seconde est que, malgré ce que peuvent supposer les critiques, il n'est pas comme Eric Packer - le jeune prodige milliardaire de Cosmopolis qui passe quasiment tout le film dans sa limousine alors que lui et son garde du corps conduisent à travers Manhattan (joué par un à peine déguisé Toronto) avec pour but de se faire couper les cheveux.

"Ce n'est pas une bonne question," répond Pattinson quand je l'interroge sur les similarités avec son personnage.

Assis dans la salle de projection qui ressemble à une cave à l'hôtel Thompson à Toronto et entouré par le reste du casting de Cosmopolis et de son réalisateur, l'acteur britannique réfléchit soigneusement à sa réponse avant de fixer son regard spécial directement sur moi.

"La relation avec Kevin (Durand, qui joue le garde du corps de Packer et son meilleur contact avec le monde extérieur à sa limousine), c'est une relation vraiment spécifique," dit-il, en faisant allusion à sa propre relation avec son garde du corps Dean. "Avoir une relation avec la sécurité...est une chose dont j'ai une petite idée sur le sujet."

Mais Pattinson affirme que la clé de la différence entre son alter égo le requin de Wall Street et lui-même est que Packer a pris la décision de s'éloigner du monde, alors que la célébrité apporté par Twilight l'a forcé à cause de son immense notoriété.

L'isolement est totalement différent car Packer a choisi sa vie," raconte t-il. "Il n'y a que très peu de ressemblance avec ma réalité."

Sentant un possible moment de tension, Cronenberg se lance dans la conversation : " Eric n'est pas célèbre, délibérément. Il a seulement sa sécurité pour le protéger ou le kidnapper. Mais ce n'est pas de la part des fans. Il n'a pas de fans.

Sarh Gadon - L'actrice canadienne qui joue la femme de Pattinson dans le film basé sur le livre du même nom de Don Delillo - n'est pas d'accord. Elle m'a raconté que, malgré ses protestations, il y a une raison pour que Pattinson ait obtenu le rôle.

"Quand j'ai appris pour la première fois que Rob allait avoir le rôle j'ai pensé, 'Que c'était brillant car qui d'autre pourrait être crédible en incarnant un jeune milliardaire de nos jours ?" la native de Toronto de 25 ans se rappelle. "J'ai pensé, 'Rob va être capable de rendre ça brillant car les gens sont capables de faire le lien entre son inaccessibilité et celle d'Eric Packer et la manière dont le pouvoir est entre leurs mains, même si ils sont tout les deux de jeunes hommes."

Dans les moments qui ont précédé le début du tournage, Pattinson ne croyait pas en la confiance de Gadon comme quoi il avait la capacité de maîtriser son rôle et le dialogue exigeant, avec la permission de la prose post-moderne de DeLillo.

"J'étais en panique avant que la production ne commence à Toronto en Mai 2011," raconte l'acteur de 26 ans.

"Je suppose que c'est ma manière de fonctionner. Je dois passer par le sentiment d'avoir une crise cardiaque avant de jouer un rôle," continue Pattinson avec un rire nerveux.
"Je me souviens m'être assis là à penser, "Est ce que je peux venir avec une interprétation d'Eric qui est complètement original en deux semaines ? C'est carrément ridicule." Mais il y a quelque chose à propos de l'écriture de Don qui a rendu les choses si simple."

Se détendant un peu sur sa chaise, Pattinson explique que, contrairement à ses autres films, le script de Cosmopolis n'a laissé aucune place à l'improvisation.

"Il y a quelque chose sur la manière d'écrire de Don qui a rendu les choses plus simple. Il n'y avait pas de réécriture. Normalement la première chose que vous pensez à propos d'un acteur, car le script n'est qu'une merde sans fondement qu'il faut construite et vous êtes tellement habitué à changer tout le temps, à chaque film, et là pour une fois soudainement vous avez l'idée que "nous n'allons rien changer au script, le script est très bien,' c'est vous qui êtes le problème !"

L'acteur donne tout le crédit à son réalisateur pour avoir réussir à apaiser son esprit agité.

"Je crois que Cronenberg a juste dit, quand nous avons commencé à tourner, "Ce sera ce que se sera," ce qui a été encourageant depuis que Pattinson l'a admit volontiers, "Je ne suis pas une personne post-moderne, comme un savant ou quelque chose comme ça."

En fin de compte, qu'il le veuille ou non, l'attrait commercial de Cosmopolis et la possible longévité de Pattinson en tant que premier rôle, vont être basés en partie sur son public prêt à faire le saut de l''après twilight' avec lui.

Interrogé sur la réaction des fans de son premier rôle face à une situation difficile, au cinéma d'art, Cronenberg âgé de 69 ans - qui a raconté qu'il espéré de nouveau travaillé avec Pattinson dans le futur - dit en souriant, "Ce sont des filles qui ont lu Harry Potter et Twilight et maintenant elles lisent DeLillo, et elles aiment toujours et elles veulent toujours voir le film. Donc j'ai pensé, "Eh bien, il n'y a rien de mal à ça."